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Orange lance sa campagne de Noël

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Orange lance sa campagne de Noël avec Publicis Conseil autour de son offre star de la «Maison Connectée». Le film, intitulé «On l’a !» et réalisé par Jeff Low, est diffusé depuis le 14 novembre au cinéma et en TV avec un format 60 secondes diffusé lors de la mi-temps du match France- Moldavie. Enfin le dispositif digital #AttrapezNoël, conçu avec Marcel, comprendra différentes activations digitales. Un jeu sur mobile où le joueur incarnera le Père Noël et devra échapper aux enfants pour tenter de gagner des bons de réductions sur une série de produits connectés. Un évènement dans les stades des clubs de football partenaire d’Orange à la mitemps des matchs. Enfin, une grande quête du Père Noël regroupant les différentes actions et partenariats de la marque débutera le 03 décembre sur Twitter. Les Twittos seront invités à retrouver le Père Noël dans 4 villes de France mais pas que, pour tenter de gagner des cadeaux issus de la hotte du Père Noël. 

Orange lance son assistant vocal Djingo

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Orange a annoncé le lancement de son nouvel assistant vocal Djingo, développé depuis près de trois ans conjointement avec l’opérateur allemand Deutsche Telekom, qui sera disponible via une enceinte connectée et la télécommande des abonnés d’Orange. 

«Cela s’inscrit pour nous dans une évolution de la relation client: l’interaction vocale prend de plus en plus de place, il nous fallait donc être en capacité d’offrir la possibilité d’entrer en relation avec nous de la manière dont le client le souhaite. Notre réponse, c’est Djingo», a expliqué Marie-Noëlle Jégo-Laveissière, directrice générale adjointe en charge de l’innovation, lors de la présentation de l’enceinte. Concrètement, Djingo doit permettre, en premier lieu aux abonnés d’Orange, de mieux interagir avec les différents services offerts par l’opérateur: cela va de la télévision à la possibilité de passer un appel en passant par celle de piloter l’offre «maison connectée» proposée par le groupe ou encore écouter Deezer, dont Orange est le deuxième actionnaire. «Il s’agit d’en faire le coeur de la relation client en donnant accès à nos différents services, il jouera un peu un rôle d’orchestrateur», a ajouté Mme Jégo-Laveissière. Mais Djingo n’aura pas pour objectif de venir concurrencer les assistants vocaux des géants américains en répondant à toutes les demandes. Si des partenariats avec Radio France et MétéoFrance existent, afin de fournir des services d’information et de météo, ils ne devraient pas être suivis de nouveaux services en dehors de ceux que pourrait proposer l’opérateur lui-même. «C’est une interface vocale qui vient compléter les interfaces visuelles existant déjà. Le choix fait est de nous concentrer sur les services d’Orange, clairement pas d’agréger des dizaines ou des centaines de services derrière «OK Djingo»», a insisté Christian Bombrun, directeur des divertissements et des nouveaux usages. L’enceinte connectée embarquera donc également Alexa d’Amazon, afin de répondre aux requêtes qui ne concerneraient pas les services proposés par l’opérateur. Sans pour autant effectuer de mise en commun des données personnelles, insiste Orange, qui précise que les requêtes et données des clients seront stockées en Europe et que leur gestion sera compatible avec le règlement européen de protection des données (RGPD). «Il n’y a pas de passerelle entre Djingo et Alexa concernant les données», a confirmé Marie-Noëlle Jégo-Laveissière, «le client aura également la trace de ses échanges avec l’enceinte via son application». Djingo sera disponible à partir de jeudi pour les 1,5 millions de clients disposant de la dernière box télé d’Orange, gratuitement via une simple mise à jour logicielle, et avec son enceinte connectée pour 149 euros dans 80 boutiques de l’opérateur. 

Instax s’affiche pour Noël avec un nouveau claim

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A l’occasion des fêtes de fin d’année, Instax, marque d’appareils photos instantanés de Fujifilm, prend la parole et impose son style fun et coloré en jouant sur les valeurs de la générosité véhiculées par son dernier claim : «Instax à prendre et à donner», via un dispositif d’affichage et digital massif. Une première, depuis le mercredi 13 novembre, la marque investit la ville de Paris en inaugurant le tout nouveau réseau Clear Channel «Paris Privatif». Les riverains peuvent découvrir en exclusivité sur près de 200 panneaux publicitaires intégralement privatisés sur leurs 5 faces déroulantes, l’ensemble de la gamme Instax et ses nouveautés, mettant en scène le nouveau claim fédérateur et novateur de la marque. Jusqu’à Noël, la campagne sera relayée par des médias puissants pour maximiser la couverture et la répétition : en affichage dans les métros, gares et malls, mais aussi sur les réseaux sociaux avec des vidéos publiées sur Facebook, Instagram et Snapchat, ainsi que YouTube à travers un dispositif Youtubers inédit. 

