WOÔ a été la première agence à œuvrer pour une influence éthique et responsable. Dès 2018, elle a été à l’origine de la 1ère Charte d’éthique du marketing d’influence, co-rédigée avec un comité ad hoc représentant toutes les parties prenantes du secteur (agences, marques, influenceurs, avocats, chercheurs, etc.). Elle est soutenue par l’ARPP – Autorité de Régulation Professionnelle de la Publicité et compte aujourd’hui plus de 63 000 signataires. Afin de répondre au mieux aux enjeux et évolutions auxquels le secteur est confronté, WOÔ a décidé de faire évoluer la charte autour de 5 piliers : authenticité, transparence, respect, loyauté et modération.
Thibault Martin-Dondoz est nommé Directeur général de Peugeot Frères Industrie
Avec l’accélération du développement de Peugeot Frères Industrie qui compte désormais 6 filiales et participations opérant dans les univers Cuisine (Peugeot Saveurs, Bretagne Céramique Industrie), Outdoor (monbento, Julbo), Outillage (Tivoly, Peugeot Outillage), ainsi que des licenciés à l’international (comme Peugeot Voyages), la société a promu Thibault Martin-Dondoz Directeur général. Au sein du Groupe familial Peugeot, Peugeot Frères Industrie a pour mission de développer la marque éponyme bicentenaire sur différents secteurs de l’équipement des familles via un écosystème de filiales industrielles, de marques ingénieuses et de partenaires performants.
+13%
Les impressions publicitaires poursuivent leur tendance de croissance à deux chiffres en Europe (+13 %), tandis qu’aux États-Unis le rythme est moins soutenu (+7 %).
Source : Video Marketplace Report de FreeWheel
Sitram célèbre ses 60 ans avec une nouvelle campagne
En 2023, Sitram souffle ses soixante bougies. Pour l’occasion, la marque a concocté une campagne aux petits oignons sur le pouvoir du partage en cuisine et son impact positif dans le quotidien. Au menu : un spot TV remerciant une clientèle restée fidèle à ses produits, une websérie mensuelle animée par Yves Camdeborde et Sébastien Chabal, des partenariats avec des influenceurs, des jeux concours et de nombreuses autres surprises. La marque s’est aussi refaite une beauté pour l’occasion avec une nouvelle identité graphique rappelant les valeurs qui lui sont chères à savoir, authenticité, qualité et praticité
P. BOUCLY (Too Good To Go) : «1 Français sur 5 a l’application sur son téléphone»
Alors que Too Good To Go, application de lutte contre le gaspillage alimentaire qui permet de récupérer les invendus de commerçants, vient de passer la barre des 50 millions de paniers sauvés en France, cette dernière dévoile une nouvelle identité visuelle. L’occasion d’évoquer ces évolutions avec Pierre BOUCLY, Directeur marketing France et Italie.
MEDIACOM’
Too Good To Go dévoile une nouvelle identité de marque. Que représente-t-elle ?
Pierre BOUCLY
La charte graphique et le nouveau logo choisis reflètent ainsi pleinement nos valeurs et notre philosophie. Avec premièrement, la simplicité : le logo monochrome plus épuré et plus facile d’utilisation rappelle les actions concrètes mises en place pour réduire le gaspillage alimentaire et s’insère dans la routine de nos utilisateurs. Deuxièmement, la positivité avec un logo qui rappelle un sourire, et des polices colorées sont synonymes de douceur et de proximité pour les consommateurs. Enfin, une démarche universelle : nos utilisateurs sont des héros du quotidien et notre application est à la portée de tous. Cela se reflète dans notre choix de polices et de couleurs plus modernes.
MEDIACOM’
Pour promouvoir l’application, quel est votre plan de communication BtoC ?
Pierre BOUCLY
Nous utilisons différents canaux pour atteindre un seul et unique but : sensibiliser et donner les clés à chacun pour réduire le gaspillage alimentaire, à son échelle. L’application en elle-même est déjà un formidable vecteur : elle est dans les mains de plus de 14 millions de Français, ce qui est en fait un canal idéal pour transmettre nos messages. Outre l’application, et parce que nous sommes une solution qui crée du lien en mettant en relation commerçants et utilisateurs, nous avons également un réel enjeu à nous adresser à nos communautés. Nous avons pour cela différents leviers, en fonction de nos cibles : newsletters, CRM, réseaux sociaux (Instagram, Facebook, Twitter, Linkedin…). Ces actions sont enfin complétées par des campagnes de sensibilisation plus larges, pour une alimentation plus durable, d’études et de diffusion de données sur la presse, le partage de recettes et d’astuces anti-gaspi via nos réseaux sociaux, ou de prises de paroles lors de différents évènements.
MEDIACOM’
Comment promouvoir le service auprès des professionnels de la restauration ?
