madelen, la plateforme de streaming de l’INA, a lancé une campagne nationale, conçue avec l’agence joga, afin de positionner son offre et partager le renouvellement de sa plateforme de marque. L’occasion pour mediaCom d’évoquer cette prise de parole avec Margaux BRAULT, Directrice adjointe et responsable du département Marketing et Zoé MACHERET, Responsable adjointe du département éditorial de l’INA.
MEDIACOM’ Que représente l’offre madelen de l’INA ?
Zoé MACHERET madelen, c’est la plateforme de streaming payante de l’INA, créée en 2020 lors du confinement. «Arsène Lupin», «Chapeau Melon et bottes de cuir», l’émission «Apostrophes», «Les Enquêtes du commissaire Maigret», des documentaires ou encore des concerts et pièces de théâtre… on y retrouve une sélection de programmes pépites, uniques et originaux, qui ont fait la télévision des années 60 à nos jours. Pour se différencier des autres plateformes, nous mettons le traitement éditorial et la sélection personnalisée plutôt que la force des algorithmes au coeur de notre offre. Dernier point distinctif, le prix : avec un abonnement mensuel à 2,99 euros, notre offre est accessible à tous.
MEDIACOM’ Comment évolue votre identité visuelle ?
Margaux BRAULT Pour appuyer notre travail d’éditorialisation, nous avons fait évoluer notre identité visuelle dans l’objectif de fidéliser notre coeur de cible mais aussi d’aller conquérir un public plus large. En capitalisant sur des marqueurs déjà existants pour les rendre emblématiques, comme l’utilisation du slash ou de l’iconographie, nous avons souhaité gagner en cohérence et renforcer notre modernité. Des couleurs pop, un design épuré et des typographies fortes viennent réaffirmer l’ancrage de l’INA dans l’air du temps.
MEDIACOM’ À travers votre dernière campagne, quel est le message déployé ?
Zoé MACHERET En s’appuyant sur une tonalité ludique, cette campagne souligne le décalage de notre offre avec les usages du secteur : avec madelen, pas de cliffhangers ou de spin-off en tout genre… on ne consomme pas les programmes de la même façon, nous sommes dans le temps long, et c’est justement cela que viennent chercher nos audiences. Par session, les abonnés restent actifs pendant 45 minutes en moyenne et s’engagent fortement avec nos contenus. Nos accroches, pensées avec l’agence joga, vont dans ce sens : «Enfin une série dont on ne veut pas sauter le générique», «Regardez des séries sans spin-off ni préquel», ou encore « Rencontrez le Lupin à qui Lupin a tout volé».
MEDIACOM’ Quel est le plan média mis en place ?
Margaux BRAULT La campagne a démarré par une vague de diffusion en OOH et DOOH dans le métro parisien du 22 au 28 janvier 2025, via le réseau Médiatransports. Elle a aussi été déployée à travers un dispositif digital sur les réseaux sociaux et en programmatique. Cette campagne et les nouveaux éléments visuels déployés sont ainsi une base solide pour l’ensemble de nos canaux de communication.
MEDIACOM’ Cette campagne va-t-elle connaître d’autres vagues de diffusion ?
Margaux BRAULT Nous l’espérons ! Le terrain d’expression que nous avons déployé va nous permettre d’animer et de faire vivre ces marqueurs graphiques dans tous nos temps forts de l’année. Sur les réseaux sociaux, cet aspect créatif a toute sa place. Les retours sont déjà très positifs.