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AliExpress lance une série de livesteramings inédits sur AliExpress Live et une camapgne promotionnelle

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AliExpress, la marketplace mondiale du groupe Alibaba, lance une série de livestreamings inédits sur AliExpress LIVE à l’occasion de ses 1 an d’existence, ainsi qu’une campagne promotionnelle intitulée «Les Happy Days», pour permettre aux consommateurs de tenter leur chance pour remporter des offres exceptionnelles. Les livestreamings seront animés par des influenceurs avec lesquels AliExpress collabore depuis plusieurs mois, qui présenteront des produits issus des catégories les plus populaires sur AliExpress, à savoir : électronique, beauté et maison. L’objectif ? dépasser le pallier des 150 heures de livestreaming. Et pour la toute première fois, ces livestreamings seront également mis en ligne sur les réseaux sociaux des influenceurs, et non plus seulement sur AliExpress LIVE, pour atteindre une audience totale de 2,3 millions de téléspectateurs. 

ESV Digital se renforce sur le display et le marché italien avec l’arrivée de deux nouvelles consultantes

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ESV Digital, agence de marketing digital indépendante et internationale, annonce les nominations de Juliette Huré et Arianna Boccia en tant que consultantes spécialisées respectivement sur le display et le search. Arianna Boccia accompagnera également le développement de l’agence sur le marché italien. Avec ces recrutements, ESV Digital se dote de nouvelles forces vives pour accompagner les stratégies digitales de ses clients, dans un écosystème digital en pleine mouvance, entre les nouvelles habitudes de consommation liées à la crise sanitaire et la directive e-privacy qui bouleverse le ciblage publicitaire.

Repeat Groupe remporte Racine2

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Suite à une compétition d’agences, Repeat Groupe remporte le lancement de Racine2, le plus grand centre européen ultra spécialisé dans la greffe de cheveux qui dispose des robots dernières générations en la matière. Le dispositif sera basé sur une campagne digitale comprenant de la création de contenus, du social media et du SEA afin de gagner en notoriété et de générer du trafic. 

Estelle Bringer prend la Direction Opérationnelle de FilmoTV

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Estelle Bringer est nommée Directrice Déléguée de Filmoline, la société éditrice de FilmoTV, d’un commun accord avec Wild Bunch SA son actionnaire. Bruno Delecour souhaitant consacrer plus de temps à ses nouvelles activités d’élu local. Elle aura la tâche, avec les équipes, de piloter FilmoTV et de poursuivre son développement et son adaptation dans un environnement porteur et fortement concurrentiel. 

Gazprom : le bénéfice net s’effondre en 2020

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Le géant russe Gazprom a annoncé un effondrement de son bénéfice net en 2020 en raison de la crise du Covid-19 qui a pesé sur la demande et les prix de l’énergie ainsi que les cours du rouble. 

Le groupe contrôlé par l’Etat russe a dégagé un bénéfice net de 135 milliards de roubles (1,496 milliard d’euros au taux actuel) en 2020, près de neuf fois moins que les 1.203 milliards de roubles de 2019. 

Le chiffre d’affaires est pour sa part en baisse de 17,4% sur un an à 6.321 milliards de roubles (70,1 milliards d’euros). 

Dans l’ensemble du secteur des hydrocarbures dans le monde, l’année 2020 a 

été marquée par un effondrement des prix et de la demande de l’énergie en raison des mesures prises pour combattre la pandémie de coronavirus, affectant notamment le secteur du transport. 

En Russie, les résultats des entreprises ont également été touchés par une dévaluation du rouble, qui a perdu environ un tiers de sa valeur par rapport aux devises occidentales en 2020. 

Ainsi, les exportations de gaz russe vers l’Europe, dans laquelle Gazprom inclut la Turquie, ont baissé de 12,1% en 2020 sur un an à 174,87 milliards de mètres cubes. Les prix du gaz ont eux baissé d’environ un tiers. 

Le producteur russe tire une grande partie de ses revenus de ses exportations européennes, notamment vers l’Europe occidentale. 

Son principal consommateur est l’Allemagne, dont les approvisionnements ont baissé de 14% en 2020 sur un an. 

La part du groupe dans le gaz consommé en Europe s’est établie à 32,2% en 2020. 

Il est également à noter que les ventes de gaz naturel liquéfié (GNL) ont doublé à 7,4 millions de tonnes, notamment à l’Inde mais également pour la première fois à la France. 

Dans une présentation aux investisseurs retransmise en ligne, le patron de Gazprom Alexeï Miller a affirmé que malgré une année difficile, le groupe avait assuré une production ininterrompue, rempli toutes ses obligations et maintenu sa position sur le marché. 