Le plus vieux «mall» de France se réinvente en misant sur le luxe et le tourisme

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Conçu il y a 50 ans quand le commerce en ligne n’existait pas, un des trois plus anciens centres commerciaux de France, Cap 3000 près de Nice, mise sur le luxe et le tourisme pour se réinventer dans un secteur en pleine mutation. 

Quand il ouvre en 1969, la même année que Parly 2, près de Paris, et Englos, dans le Nord, Cap 3000 marque une révolution dans le commerce en France. Il est calqué sur les «malls» à l’américaine, ces grandes surfaces établies en banlieue avec de gigantesques parkings. Cinquante ans plus tard, le commerce par internet est passé par là, les tendances de consommation ont évolué et la concurrence s’est intensifiée. Propriété de la société foncière Altarea Cogedim, Cap 3000 mise désormais sur un modèle alliant boutiques, loisirs, fitness et restauration. Avec un atout: une implantation en bord de mer. Côté shopping, l’ambition est de gérer le centre commercial comme un grand magasin parisien et ce n’est pas un hasard si l’ex-numéro deux du Printemps Haussmann, Felipe Goncalves, a été recruté comme directeur général il y a neuf mois. Il vise 40% de clientèle étrangère, contre 20% aujourd’hui, grâce aux millions de touristes acheminés par l’aéroport voisin de Nice Côte d’Azur, le plus international de France après Paris. Deuxième ville touristique de France, Nice attire chaque année cinq millions de visiteurs, dont de nombreux Asiatiques et ressortissants de pays du Golfe. Cap 3000 a mis en place un service de voituriers et de traduction, tout en facilitant les procédures de «détaxe». «On a une clientèle fidèle, beaucoup de partenariats avec les hôtels et une vraie stratégie à l’international avec des équipes qui font connaître la marque Cap 3000 en Russie, en Ukraine, en Chine…», souligne M. Goncalves. Au total, une enveloppe de 650 millions d’euros, qu’Altarea Cogedim se donne sept ans pour rentabiliser, a été investie à Cap 3000 pour rénover, embellir et surtout, doubler le nombre de boutiques, qui atteindra 300 l’an prochain, sur une surface totale portée de 65.000 à 135.000 m2. 

«Plus d’émotion et d’émerveillement»: Pourquoi un tel gigantisme alors que de nouveaux centres commerciaux ont poussé à proximité ou vont sortir de terre, comme le projet controversé «Open Sky» dans la pinède de Sophia Antipolis, près de Nice ? «Cap 3000 est historiquement bien fréquenté par les Niçois mais la taille est importante pour asseoir et maintenir sa position de référence dans un environnement très concurrentiel», analyse Christian Dubois du cabinet de conseil en immobilier d’entreprise Cushman et Wakefield. «C’est un exemple significatif des centres commerciaux de cette génération. Tous sont rénovés, étendus, car ça finance en partie la rénovation», ajoute-t-il. «C’est vrai qu’il y a une multiplication des centres commerciaux autour, et que ceux-ci essaient de se réinventer car ils se posent des questions par rapport à la digitalisation, mais on est plutôt confiants», affirme le directeur général de Cap 3000. «L’idée, c’est plus d’émotion et d’émerveillement, pas juste un alignement de boutiques», ajoute-t-il en détaillant les investissements réalisés en cinq ans. Il se félicite de compter une des rares boutiques en Europe de la marque américaine de lingerie Victoria’s Secret, un aquarium virtuel, une salle de fitness avec vue sur mer. L’horloger-bijoutier Ferret à Cap 3000 «s’est agrandi, et est déjà le 2e point de vente de Rolex en France», souligne M. Goncalves. Un grand Monoprix où des homards barbotent dans l’eau au rayon poissonnerie a ouvert cet été. 

dydu et L’Equipe lancent le 1e chatbot expert de la Ligue 1 de football : Botaldo

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L’Équipe et dydu, éditeur de logiciel conversationnel, lancent le premier chatbot expert de la Ligue 1 de football, Botaldo. ce dernier répond à toutes les questions sur les joueurs et les équipes du championnat depuis les années 1960. Objectif : répondre immédiatement à tous les amateurs de foot. «La conversation est une nouvelle forme d’interaction qui se développe de plus en plus. En tant que premier média sur le sport en France, nous nous devions de proposer ce nouveau format d’échange innovant à nos lecteurs. Botaldo est le premier chatbot dans le monde à proposer un contenu sportif de cette qualité. Nous étudions actuellement la possibilité de le rendre vocal», analyse Emmanuel Alix, directeur du pôle numérique de L’Équipe.

