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Heineken se félicite d’un bond de 13% de son bénéfice net en 2019

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Le brasseur néerlandais Heineken s’est félicité mercredi d’un bond de plus de 13% de son bénéfice net pour l’année 2019, à 2,1 milliards d’euros, notamment grâce à une «solide performance» au cours du second semestre. 

Heineken, qui a finalisé en avril un partenariat avec l’entreprise China Resources Beer, principal producteur de bière chinois, a enregistré un chiffre d’affaires de 28,5 milliards d’euros, en progression de 6,4%, a indiqué le groupe dans un communiqué. Le brasseur avait annoncé en août 2018 l’achat de 40% de CRH Beer, la 

maison mère de China Resources Beer cotée à Hong Kong, pour 2,68 milliards d’euros. «En 2019, nous avons enregistré une nouvelle année de croissance supérieure de notre chiffre d’affaires, avec une solide performance continue au second semestre», souligne dans le communiqué le PDG Jean-François van Boxmeer, qui a annoncé son départ à partir de juin après 15 ans à la tête de la compagnie. Il sera remplacé par Dolf van den Brink, actuellement président de la région Asie-Pacifique. Heineken, numéro deux mondial de la bière, s’est réjoui de la hausse de 8,3% (contre 7,7% en 2018) de sa marque de bière éponyme, soit «sa meilleure performance depuis plus d’une décennie», avec une croissance à deux chiffres dans plus de 40 pays. Les investisseurs ont salué ces résultats. 

Possible impact du coronavirus : Pour 2020, le groupe prévoit une croissance organique moyenne à un chiffre de son résultat d’exploitation, sauf en cas «d’évolutions macroéconomiques et politiques négatives majeures». «En particulier, il n’est pas possible à ce stade d’évaluer l’étendue et la durée de l’impact du coronavirus sur l’économie et sur notre entreprise», a expliqué Heineken. Selon un dernier bilan mercredi dernier, l’épidémie de pneumonie virale a fait plus de 1.110 morts en Chine continentale. Heineken prévoit toutefois une bonne croissance de son chiffre d’affaires en 2020, porté par des prix favorables. Le groupe a enregistré une croissance organique des volumes de bière de 3,1% en 2019, profitant notamment d’une croissance à deux chiffres au Brésil, au Vietnam et au Cambodge. Cette croissance s’est notamment élevée à 26,6% au quatrième trimestre de 

2019 pour la région Amérique. Le brasseur a également noté une progression de sa bière sans alcool Heineken 0.0, lancée en 2017, qui poursuit son déploiement et est désormais 

disponible dans 57 pays. Fondé au XIXème siècle à Amsterdam, le groupe produit et vend plus de 300 marques de bière et de cidre, dont Heineken, Strongbow et Amstel, et emploie plus de 85.000 personnes dans le monde. 

L’Oréal fait appel à 4uatre

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À l’issue d’un appel d’offre, L’Oréal a confié à l’agence 4uatre la création de sa plateforme digitale interne de e-learning, pour l’accueil des collaborateurs au sein du Campus Seine 62.

TF1 PUB lance One PTV, la toute première offre de programmatique garanti TV en France

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Dans un marché vidéo programmatique en pleine croissance (+26% en 2019), TF1 PUB fait un pas de plus vers la convergence et révolutionne les modes d’achat en lançant One PTV. Avec ce dernier, la régie met à disposition ses inventaires TV linéaires sur cibles data dans les plateformes programmatiques digitales (DSP). Une solution inédite en France qui permet d’ouvrir l’achat TV aux acheteurs digitaux dans un double objectif de productivité et de simplification. Les trading desk digitaux auront accès à la qualité et la puissance des inventaires linéaires TNT du Groupe TF1 dans un premier temps, vendus au CPM net et sur près de 100 cibles data. Pour assurer le lancement de One PTV sur le marché français, TF1 PUB a choisi de s’associer à The Trade Desk, acteur référent de la publicité digitale. 

Cookut choisit M6 en exclusivité pour sa première campagne TV

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Cookut, marque d’ustensiles de cuisine, a choisi M6 comme chaîne exclusive pour sa première campagne TV, orchestrée par l’agence Digitalkeys. Du 6 au 21 février 2020, la marque lyonnaise prend la parole en classique et présente un de ses produits phares : la raclette à la bougie. À travers sa première communication en TV, Cookut nourrit un objectif de notoriété nationale pour une activité qui promeut la production éthique et le commerce local, démarche à laquelle M6 Publicité et l’agence Digitalkeys, experte en business digital, sont fières de s’associer. En s’adressant prioritairement aux femmes urbaines CSP+ adeptes des nouvelles tendances, Cookut bénéficie de la capacité de couverture et d’engagement de M6 sur cette population grâce aux thématiques traitées à travers ses programmes.