Pierre BOUCLY
Nous proposons une solution qui peut convenir à tout commerce alimentaire : que ce soientt des commerces indépendants (boulangeries, restaurateurs), de la grande distribution, chaînes de restauration hors domicile, franchisés, grossistes, industriels, hôtels…Nous nous adressons donc à tous ces acteurs différents, à travers des communications spécifiques pour chaque segment et en participant à des événements externes ou qu’ils organisent en interne. Nous avons également la chance de pouvoir compter sur de nombreux ambassadeurs, aussi bien en interne avec une équipe motivée, qu’en externe, avec des partenaires qui deviennent à leur tour des porte-paroles de notre cause.
MEDIACOM’
Quel bilan tirez-vous de l’activité de Too Good To Go ?
Pierre BOUCLY
Un bilan plus que positif ! Nous venons de passer la barre symbolique des 50 millions de paniers sauvés en France et 200 millions dans le monde ! Nous comptons plus de 14 millions d’utilisateurs en France : c’est désormais 1 Français sur 5 qui a l’application sur son téléphone. Nous accompagnons également au quotidien plus de 40.000 commerces partenaires. Ces derniers mois, nous avons vu une accélération de l’utilisation de notre application, en grande partie parce que nous sommes une réponse concrète et accessible pendant cette période d’inflation, et que nous permettons de conjuguer action pour le portefeuille et geste pour la planète. En d’autres termes, on fait rimer écologie et économie à travers l’anti-gaspi, et cela se voit : chaque jour 1 million d’utilisateurs la consultent.
S. AIZENMAN (Myphotoagency) : «Visites virtuelles : la pandémie a été un élément moteur dans notre développement»
Agence spécialisée en organisation et réalisation de shootings photos et vidéos en BtoB, Myphotoagency a développé de nouvelles expertises comme les visites virtuelles. Zoom sur l’agence Myphotoagency avec sa cofondatrice, Sarah AIZENMAN.
MEDIACOM
Quelle est l’expertise de l’agence Myphotoagency ?
Sarah AIZENMAN
Myphotoagency s’adresse à tous les responsables marketing, digital, communication en quête d’un partenaire pour centraliser ses demandes de shootings et accompagner leur déploiement avec efficacité. Chacun son métier, et le nôtre est de sélectionner et de briefer les bons photographes au bon endroit pour chacun des projets de nos clients. Nous les accompagnons aussi bien pour réaliser des photos, des visites virtuelles, ou encore des vidéos. Nous travaillons avec 200 grands comptes clients actifs sur de nombreux secteurs d’activités comme l’immobilier, l’hôtellerie, le service à la personne ou encore le retail: Foncia, Kaufman & Broad, B&B Hotels, Sephora, Zenchef, PMU…
MEDIACOM
Quelles relations entretenez-vous avec votre réseau de photographes ?
Sarah AIZENMAN
En près de 10 ans, Myphotoagency a réussi à construire une relation de confiance avec plus de 3.500 photographes aux quatre coins de l’Europe. En France, nous avons un photographe partenaire tous les 10 kilomètres. Ces derniers sont capables d’intervenir dans des délais très courts, 48h max. Avec cette organisation et cette fidélité, nous avons été capables de déployer plus de 50.000 shootings photo par an. Le profil est tout aussi éclectique : 15% ont moins de 25 ans, 35% ont entre 41 et 55 ans et enfin 40% ont entre 26 et 40 ans. De plus, 35% de nos photographes collaborent avec nous depuis 2 à 5 ans et nous collaborons avec 55% de nos photographes depuis plus de 5 ans.
MEDIACOM
Comment avez-vous fait évoluer vos domaines d’expertises?
Sarah AIZENMAN
En complément de l’incontournable reportage photo, nous avons, pendant la période de pandémie liée au Covid19, déployé une nouvelle offre : visites virtuelles 360. Ce moyen de communication permet d’améliorer son référencement, susciter l’intérêt de son audience, ou encore générer du trafic dans son établissement. Nos photographes professionnels, spécialement formés et équipés de caméras 3D, réalisent cette prestation innovante partout en Europe. La pandémie a été un élément moteur dans notre développement.
MEDIACOM
Quel est votre modèle économique ?
Sarah AIZENMAN
Lorsque nous avons créé Myphotoagency en 2012, nous faisions face à un constat : les entreprises avaient besoin de produire de plus en plus de contenus photos, notamment pour leurs site internet, réseaux sociaux, newsletters…Elles devaient le faire plus rapidement et plus économiquement. Pour répondre à cette demande, nous avons fait le pari de nous appuyer sur trois leviers: l’hypergéolocalisation, le digital, et enfin un deal tripartite entre nos photographes, nos clients et nous-mêmes. Concrètement, nous faisons des efforts sur les prix, et en échange, nos partenaires s’engagent à nous faire travailler dans la durée.
