Devant la boutique d’une enseigne parisienne de chocolats, Jacques, 50 ans, énumère ses achats de Pâques: poules, lapins, friture… Du «classique». Mais cette année, il a choisi des «petits formats» car «les prix ont augmenté», flambée des cours de cacao oblige. «C’est plus cher que l’an dernier, je dirais d’environ 15%», dit-il. Pas question toutefois…
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