Vico a imaginé avec son agence créative Change une campagne de communication transversale valorisant sa production made in France, son savoir-faire et la qualité de ses recettes simples aux listes d’ingrédients courtes, à travers un ton efficace et transparent. Le plan de communication comprend 5 affiches en rotations sur 3.600 panneaux en France, un volet insertion presse et la diffusion de 4 mini-films en rotation sur YouTube.
Landor accompagne les musées d’Orsay et de l’Orangerie dans la refonte de leur stratégie de marque
L’agence Landor accompagne les musées d’Orsay et de l’Orangerie dans la refonde de leur stratégie de marque pour incarner une ambition et un dynamisme renouvelés, au service des publics. Ce travaille d’harmonisation gardera comme cap le coeur des missions des deux agences : rendre accessible la culture à tous, partager et transmettre aux générations futures, mais aussi améliorer continuellement l’expérience des visiteurs.
Nouvelle campagne TV pour Brico Dépôt
L’enseigne Brico Dépôt reprend la parole avec une nouvelle création qui met en exergue l’ADN de l’enseigne : être au service de la performance de ses clients sur leurs chantiers. Dans ce nouveau film publicitaire, le client devient le héros, au coeur des préoccupations. De mars à octobre, 5 vagues de diffusion du film ont été pensées et ce, sur TF1, M6, W9, 6ter, C8, TMC, RMC Story, CNEWS, BFM ou encore NRJ12 et Discovery channel.
Pourquoi la F1 séduit les constructeurs automobiles ?
Dix écuries au départ et toujours les mêmes qui gagnent… Alors que c’est au tour de Mercedes de régner sur la F1 depuis 2014, pourquoi les constructeurs sont-ils aussi nombreux dans la catégorie reine du sport automobile ?
En 2020, ils sont sept sur la grille, avec aussi Ferrari, McLaren, Aston Martin (sponsor titre de Red Bull cette année, qui s’engagera en son nom propre avec Racing Point l’an prochain), Alfa Romeo (avec l’ex- Sauber), Renault et Honda (qui motorise Red Bull et AlphaTauri). Cette présence accrue depuis les années 2000 s’explique par la «visibilité mondiale très importante» qu’offre la F1, en hausse depuis la reprise par les Américains de Liberty Media en 2017, avance Flavien Neuvy, directeur de l’Observatoire Cetelem de l’automobile. «C’est très bon en termes de notoriété», poursuit-il. «Ils cultivent ainsi une image de constructeurs pointus, à la recherche de performance et d’innovation.» Le retour de Mercedes en tant qu’écurie en 2010 a ainsi coïncidé avec le rajeunissement et l’internationalisation de la clientèle de la marque, dont la valeur estimée est passée de 25,2 milliards de dollars (22,1 mds d’euros) à
cette date à 50,8 mds (44,5EUR) en 2019.
Transferts de technologies : Les transferts de technologies entre F1 et véhicules de route font aussi partie des bénéfices. Ferrari donne pour exemple l’hybridation des moteurs. La Scuderia s’y est attelée en F1 en 2011 avec l’introduction du KERS (système de récupération de l’énergie cinétique au freinage), une technologie transférée sur les routes en 2013 avec la LaFerrari. Depuis, la marque au cheval cabré a lancé en 2019 sa première voiture hybride, la SF90 Stradale. Markus Schäfer, membre du comité directeur de Daimler, fait lui valoir les progrès obtenus grâce à l’engagement de Mercedes en F1 en matière «d’aérodynamique, de suspensions, de sécurité ou encore de recours aux outils de simulation», comme les souffleries. «A partir de la F1, nous avons créé deux business différents», illustre enfin Zak Brown, le PDG de McLaren. «Elle permet de soutenir et de construire notre marque automobile, en interagissant avec nos concessionnaires et nos clients. Et McLaren Applied développe des technologies dans le domaine des communications, du transport, du «big data», toutes nées de la F1.» «Cet engagement permet de lier un budget marketing et un budget recherche et développement, ce qui est rare pour les constructeurs», développe Fleury. Si le succès apporte indéniablement une exposition médiatique supplémentaire, plus de sponsors et de primes aux résultats, il n’est par contre pas corrélé avec les ventes de véhicules, indique Brown, dont l’écurie a connu un passage à vide entre 2013 et 2018. «Notre business n’a fait que croître. Notre marque est très résiliente grâce aux succès obtenus à l’échelle de notre présence en F1», affirme le dirigeant américain. «Il en va de même pour Ferrari: ils n’ont plus gagné un championnat depuis 2008 mais leur marque continue de se développer.»
