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L’agence Mlle Pitch accompagne les 50 ans de la Francophonie

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L’agence Mlle Pitch accompagne les 50 ans de la Francophonie et déploiera une campagne d’affichage nationale en juin et décembre prochains via les réseaux Médiatransport et Métrobus. Cette campagne signée Upgrade, et portée par l’Agence Mlle Pitch et par la Francophonie met en avant 5 jeunes issus des pays de la francophonie, 5 jeunes entrepreneurs issus des 5 continents, tous porteurs d’un projet entrepreneurial ou associatif fort, tous francophone.

Facebook, une activité qui augmente mais des revenus qui s’effrite

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Facebook voit son activité augmenter et ses revenus s’effriter à mesure que les centaines de millions de personnes confinées dans le monde à cause de la pandémie de coronavirus passent plus de temps en ligne, a fait savoir le réseau social mardi. 

«Dans de nombreux pays fortement affectés par le virus, le volume de messages échangés a plus que doublé en un mois», indiquent Alex Schultz et Jay Parikh, deux vice-présidents du groupe, dans un communiqué. L’explosion des usages numériques concerne aussi les appels audio et vidéo via WhatsApp et Messenger. En Italie, foyer de l’épidémie en Europe, «le temps passé dans des appels en groupe (avec 3 participants et plus) a bondi de 1.000% pendant le mois dernier». Cette tendance va continuer alors que de nombreux autres pays européens, américains et africains appliquent désormais des consignes de confinement. Plus de 2,6 milliards de personnes dans le monde sont appelées à rester chez elles. Pour le réseau mondial dominant, cette hausse de la fréquentation ne se transforme pas en hausse des revenus, au contraire. «Nous ne dérivons pas de profit des services dont les utilisateurs se servent plus que d’ordinaire, et nous voyons notre activité publicitaire s’affaiblir dans les pays qui prennent des mesures draconiennes pour diminuer la propagation du Covid-19», expliquent M. Schultz et M. Parikh. Sans compter la pression accrue sur les serveurs, et toutes ses équipes, des ingénieurs aux modérateurs qui travaillent de chez eux pour s’assurer que les applis du géant des technologies restent «rapides et fiables», malgré les «records quotidiens». 

Isabelle Sempastous rejoint Novadial group au poste de Responsable Digital Factory

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Novadial Group, l’un des principaux experts français sur le marché de la gestion de la relation client, complète son département Marketing digital en recrutant Isabelle Sempastous en qualité de Responsable Digital Factory. Dans le cadre de sa mission, elle va jouer un rôle-clé au niveau de l’équipe qu’elle rejoint et apporter toute son expertise autour de projets digitaux à forte valeur ajoutée. Elle compte bien mettre l’agilité au coeur des réalisations et de son équipe. Isabelle aura la charge de poursuivre le développement du pôle Digital et supervisera l’ensemble des opérations réalisées avec son équipe telles que : la gestion de campagnes marketing, le lancement de sites web, la création d’applications mobiles… autant de sujets stratégiques pour lesquels Novadial Group souhaite accélérer et se développer ces prochaines années.

Pharmabest diffuse des messages de prévention qui incitent au #Confinement

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Alors que l’état de pandémie a été déclarée par le gouvernement il y a moins de 10 jours, le groupement de pharmacies Pharmabest s’adresse depuis le 20 mars directement à ses clients pour diffuser des messages de santé publique et inciter au confinement. Il lance également le 24 mars, un programme d’activité physique à domicile pour inciter les français à rester chez eux tout en prenant soin de leur corps. Parce qu’il accueille chaque jour plus de 120 000 français dans ses 90 officines, il est naturel que le groupement s’associe pleinement aux directives gouvernementales de protection des français contre le coronavirus.En complément de ces conseils prodigués dans les officines, une campagne de sensibilisation a été lancée le 20 mars, depuis son site web et par l’envoi de plus de 770 000 emails plusieurs fois par semaine, à ses porteurs de carte de fidélité. Pharmabest a envoyé une série de messages visant à relayer les mesures de sécurité sanitaire et les nouvelles dispositions en vigueur dans les pharmacies : #GestesBarrières, #Scan Ordonnance pour éviter la queue dans les pharmacies, possibilité de prolonger les prescriptions médicale, réponses aux questions sur l’épidémie, etc…4 films illustrent le propos. 

Le PMU annonce avoir mis 95% de ses 1250 salariés au chômage

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Le PMU annonce avoir mis 95% de ses 1.250 salariés au chômage partiel, la crise sanitaire du coronavirus ayant provoqué «l’arrêt quasi total de son activité», alors qu’il avait amorcé une reprise l’an dernier. 