Uber aperçoit enfin la rentabilité

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Uber aperçoit la rentabilité tant désirée au bout du tunnel de 2020, malgré ses milliards de dollars de pertes annuelles et les nombreux bâtons dans les roues que lui mettent les régulateurs 

Citygo, l’application de covoiturage, lance sa première campagne

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Quelques semaines après son lancement officiel sur Lille et sa périphérie, l’application de covoiturage Citygo lance sa 1ère campagne de publicité. Un nouveau défi pour la marque qui compte déjà plus d’1 million d’utilisateurs et jusqu’à 200.000 trajets effectués chaque mois. Cette campagne va durer quatre mois. Le message clé à destination des 18-35 ans est el suivant : le fun de la route, celui des rencontres et des moments partagés ensemble. Pour sa réalisation, Citygo a notamment fait appel à l’agence Cream, spécialisée dans la communication à 360º. Seront déployés au total : 320 publicités destinées aux bus de la métropole lilloise, 460 faces d’affichages réparties dans toute la ville, des distributions de flyers sur les campus étudiants en périphérie et des spots radio réguliers sur toute la période. L’ensemble du dispositif sera également soutenu par une large campagne digitale sur les réseaux sociaux. Une vaste opération déployée, dans un premier temps, sur Lille et sa périphérie avec pour ambition de s’étendre à d’autres agglomérations françaises dans le courant de l’année. 

L’UE annonce l’ouverture d’une enquête sur le projet de rachat GrandVision par EssilorLuxottica

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La Commission européenne a annoncé l’ouverture d’une enquête approfondie sur le projet de rachat du distributeur d’optique néerlandais GrandVision par le géant franco-italien du secteur EssilorLuxottica pour 7,1 milliards d’euros, craignant une réduction de la concurrence. 

«Nous devons examiner attentivement si la concentration envisagée conduirait, sur ce marché en pleine consolidation, à des prix plus élevés ou à un choix plus restreint pour les consommateurs se rendant chez leur opticien», a souligné la commissaire européenne à la Concurrence, Margrethe Vestager, dans un communiqué. La Danoise rappelle qu’«EssilorLuxottica est le premier fournisseur mondial d’articles de lunetterie et GrandVision la plus grande chaîne européenne de vente au détail d’articles optiques». Bruxelles craint une réduction de la concurrence «sur le marché de la fourniture en gros de verres ophtalmiques et d’articles de lunetterie ainsi que sur celui de la fourniture au détail d’articles optiques». L’exécutif européen dispose de 90 jours ouvrables, soit jusqu’au 22 juin, pour rendre sa décision. «L’ouverture d’une enquête approfondie ne présage pas de l’issue de la procédure», a-t-il précisé. Le rachat de GrandVision par EssilorLuxottica avait été annoncé en juillet et soumis à l’approbation de Bruxelles en décembre. Les deux groupes «coopéreront étroitement avec la Commission» pour «expliquer en détail les raisons du projet d’acquisition ainsi que les avantages que celui-ci apportera aux clients, aux consommateurs et à l’ensemble des acteurs de l’industrie», a réagi EssilorLuxottica dans un communiqué. «Les sociétés réaffirment leur objectif commun de finaliser la transaction dans les 12 à 24 mois suivant la date de l’annonce» de la fusion, a-t-il précisé. Le franco-italien avait annoncé l’an passé son intention d’acquérir les 

76,72% de participation de HAL Holding N.V. dans le capital de GrandVision à un prix par action de 28 euros, valorisant la société néerlandaise à 7,1 

milliards d’euros. 

Prada, Chanel, Ray-Ban : EssilorLuxottica est lui-même issu d’une fusion conclue en octobre 2018 entre le français Essilor, leader mondial des verres ophtalmiques, et l’italien Luxottica, numéro un des montures de marques prestigieuses comme Prada, Chanel et Ray-Ban. Les ventes annuelles du groupe, qui distribue ses produits en gros, notamment à GrandVision, mais exerce aussi des activités de distribution au détail ont atteint 16,1 milliard d’euros en 2018. Le chiffre d’affaires de GrandVision, qui possède des marques comme GrandOptical ou Pearle, s’élève, lui, à 3,7 milliards d’euros en 2018. Avec cette opération, EssilorLuxottica, qui possède déjà 9.100 magasins de détail dans le monde, pourrait mettre la main sur plus de 7.000 nouveaux magasins dans plus de 40 pays en Europe, en Amérique du nord, en Amérique latine et en Asie. «Cela va créer une véritable entreprise mondiale de soins et d’équipements optiques qui sera idéalement positionnée pour capter les changements des besoins et des comportements des consommateurs», avait déclaré en juillet Stephan Borchert, PDG de GrandVision. «Cela faisait partie du plan lorsque Essilor et Luxottica se sont rapprochés. Il s’agit d’une des premières initiatives que nous avons lancées», avait pour sa part expliqué Laurent Vacherot, directeur général d’Essilor. 