MEDIACOM
L’agence a été mandatée par la Fondation du patrimoine. Quelles sont vos missions ?
Sarah AIZENMAN
Pour la troisième année consécutive, Myphotoagency a été retenue par la Fondation du patrimoine pour mettre en place les prises de vues des lieux sélectionnés. Pour cela, nous utilisons par exemple des drones. La Mission Patrimoine portée par Stéphane Bern, déployée par la Fondation du patrimoine et soutenue par le ministère de la Culture et FDJ, a pour vocation d’identifier, de sauver et de valoriser le patrimoine menacé.
MEDIACOM
Comment se porte Myphotoagency ?
Sarah AIZENMAN
Forte de ses 10 ans d’expérience, Myphotoagency se porte très bien. Nous avons un taux de croissance annuel du chiffre d’affaires de 30% et une rentabilité constante depuis 8 ans.
Consortium d’acteurs tech pour «le futur système de communication quantique» français
Plusieurs acteurs de l’industrie française, startups, acteurs universitaires et institutionnels lancent une alliance pour construire «le futur système de communication de l’internet quantique» français, a annoncé mardi l’opérateur télécoms Orange, coordinateur du consortium.
Baptisé FranceQCI, ce projet, qui s’étendra sur 30 mois, s’inscrit dans le cadre de l’initiative EuroQCI lancée en 2019 par la Commission européenne visant à développer une infrastructure de communication quantique terrestre sécurisée qui couvrira l’ensemble de l’Union europ é e n n e . L e s entreprises Airbus, Thales, Thales Alenia Space, Orange, des institutions publiques et organismes de recherche comme la Direction générale de l’aviation civile, le CNRS, Sorbonne Université, Télécom Paris, et l’Université Côte d’Azur, ou encore les startups spécialisées Cryptonext Security, Veriqloud et Welinq font partie du consortium. «L’objectif du consortium France QCI est de donner une impulsion significative vers une infrastructure européenne de communication quantique qui sera en mesure de protéger les données sensibles et les communications critiques des entités gouvernementales, des centres de données, des hôpitaux, des réseaux d’énergie, et plus encore», souligne Michaël Trabbia, directeur de l’innovation d’Orange, cité dans un communiqué. A la différence des méthodes classiques de transmission sécurisée, le système quantique utilise des photons pour envoyer les clés de cryptage nécessaires au décodage de l’information. Les données contenues dans ces photons sont impossibles à intercepter: toute tentative d’espionnage provoquerait leur autodestruction. L’informatique quantique repose sur les qubits, une brique élémentaire de calcul qui utilise les extraordinaires propriétés de la matière à l’échelon atomique ou sub-atomique.
Quatre trophées d’argent pour Makheia aux Grands Prix Top Com Corporate 2023
Les jurys de la 27ème édition Grands Prix Top/Com Corporate, rendez-vous incontournable des professionnels de la communication Corporate Business, ont dévoilé le palmarès de l’édition 2023. Makheia, le pôle Communication de NetMedia Group a été primé à quatre reprises avec ses agences Big Youth et Mademoiselle Scarlett. Ainsi, Big Youth, l’agence digitale et e-commerce, remporte deux trophées d’argent pour le site corporate de Richard Vins & Spiritueux et pour la Fondation Macif. De son côté, Mademoiselle Scarlett, l’agence de Marketing/Communication, remporte également deux trophées d’argent pour le dispositif anniversaire France et international orchestré pour les 60 ans du Groupe Pierre Fabre, et la stratégie de contenus et social media de Tréca Paris, marque française de literies d’exception.
Alibaba et L’Oréal signent un accord pour une industrie de la beauté plus verte en Chine
Alibaba Group et le groupe de cosmétique L’Oréal annoncent la signature d’un partenariat afin de promouvoir l’économie circulaire dans l’industrie de la beauté en Chine. Les deux partenaires collaboreront étroitement pour rendre les chaînes d’approvisionnement plus vertes, de l’entrepôt jusqu’au recyclage. Le partenariat, qui court jusqu’en 2025, vise à établir des normes plus vertes et à faible émission de carbone, à développer de nouveaux produits et à créer des solutions d’économie circulaire mesurables dans l’industrie chinoise de la beauté et de l’hygiène qui pèse 87 milliards de dollars.
La Poste : Marie-Aude Dubanchet nommée DGA en charge de la commmunication
Philippe Wahl, président-directeur général du groupe La Poste a nommé Marie-Aude Dubanchet directrice générale adjointe du groupe La Poste en charge de la communication. Elle intègre à ce titre le comité exécutif du groupe. Marie-Aude Dubanchet est directrice de la communication du groupe La Poste depuis mars 2021. Lafonction communication était jusqu’à présent représentée au comité exécutif par Philippe Bajou, directeur général adjoint et secrétaire général du groupe La Poste.