«Compte tenu de la suspension des courses hippiques sur le territoire national depuis le 17 mars et de l’arrêt de la commercialisation des paris hippiques dans l’ensemble de ses points de vente, le PMU a décidé de recourir 

à un dispositif collectif de mise en activité partielle de ses collaborateurs», précise un communiqué. Le Pari mutuel urbain, «qui a pour mission de financer la filière hippique et ses dizaines de milliers d’emplois directs et indirects» s’efforce de limiter les impacts financiers de la crise». «Nous mettrons tout en oeuvre pour retrouver notre dynamisme dès que cela sera possible», affirme Cyril Linette, son directeur général, cité par le communiqué. Bien que le PMU se soit diversifié dans les paris sportifs et le poker depuis 2010, le pari hippique représente toujours près de 85% des enjeux, qui s’élevaient à 7,6 milliards d’euros l’an dernier. Il va s’efforcer de continuer à proposer à ses clients une offre en ligne faite de paris hippiques sur des courses internationales, de paris sportifs et de poker. Après des années de chute des paris hippiques, le PMU avait commencé à inverser la tendance en 2019, se rapprochant de l’équilibre sur son coeur de métier grâce à un plan de relance engagé un an plus tôt. 

Covid-19: Twitter previent ne pas pouvoir atteindre certains de ses objectifs 2020

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Twitter a prévenu qu’il ne parviendrait pas à atteindre certains de ses objectifs en 2020, à cause de la pandémie de coronavirus qui paralyse l’économie mondiale, et donc la publicité, principal vecteur de revenus du réseau social. 

Le groupe «retire ses prévisions de chiffre d’affaires pour le premier trimestre 2020 ainsi que ses perspectives annuelles en termes de dépenses, d’embauches et de rémunérations à base d’actions», selon son communiqué. Le réseau s’attend désormais à des revenus légèrement inférieurs à ceux de 2019 pour les trois premiers mois de l’année. Alors que les gouvernements répondent à la crise sanitaire avec des mesures drastiques de confinement des populations, la plateforme connaît une hausse de sa fréquentation. Twitter compte près de 164 millions d’utilisateurs quotidiens, soit 8% de plus que fin 2019, et 23% de plus qu’il y a un an. Mais la crise économique entraîne un effondrement des budgets publicitaires de nombreuses entreprises. «L’impact du Covid-19 s’est d’abord fait sentir en Asie, et quand c’est devenu une pandémie cela a affecté les revenus publicitaires mondiaux de Twitter plus durement ces dernières semaines», détaille Ned Segal, le directeur financier du groupe. 

Les marchands de journaux souffrent du coronavirus

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Ils résistent tant bien que mal à la crise du coronavirus malgré les risques pour leur santé et les incertitudes qu’elle fait peser sur leur activité : les marchands de journaux, autorisés à rester ouverts, vivent des journées en forme de montagnes russes. 

les jours et les heures qui ont précédé l’entrée en vigueur du confinement, de nombreux Français se sont pressés chez les marchands de journaux, surtout ceux situés à proximité de commerces alimentaires ou qui vendent du tabac (40% d’entre eux), explique Daniel Panetto, président de l’union des marchands de presse, Culture Presse. 

Ce fut le cas dans son magasin situé dans la galerie marchande d’une grande surface, à Ambérieu en Bugey dans l’Ain. 

Mais depuis, la fièvre est retombée et les clients se raréfient. «On a vu un décrochage radical», témoigne-t-il. 

A Semur-en-Auxois, un bourg de 4.000 habitants en Côte d’Or, le marchand de journaux tourne aussi au ralenti et a réduit ses horaires d’ouverture. 

«On reçoit beaucoup moins de presse et les ventes ont diminué de moitié, sauf pour la presse régionale», raconte sa gérante Francine Ferreira. «Les gens ont fait leurs réserves de cigarettes lundi, on verra comment ça se passe à la fin de la semaine», avance-t-elle. 

A l’inverse, le kiosque à journaux de la place Jules-Joffrin, dans le 18ème arrondissement de Paris, reste très demandé alors que la plupart des maisons de la presse de ce quartier habituellement très commerçant ont fermé, tout comme des milliers d’autres marchands de journaux dans tout le pays. 

Les clients se succèdent à un bon rythme mais en tenant leurs distances en cette fin de matinée ensoleillée, la plupart protégés par des masques, écharpes ou foulards, pour s’approvisionner surtout en magazines. 

Stéphane, enseignant en banlieue, repart lui avec un exemplaire de Libé, et de l’hebdomadaire Le 1. 

«Aujourd’hui on a suffisamment de supports numériques pour s’informer plus rapidement, mais avec les journaux je cherche plutôt une analyse de fond», explique-t-il. 

«La situation est très contrastée» selon les territoires, résume Daniel Panetto. 