Renault choisit la solution M6 Adressable pour sa campagne TV Renault Zoé

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Pour renforcer l’efficacité de sa campagne Renault Zoé, Renault et son agence OMD ont choisi la solution M6 Adressable, profitant du savoir-faire technologique de M6 Publicité et de son partenaire Smartclip, sur les TV connectées. Le format M6 Adressable permet de diffuser et d’interagir avec un message publicitaire en parallèle de la diffusion du flux linéaire sur M6. La taille de l’écran diffusant le programme se réduit pour laisser place à un format display cliquable, parfaitement intégré au visionnage du téléspectateur. Ainsi, depuis le 4 novembre et jusqu’au 15 novembre, chaque jour en avant-soirée, le format display M6 Adressable est déclenché au sein du flux linéaire TV. Pour renforcer l’impact de la campagne, le format est diffusé quelques minutes après la diffusion du spot publicitaire Renault Zoé. OMD et M6 Publicité ont ainsi personnalisé le display M6 Adressable pour permettre à la marque d’aller plus loin dans sa prise de parole. 

J. NG (Zalondo) : « La campagne s’inscrit dans l’ambition de positionner Zalando en tant que compagnon de mode »

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Zalondo vient de dévoiler sa nouvelle campagne de Noël. La marque, qui s’est engagée dans un nouveau positionnement, souhaite devenir le point de départ de la mode. L’occasion pour médiaCom’ de faire le point avec Jonny NG, Directeur de l’équipe marketing, stratégie et campagnes chez Zalando. 

MEDIACOM’  Quel est le plan média de votre campagne de Noël ? 

Jonny NG  La publicité TV est diffusée en France depuis le 3 novembre et se terminera le 24 novembre. De plus, un voyage d’influenceurs sera organisé à Chamonix au début du mois de décembre. L’objectif est de recréer une ambiance de Noël chaleureuse et familiale parmi les 20 influenceurs français de la mode. Enfin, une activation numérique avec 5 influenceurs français de premier plan sera mise en place à partir de décembre, où ils créeront du contenu avec leurs grand-mères. La campagne s’inscrit dans l’ambition de positionner Zalando en tant que compagnon de mode qui s’adapte à tous les styles de plus de 29 millions de clients, sans distinction de taille, d’âge ou de sexe. 

MEDIACOM’  Pourquoi avoir fait appel à l’agence Mother London ? 

Jonny NG  C’est la 2ème fois que nous travaillons avec l’agence Mother London après la campagne de cet été intitulée «Habillez-vous pour vous même, personne d’autre». En étroite collaboration avec notre équipe interne de stratégie et de campagnes marketing, l’agence a travaillé sur l’idée créative, le concept et la campagne de Noël. En règle générale, nous n’avons pas une agence chef de file, nous travaillons plutôt avec différentes agences projet par projet. 

MEDIACOM’  Cette prise de parole s’inscrit dans la continuité de votre nouveau positionnement de marque «Free to be». Que signifie ce positionnement pour Zalando ? 

Jonny NG  Alors que nous célébrions notre 10ème anniversaire l’année dernière, nous avons redéfini notre stratégie commerciale globale avec l’ambition de devenir le point de départ de la mode. Dans le cadre de ce processus, nous avons jeté un regard neuf sur la marque Zalando et avons mené de nombreuses recherches pour déterminer ce que nos clients attendent de nous. Après une solide évaluation des connaissances des clients, nous avons franchi une nouvelle étape dans notre parcours de marketing, visant à positionner notre marque comme étant aimable et engageante sur le plan émotionnel. «Free to be» vise à construire un capital de marque émotionnel au fil du temps. 

MEDIACOM’  La campagne est internationale. Comment s’adapter aux divers territoires ? 

Jonny NG  La campagne est présente dans l’ensemble des 17 marchés sur lesquels Zalando est actif. Pour la réalisation de la campagne, notre équipe de marketing mondiale a travaillé en étroite collaboration avec nos équipes de marketing locales pour exploiter les canaux appropriés pour chaque marché. Des événements de presse et des activations localisées telles que des collaborations d’influence donneront vie à la campagne au niveau local. 

MEDIACOM’  Quelles sont vos ambitions pour l’année 2020 ? 

Jonny NG  En février 2019, notre conseil d’administration a présenté la stratégie mise à jour du groupe Zalando et l’objectif est clair : Zalando veut devenir le point de départ de la mode. Tout comme lorsque les consommateurs cherchent l’inspiration pour des séries ou des films, ils se tournent vers Netflix et lorsqu’ils recherchent de la musique, ils se tournent vers Spotify. La prochaine étape est d’environ 20 milliards de GMV (Gross Merchandise Volume) d’ici 2023/2024, ce qui représenterait alors 4 à 4,5% du marché européen de la mode. 