En 2020, les projets de Gazprom d’augmenter ses ventes à l’Europe ont été contrariés par l’incertitude concernant le gazoduc Nord Stream 2 entre la Russie et l’Allemagne, presque terminé. 

Les Etats-Unis et plusieurs pays européens comme la Pologne voient d’un mauvais oeil ce nouveau gazoduc, jugeant qu’il va accroître la dépendance de l’Allemagne et de l’Union européenne vis-à-vis du gaz russe et, in fine, de Moscou. 

En 2021, le groupe prévoit une croissance du chiffre d’affaires de 16% sur un an à 7.346 milliards de roubles. Gazprom table également sur une hausse de 5% des exportations vers l’Europe à 183 milliards de mètres cubes. 

Twitter : le nombre d’utilisateurs quotidiens en dessous des prévisions des analystes

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Twitter a vu son nombre d’utilisateurs augmenter entre janvier et mars mais dans des proportions inférieures aux attentes de Wall Street, ce qui faisait vaciller son action à la Bourse new-yorkaise jeudi dernier. 

Le nombre d’utilisateurs quotidiens dits «monétisables» (ayant été exposés à au moins une publicité sur une journée donnée) s’est établi à 199 millions au premier trimestre, soit 1 million de moins que les prévisions des analystes. 

Il a néanmoins grossi de 7 millions par rapport au trimestre précédent. 

Le titre du réseau des gazouillis dégringolait de plus de 9% dans les échanges électroniques après la clôture de Wall Street. 

Twitter a aussi émis des perspectives financières pour le trimestre prochain qui ont déçu le marché. 

L’entreprise s’attend à dégager entre 980 millions et 1,08 milliard de dollars de recettes, dans la fourchette basse des prédictions des analystes. 

«Nous anticipons toujours que nos revenus totaux pour 2021 grossiront plus rapidement que nos dépenses en partant du principe que la situation sanitaire mondiale continue de s’améliorer et qu’on ne soit affecté que de façon modeste par le déploiement des changements liés à iOS 14.5», a indiqué le groupe dans un communiqué. 

Dans la dernière version de son système d’exploitation mobile iOS, disponible depuis lundi, Apple propose aux utilisateurs de ses appareils d’accepter ou de refuser d’être suivis à la trace par les applications mobiles. 

Cette fonctionnalité, dite ATT (App Tracking Transparency) provoque la colère d’entreprises proposant leur application sur la boutique en ligne d’Apple, au premier rang desquelles Facebook, car elles craignent de ne plus pouvoir générer les même recettes publicitaires qu’auparavant. 

Le bénéfice net de Twitter pour le trimestre écoulé, 68 millions de dollars, est lui aussi inférieur aux attentes du marché, qui tablait sur 114,4 millions de dollars. 

Le chiffre d’affaires du groupe est en revanche un peu meilleur que prévu, à 1,04 milliard de dollars. 

L’immense majorité (899 millions de dollars) de ces revenus vient des recettes publicitaires, qui ont grimpé de 32% par rapport à l’année dernière. 

Colgate-Palmolive : hausse des ventes au 1er trimestre

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Le groupe américain de produits d’hygiène et ménagers Colgate-Palmolive a affiché une hausse de ses ventes au premier trimestre, tiré notamment par une demande en hausse en provenance d’Asie et d’Afrique. 

Les ventes ont progressé de 11% sur le segment Asie-Pacifique, et de 13% en Afrique-Eurasie, des régions qui représentent respectivement 18% et 6% de ses ventes. 

En Asie la croissance est due à la Chine, l’Inde, les Philippines et la Thaïlande, précise le groupe dans un communiqué, et l’Afrique-Eurasie a profité d’une progression en Turquie, au Nigeria, et en Afrique du Sud. 

L’Amérique latine a également connu une progression de 11%, sous l’effet principalement du Brésil et du Mexique. 

Colgate, qui détient 39,2% du marché mondial des dentifrices et 30,6% de celui des brosses à dents mais vend aussi des produits d’hygiène et de nettoyage, a profité à plein de la pandémie de Covid-19. 

Les ventes de la marque Hill’s, de croquettes et de nourriture pour chats et chiens notamment, ont également poursuivi leur forte croissance, avec une progression de 7% du chiffre d’affaires et de 6% du bénéfice opérationnel. 

Les ventes totales de Colgate-Palmolive se sont affichées pour les trois premiers mois de l’année à 4,34 milliards de dollars, en hausse de 6% sur un an, au-dessus des anticipations des analystes de 4,25 milliards de dollars. 

Le bénéfice net s’affiche de son côté en baisse de 4,8%, à 681 millions de dollars. 

Rapporté par action, il est de 80 cents, contre 83 cents une année auparavant et 0,79 anticipé par les analystes. 

En Bourse, le titre prenait vendredi dernier 2,12% dans les transactions précédant l’ouverture à Wall Street. 