L’Association des Journées de la Schizophrénie déploie une nouvelle campagne
L’Association des Journées de la Schizophrénie déploie une nouvelle campagne de communication basée sur le levier original de l’annonce du lancement d’une nouvelle série : «SCHIZO» La 1re série scientifique fondée sur des faits réels et cautionnée par un comité d’experts sur la schizophrénie.
Un principe créatif attractif dont l’objectif est d’inciter les 15-35 ans, grands consommateurs de séries, à s’intéresser à ce sujet sensible et à mieux comprendre la réalité de la maladie. Pour, au final, contribuer à briser le tabou. Cette campagne originale, imaginée par l’agence CYCA Creative Hub et réalisée par L’imagerie Films, sera dévoilée au public selon la mécanique suivante : un teaser diffusé dans les salles de cinéma, à la télévision et sur les réseaux sociaux puis un pilote, épisode zéro marqué par un «twist final», sera accessible en ligne sur schizo-thefiction. com depuis le 11 mars. Enfin, ce site permettra de décrypter les premiers symptômes d’une décompensation psychotique. Pour rappel, les Journées de la Schizophrénie se tiennent du 14 au 21 mars.
Le groupe français de ciblage publicitaire, Criteo visé par une enquête de la Cnil
Le gendarme français des données personnelles, la Cnil, a lancé en janvier une enquête sur le groupe français de ciblage publicitaire sur internet Criteo, ont confirmé le régulateur et l’entreprise.
L’association britannique Privacy International avait porté plainte en novembre 2018 contre sept entreprises procédant à la collecte à grande échelle de données, dont Criteo, la star française de la publicité en ligne.
«Nous espérons que cette enquête mènera à une plus large prise en compte des pratiques de l’industrie de la publicité en ligne (et qu’elle) entraînera
des changements dans cet écosystème», s’est félicitée lundi l’association de défense de la vie privée, informée début mars du démarrage de l’enquête de la Cnil sur Criteo.
La plainte «remettait en question de manière générale les pratiques des courtiers en données, des sociétés de technologie publicitaire et des sociétés de notation de crédit», a précisé Criteo dans une déclaration.
«Nous collaborons actuellement avec la Cnil dans leur enquête et restons totalement confiants dans nos pratiques de confidentialité», a ajouté le groupe.
Contactée, la Cnil a confirmé le début des investigations sans préciser leur teneur, couverte par «le secret de l’instruction».
Les entreprises ciblées par la plainte de Privacy International sont les courtiers en données Acxiom et Oracle, les sociétés de technologies publicitaires Criteo, Quantcast et Tapad et les agences de notation de crédit Equifax et Experian.
L’association reprochait notamment à ces entreprises de ne pas se conformer
aux règles de protection des données prévues par le Règlement européen sur les données personnelles (RGPD), ni de respecter l’obligation de recueillir le consentement des internautes à l’utilisation de leurs informations personnelles.
Entré en vigueur dans l’Union européenne en mai 2018, le RGPD prévoit des amendes qui peuvent aller jusqu’à 20 millions d’euros ou 4% du chiffre
d’affaires mondial.
Seule Criteo dépend de l’autorité de la Cnil.