Zespri révèle une nouvelle identité de marque

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Zespri, acteur mondial de la commercialisation de kiwis, a dévoilé son premier nouveau design en 22 ans d’histoire, avec une image de marque actualisée qui offre à l’entreprise une base solide pour poursuivre sa récente croissance. Dévoilée lors du plus grand évènement mondial de produits frais (Berlin Fruit Logistica), la nouvelle image de marque reflète mieux l’objectif de l’entreprise, qui est d’aider les personnes, les communautés et l’environnement à se développer grâce à la qualité du kiwi. Cette refonte comprend une nouvelle vision de la marque, un nouveau slogan et une nouvelle identité visuelle qui capture l’explosion de saveur que les consommateurs ressentent en dégustant un kiwi Zespri. Les clients et les consommateurs découvrent un logo Zespri revisité avec l’utilisation d’un éventail vert, inspiré par la coupe transversale éclatante d’un kiwi avec différentes nuances de reflets verts, et notre marque en rouge, reflétant l’énergie et le dynamisme de la marque Zespri. Pour souligner l’importance d’être en bonne santé, Zespri introduit une nouvelle signature de marque, qui donne aux consommateurs le pouvoir de «make your healthy irresistible» («Donne vie à ton côté healthy»). La nouvelle image de marque sera progressivement déployée sur les emballages et les supports de Zespri et entrera sur les marchés à partir de mai 2020. Zespri devrait consacrer en 2020 le plus gros investissement jamais réalisé dans le domaine du marketing afin de garantir un fort impact de la marque et de toucher le plus grand nombre de consommateurs possible. 

Arnaud Montebourg se lance dans les glaces fermières bio avec «La Mémère»

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L’ancien ministre de l’Économie Arnaud Montebourg, après avoir lancé des marques de miel et d’amande «origine France garantie», s’est associé à des éleveurs laitiers pour fabriquer et vendre des glaces fermières bio, un secteur qui suscite déjà d’autres appétits. 

«La Mémère», comme l’a baptisée M. Montebourg, est «une marque de glace équitable 100% bio, qui se fabrique chez l’éleveur laitier, qui transforme son propre lait en glace, sous la direction technique d’un meilleur ouvrier de France», David Wesmaël», a expliqué M. Montebourg. 

«Le lait est issu de la ferme, la glace est transformée à la ferme, la vente se fait à la ferme et ailleurs, et nous, on assure le «ailleurs»», a ajouté M. Montebourg. Monoprix a d’ores et déjà accepté de référencer ces glaces, selon l’ancien ministre, en discussion avec d’autres enseignes de la grande distribution. 

Particularité de cette initiative, M. Montebourg n’a pas choisi de contractualiser auprès des éleveurs, mais de s’associer avec eux. 

La Compagnie laitière des glaces paysannes, qu’il préside, monte avec l’exploitation agricole une société par actions simplifiée au capital de 10.000 euros, dont l’éleveur apporte 51%, soit 5.100 euros. 

La société de fabrication de glace achète 80 centimes le litre, sur un contrat garanti de cinq ans. 

L’agriculteur, qui est le président de la société, contractualise avec lui-même. 

«Ce n’est pas nous qui achetons le lait, c’est lui qui se l’achète à lui-même», indique M. Montebourg, qui ajoute: «il apporte son travail, nous apportons le capital». 

Car les éleveurs «n’ont pas les moyens d’investir dans un outil de fabrication de glace. 

S’ils le font, ils seront surendettés et ne pourront pas vendre suffisamment en vente locale pour rentabiliser», indique M. Montebourg. 

Une ferme d’Ille-et-Vilaine est pour l’instant associée avec M. Montebourg, en pourparlers avec deux autres exploitations: «on prend une ferme après l’autre, nous voulons mailler toute la France de ces ateliers». 

Sa société finance notamment le container recyclé, équipé d’un stockage en surgélation et d’un laboratoire prêt à fonctionner, placé chez l’éleveur. 

Avec la première ferme, M. Montebourg prévoit de fabriquer dans un premier temps 100.000 pots d’un demi-litre à l’année. 

Face à lui, le réseau Invitation à la ferme, qui regroupe une quarantaine d’exploitations, a également décidé de se lancer dans ce marché émergent de la glace bio paysanne. 

Laforêt fait appel à FHCOM

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À l’issue d’un processus de consultation d’agences, Laforêt a choisi FHCOM pour l’accompagner dans l’ensemble de sa stratégie de relations médias et influence. Le périmètre de l’agence qui travaillera main dans la main avec les équipes communication de Laforêt couvrira les prises de parole corporate, BtoB ainsi que BtoC. En capitalisant sur son ancrage local et sa forte capacité d’innovation, Laforêt souhaite valoriser les spécificités d’un réseau porté par près de 700 agences franchisées et de 3.000 collaborateurs, générant un chiffre d’affaires annuel de 230 millions.