Les recettes publicitaires nettes des médias traditionnels en baisse de 1,7%

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Les recettes publicitaires nettes des médias traditionnels ont diminué de 1,7% à 5,9 milliards d’euros lors des neuf premiers mois de l’année sur un an, selon le baromètre unifié du marché publicitaire (Bump) publié mardi, qui a revu à la baisse sa prévision annuelle. 

Les recettes des cinq principaux médias (TV, presse, radio, cinéma, affichage) régressent de 0,7% et proviennent de plus en plus pour les médias de leurs extensions numériques (+5,1%) et pour l’affichage de l’essor des écrans dans les lieux publics (+25,6%), indiquent les chiffres compilés par l’Institut de recherches et d’études publicitaires (Irep), France Pub et Kantar Media (groupe WPP). La proportion des investissements numériques pour ces médias s’approche désormais de 9% et «devrait bientôt dépasser les 10%», ont précisé les auteurs lors d’une conférence de presse. Si les recettes de la radio sont stables sur un an, celles de la télévision s’inscrivent en légère baisse à -0,8% alors que le volume de publicités est en progression. La raison invoquée est l’effet de base négatif de la Coupe du monde de football l’année dernière qui avait permis une meilleure valorisation des espaces publicitaires. Les recettes de la presse reculent de 4,1%, une baisse qui ralentit toutefois de 1,6 point par rapport à l’année dernière en raison d’une meilleure performance des sites internet, notamment pour la presse quotidienne régionale et les magazines. La presse quotidienne nationale est «en souffrance» selon les auteurs, avec une baisse de 6,9% de ses recettes depuis le début de l’année, y compris pour son segment numé r ique . Côté annonceurs, le désengagement progressif du secteur de la distribution, qui porte généralement le marché, se poursuit, notamment celui des enseignes généralistes (-3,1%). Les secteurs de l’automobile, de la beauté et de la mode se joignent à ce repli, compensé toutefois par la croissance des investissements des services numériques comme les acteurs de la livraison de repas, des services de VTC ou du secteur du streaming vidéo et audio désormais extrêmement concurrentiel. Les auteurs ont revu légèrement à la baisse leur prévision de croissance sur l’année à 1,3% au lieu de 1,5%. 

5,9 – Pour l’ensemble des 3 trimestres 2019, sur le périmètre observé par l’IREP (télévision, cinéma, radio, presse, publicité extérieure, courrier publicitaire, imprimés sans adresse), les recettes publicitaires nettes des médias s’élèvent à 5,897 milliards d’euros, en baisse de -1,7% par rapport aux trois trimestres 2018. Source : IREP

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Pour l’ensemble des 3 trimestres 2019, sur le périmètre observé par l’IREP (télévision, cinéma, radio, presse, publicité extérieure, courrier publicitaire, imprimés sans adresse), les recettes publicitaires nettes des médias s’élèvent à 5,897 milliards d’euros, en baisse de -1,7% par rapport aux trois trimestres 2018. 

Source : IREP 

Le navigateur Brave veut réinventer la publicitaire sur Internet

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Chez les programmeurs, Brendan Eich est connu comme l’inventeur de Javascript, le langage qui rend le web interactif mais permet aussi ses dérives. Avec son dernier produit nommé Brave, l’informaticien veut mettre fin au pistage et réinventer la publicité sur internet. 

Fondé en 2016, Brave est un navigateur qui permet donc de consulter des 

sites internet. «Il ressemble à une version très rapide de (Google) Chrome» et utilise d’ailleurs la base technique de son principal concurrent. Mais, à sa différence, «il bloque par défaut le pistage, et donc la plupart des publicités», explique son fondateur californien, Brendan Eich, lors d’un entretien en marge du Web Summit, sommet européen de la tech tenu cette semaine à Lisbonne. 

«Les gens n’aiment pas se sentir observés. Ils ont l’impression que quelqu’un les harcèle, ils se sentent floués. (…) Il y a une prise de conscience de l’importance de la confidentialité sur internet, non seulement grâce aux révélations d’Edward Snowden, mais aussi à cause de ces publicités qui vous poursuivent», assure-t-il. 

Et cet ensemble de techniques «peuvent également être utilisés à de 

mauvaises fins, pour la fraude publicitaire, la distribution de logiciels malveillants ou la guerre psychologique comme dans le scandale Cambridge Analytica». Cette firme britannique a récupéré les données de 87 millions d’utilisateurs de Facebook pour mener des campagnes de manipulation politique, notamment aux Etats-Unis lors la présidentielle de 2016 ou lors du référendum sur le Brexit. 

Loin de se contenter de faire disparaitre les publicités, Brendan Eich, qui 

a passé toute sa carrière à développer des navigateurs internet – de Netscape 

à la Mozilla Corporation (Firefox) dont il a été le directeur technique – souhaite les réinventer.