«En regardant en avant, nous prévoyons une certaine volatilité dans la demande des consommateurs et sur les devises, ainsi que de nouvelles hausses de prix pour les matières premières et les coûts de logistique», a commenté le PDG Noel Wallace, cité dans le communiqué de résultats. 

Plusieurs entités sur les rangs pour racheter le futur Suez

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Un fonds américain, un fonds français, un groupe allemand… plusieurs entités sont désormais sur les rangs pour racheter le futur Suez, le groupe qui restera après le rachat par Veolia de la majorité de ses activités internationales, selon l’accord conclu il y a deux semaines entre les deux rivaux. 

Le spécialiste allemand du recyclage Remondis, actionnaire de Transdev, s’est dit mercredi prêt à acquérir «jusqu’à 40%» de la future entreprise. Dans une lettre à la direction de Suez, le groupe familial exprime son «intérêt pour le nouveau Suez», afin d’en «devenir actionnaire minoritaire» aux côtés du fonds français Meridiam et de la Caisse des dépôts (CDC). «Il faut des champions européens» dans le domaine du recyclage et du traitement des déchets, a fait valoir le porte-parole de Remondis, qui compte 30.000 employés dans le monde et détient 34% de l’opérateur français de transports Transdev. «Notre objectif est de créer un nouveau Suez très puissant et compétitif» en apportant à Suez «nos activités internationales dans l’eau» et «nos activités françaises de déchets solides», affirme dans la lettre Ludger Rethmann, patron de l’entreprise basée à Lünen (ouest), au nord de Dortmund. Par ailleurs, il «soutient pleinement les engagements sociaux tenus publiquement» et assure que, «avec Remondis comme actionnaire, le nouveau Suez ne sera pas démantelé». Mais outre le groupe allemand, le fonds américain GIP, initialement associé au fonds français Ardian dans le cadre d’un consortium, a aussi indiqué mardi qu’il restait candidat au rachat du nouveau Suez. Selon un contrat de principe signé le 11 avril entre Suez et Veolia, Ardian et GIP auraient pu reprendre chacun 20% du futur Suez, mais le premier a finalement décidé de se retirer. Les deux frères ennemis de l’eau et des déchets se sont donné jusqu’au 14 mai pour formaliser leur accord, ce qui inclut la définition du tour de table du futur Suez. 

En majorité français : Outre les 20% chacun pour GIP et Ardian, ils avaient prévu 40% pour le fonds français Meridiam, le reste partant à la Caisse des dépôts et aux actionnaires salariés. GIP, qui avec Ardian avait été approché par Suez comme repreneur alternatif à Veolia, serait désormais prêt à monter seul à 40% — permettant aussi au futur groupe de rester majoritairement français, ainsi que le souhaite le gouvernement. Meridiam, pour sa part approché par Veolia dans le cadre de son schéma d’OPA, s’est également déclaré prêt à acquérir davantage que les 40% prévus initialement. La direction de Suez, qui publiera jeudi ses résultats financiers du premier trimestre, n’a pas souhaité commenter dans l’immédiat. Et du côté de Bercy, «pas de commentaire» non plus. Le 11 avril, au terme de plus de sept mois de bataille, les dirigeants de Veolia et de Suez se sont finalement entendus pour que le premier absorbe une bonne part du second et forme un Veolia augmenté et «champion» de l’eau et des déchets, pesant quelque 37 milliards d’euros. En échange, Veolia a relevé le prix offert pour l’achat. L’accord prévoit aussi le maintien d’un Suez représentant près de 7 milliards d’euros de chiffre d’affaires, soit moins de la moitié du groupe actuel, avec des activités surtout concentrées sur la France. 

Naturalia reprend 15 magasins du réseau Salej/Bio&Sens

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L’enseigne Naturalia (groupe Casino), surtout implantée en Ile-de-France, a annoncé mercredi qu’elle intégrerait au premier mai 160 salariés de 15 magasins du réseau Salej/Bio&Sens. 

«Les nouveaux magasins intégrés continueront leur activité» et il n’est pas prévu, «dans un premier temps», «de modifier les enseignes», selon un communiqué de Naturalia mercredi. L’enseigne, qui n’a pas communiqué le 

montant de la transaction, «va ainsi, grâce à cette reprise, renforcer son expertise sur le modèle péri-urbain et développer son maillage national». Dans le détail, sont concernés 7 magasins sous enseigne Bio & Sens situés à Pertuis (Vaucluse), Saint-Jean-de-Védas (Hérault), Saint-Aunes (Hérault), Jacou (Hérault), Saint-Gély-du-Fesc (Hérault), Juvignac (Hérault), et Terville (Moselle); le magasin «La nature et vous» de Manosque (Alpes-de-Haute- Provence); trois magasins «On a la vie» situés à Loriol-sur-Drôme (Drôme), Essey-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle) et 