Franck Provost lance un appel à tous les professionnels de la beauté

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A la tête d’un empire, le coiffeur Franck Provost a lancé un grand élan de solidarité en offrant aux pharmacies proches de ses 2.000 salons l’intégralité de ses stocks de gants en latex, sprays et lingettes désinfectants et appelle tous les professionnels de la beauté en général à en faire autant. «Nous les coiffeurs, comme des milliers de professionnels, avons cessé toute activité depuis samedi dernier et nous pensons à tous ceux qui continuent sur le terrain à assumer la poursuite des actions essentielles au fonctionnement de notre pays, et plus particulièrement à tout le personnel de santé qui se bat jour et nuit pour sauver des vies. . C’est pourquoi j’ai décidé, en concertation avec le Conseil National de l’Ordre des Pharmaciens, de faire don aux officines et pharmacies les plus proches des salons de la totalité des stocks (en sprays et lingettes désinfectantes, gants en latex etc..) des 2.000 salons du groupe Provalliance en France», s’est ainsi exprimé l’homme d’affaires dans un communiqué de presse. 

PSA Retail choisit Quill comme partenaire pour déployer sa stratégie digitale de contenus

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Quill (Groupe Webedia) a été choisi par PSA Retail pour renforcer la visibilité de ses sites à l’échelle européenne et faire de la performance un axe clé de son développement. Pour soutenir le développement des concessions et de la vente en ligne, PSA Retail, premier groupe de distribution automobile en France et deuxième en Europe, a lancé une dizaine de sites internet dédiés dans différents pays. Le groupe de distribution a décidé de centraliser le pilotage de sa stratégie éditoriale et des leviers SEO afin de déployer une approche globale déclinable pays par pays et favoriser ainsi une croissance forte et durable sur son marché. «Nous savons aujourd’hui que la concurrence digitale dans le secteur de l’Automobile est très forte et nous demande d’investir un peu plus chaque jour pour maintenir notre présence sur le web. Le SEO est un élément incontournable pour optimiser nos investissements média et nous permettre de développer de nouvelles fonctionnalités. Cette année, nous avons pris la décision de faire confiance à Quill pour nous accompagner dans le développement et le suivi de notre visibilité à l’internationale et sur l’ensemble de nos activités», explique Matthieu Joret, PSA retail digital product manager. 

Rungis, le premier marché de gros d’Europe, doit s’adapter au défi saniataire du coronavirus

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Rungis, le premier marché de gros en Europe, continue de fonctionner au sud de Paris pour alimenter les Français en produits frais, mais a dû s’adapter en un temps record au défi sanitaire du coronavirus, explique son président Stéphane Layani. 

En quelques jours à peine, le marché, qui pèse près de 10 milliards d’euros 

de chiffre d’affaires annuel, a perdu toute sa clientèle issue de la restauration, celle des cantines, ainsi que son activité de fleurs fraîches, après la fermeture des restaurants, écoles, universités et des commerces non-alimentaires. «Confinés, nous ne consommons pas exactement les mêmes choses que lorsque nous allons à la cantine ou au restaurant», explique M. Layani lors d’un entretien téléphonique. D’où un travail «très dur» pour réorganiser les flux de distribution des 1.200 entreprises présentes à Rungis. «On travaille 20 heures sur 24», constate-t-il. Ainsi les coquillages et fruits de mer des mareyeurs, fierté des brasseries parisiennes, ont dû être écoulés par la grande distribution après la fermeture des restaurants. Bovendis, fournisseur de la restauration, a dû trouver d’autres clients pour ses viandes. Ces changements ont créé des fluctuations inhabituelles sur les prix de gros. Le cours de la pomme de terre s’est envolé lundi par crainte de pénurie avant la prochaine récolte, suivi par les aubergines et les courgettes importées d’Espagne, par peur de problèmes d’acheminement. Le poisson a, lui, fortement baissé, après la fermeture des principaux acheteurs des produits de la mer, les restaurants, qui constituent 20% du chiffre d’affaires de Rungis. 

«C’est compliqué» : «Malgré cela, on a assisté à beaucoup de solidarité pour éviter le gaspillage alimentaire», salue M. Layani. Des patrons de la distribution d’ordinaire peu présents à Rungis, dont Thierry Cotillard (Intermarché), «se sont manifestés» pour racheter des stocks qui restaient sur le carreau, invendus. «On n’est plus du tout dans les bisbilles traditionnelles de prix entre producteurs et distributeurs», relève M. Layani. «On est en guerre contre le virus et Rungis prend part au combat, l’ensemble de la chaîne reste unie, même si en ce moment, c’est compliqué», avoue-t-il. L’alimentation des Français confinés constituant un sujet stratégique, le président de Rungis participe deux fois par jour à une réunion avec les industriels de l’agroalimentaire, les patrons de la distribution, des représentants du ministère de l’Economie, et de celui de l’Agriculture et de l’alimentation. «On essaie de désamorcer tous les problèmes», logistique, acheminement, déstockage, «et il y en a beaucoup», confie-t-il: manque de masques pour certains salariés, manque de salariés dans certaines entreprises… Aujourd’hui, alors que certains médecins réclament un renforcement des contraintes de circulation, notamment l’interdiction des marchés forains pour freiner la propagation du virus, M. Layani juge «très important» que les gens puissent continuer d’aller faire leurs courses sur les marchés de plein air et que «la chaîne alimentaire tienne».