Jouy-aux-Arches (Moselle); trois magasins «L’Ethique verte» à Ramonville- Saint-Agne (Haute-Garonne), Cugnaux (Haute-Garonne), Villefranche-de-Lauragais (Haute-Garonne); et «Au Sens Bio» à Figeac (Lot). «Nous sommes heureux de pouvoir intégrer ces nouveaux points de vente àl’ancrage local fort», a déclaré le directeur général de Naturalia, Allon Zeitoun, cité dans le communiqué. «A travers eux nous sommes également ravis d’accueillir de nouveaux collaborateurs». Naturalia, qui fait partie du groupe Casino (Géant, Franprix, Monoprix, Vival…) a revendiqué 395 millions d’euros de chiffre d’affaires sous enseigne, «soit une progression de 22,4%» en 2020. L’enseigne comptait 219 magasins au 31 décembre, après en avoir ouvert 13 en 2020. 

Peugeot Sport prépare son retour en Championnat du monde d’endurance

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Dans son quartier général en région parisienne, Peugeot prépare son retour en Championnat du monde d’endurance (WEC) en 2022, et aux 24 Heures du Mans, que le constructeur français compte remporter une quatrième fois. 

Une 908 trône dans le hall de Peugeot Sport, à Satory sur les hauteurs de Versailles. Avec ce modèle, le constructeur français a gagné pour la troisième 

fois les 24 Heures du Mans, en 2009. Trois ans plus tard, en 2012, il avait quitté l’endurance pour raisons budgétaires. Cet héritage, débuté par les victoires mancelles en 1992 et 1993, la marque au lion le convoque à nouveau en 2022. «L’endurance est dans l’ADN de la marque Peugeot», explique Jean-Marc Finot, directeur de Stellantis Motorsport, engagé également en Formule E avec DS, dont une monoplace électrique accompagne la 908 dans le hall. «C’est aussi l’occasion de promouvoir nos voitures hybrides. D’avoir une sorte d’étendard pour notre gamme Peugeot Sport Engineer, dont le premier opus est la 508 PSE», continue-t-il. Peugeot intégrera la catégorie reine des Hypercars, dérivées des voitures super-sportives, moins rapides que les précédentes LMP1 mais nettement moins chères: une réduction de l’ordre de 80% est promise. Le budget Peugeot se situe «dans une fourchette de 30 à 50 millions d’euros» indique Finot. 

Contre Porsche et Ferrari : La marque affrontera Toyota, engagé contre Alpine et Glickenhaus en 2021, et à l’horizon 2023 Porsche, Audi et Ferrari. Alors derrière les bureaux de façade, l’Hypercar se monte. Le moteur est passé au banc d’essai au printemps. Le groupe motopropulseur complet, intégrant les transmissions, les quatre roues motrices et l’électrification, sera assemblé et testé à l’automne. Avant les premiers roulages en fin d’année. Ce sont eux qui dicteront la présence de Peugeot au Mans dès 2022. Car si la marque revient pour la saison 2022, elle ne sait pas exactement quand. «Comme on homologue la voiture sur cinq ans, avec peu de possibilités de la faire évoluer, il est très important d’avoir un projet mature en termes de performance et de fiabilité. On ne se met pas le couteau sous la gorge, on arrivera quand on estimera que le degré de maturité est suffisant», explique Finot. En attendant, on simule. Derrière les bancs d’essais et hangars, où traînent des vestiges de l’époque rallye, achevée en 2019 après huit titres mondiaux constructeurs avec Citroën, une petite salle concentre l’énergie : le simulateur. Mikkel Jensen, plus jeune des six pilotes engagés, en sort tout juste. Il donne ses impressions, débriefe avec les ingénieurs. «C’est super d’être ici, de voir tous les efforts mis en oeuvre. C’est la première fois que je vis un projet comme ça, c’est un rêve», avoue le Danois de 26 ans. «Pour les Danois, Le Mans c’est énorme, c’est plus important que la Formule 1. C’est juste fou, il y a beaucoup de supporters sur place, sinon tout le monde regarde à la télé !», raconte Jensen, dont un compatriote, Tom Kristensen, est le plus titré au Mans avec neuf victoires. Un autre Danois, Kevin Magnussen, l’Américain Gustavo Menezes, le Britannique Paul di Resta et les Français Jean-Eric Vergne et Loïc Duval complètent le casting éclectique, mêlant vécus en endurance ou en Formule 1, 

jeunesse et expérience. «Ma carrière est plus derrière moi que devant moi», relève Duval, 38 ans, vainqueur des 24H en 2013 avec Kristensen et Allan McNish et qui entend bien maintenant partager son expérience avec les plus jeunes.