Quantcast fait l’objet d’une enquête du régulateur irlandais des données personnelles, tandis que son équivalent au Royaume-Uni investigue sur les pratiques d’Acxiom, Experian et Equifax, a précisé l’association Privacy International.
Criteo, dont le modèle est menacé par les limitations croissantes, techniques et réglementaires, apportées au traçage des internautes, a subi l’an dernier un recul historique de son chiffre d’affaires (-2% à 2,3 milliards d’euros) et s’attend à une chute encore plus prononcée cette année.
Baisse de 10% des ventes en France des vins de Bordeaux
Trinquer à la bière ou au rosé plutôt qu’au vin rouge: les chiffres officiels ont confirmé une nette tendance à la «déconsommation» des vins de Bordeaux en France, avec un recul de 10% de leurs ventes en grande distribution l’an dernier.
Si les hyper et supermarchés restent le premier circuit de commercialisation avec 130 millions de bouteilles vendues l’an passé, l’appétence pour les vins de Bordeaux s’émousse, alors que la consommation globale de vin est en recul en France, a indiqué le Conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux (CIVB) lors d’une conférence de presse mardi à Paris.
Ces chiffres en berne s’ajoutent aux perspectives moroses des exportations
vers les États-Unis, entravées par la taxe de 25% appliquée mi-octobre par
l’administration Trump, et le fort recul des ventes de bordeaux en Chine depuis deux ans (à 421.000 hectolitres en 2019 contre plus de 600.000 hl en
2017).
«Sur le marché français, qui représente 56% de notre commercialisation, (…) nous avons perdu un cinquième de nos volumes sur les cinq dernières années, essentiellement sur les vins entre 3 et 5 euros: Les consommateurs boivent moins d’alcool, moins souvent, en plus petite quantité et se détournent des vins rouges en favorisant des vins frais comme le rosé ou les bières» a déclaré Bernard Farges, président du CIVB.
Sous le choc, Bordeaux, d’ordinaire encline à un certain sentiment de supériorité dans le monde de la viticulture française, s’est lancée dans une introspection inédite pour tenter de sortir du marasme.
«La tendance est à la modération et cela touche toutes les appellations, tous les alcooliers» a indiqué M. Farges en admettant aussi que l’image de Bordeaux est souvent synonyme «de tradition, d’héritage, de cherté», et pas associée aux vins «souples, fruités, faciles à boire» plébiscités par les consommateurs.
Pour en sortir, il a indiqué que Bordeaux allait mettre en valeur les «gueules» de Bordeaux, les vignerons, les négociants qui font et vendent le vin, comme le font déjà très bien d’autres régions viticoles, Bourgogne, Loire ou Languedoc par exemple.
«Certes nous sommes les grands crus et les crus classés de 1855, mais nous
ne sommes par que cela» a dit M. Farges en citant «les reconversions, les hipsters, les créatifs et les fous» de Bordeaux qui gagneraient à être mieux connus des amateurs de vins.
Ferrero en France lance Kinder Cards, le premier biscuit Kinder
La marque Kinder se diversifie et lance pour la première fois en France un biscuit alliant finesse, fondant et croustillant qui arrivera en magasin courant mars. Un nouveau biscuit permettant au Groupe Ferrero d’amplifier sa diversification sur le segment du biscuit et renforcer sa position sur le marché de l’épicerie sucrée. Après le rachat de Delacre en 2016, les lancements réussis de Nutella B-ready et Nutella Biscuits en 2016 et 2019, Ferrero en France a largement dynamisé le marché́ des biscuits en contribuant à 76% de sa croissance valeur sur l’année 2019, et atteignant une PDM valeur de 8,3%. Un succès sur lequel Ferrero en France souhaite capitaliser pour renforcer sa position sur le marché́ de l’épicerie sucrée. «Kinder Cards, c’est le début d’une nouvelle aventure très ambitieuse pour la marque Kinder. Ce lancement s’inscrit dans une stratégie de diversification du Groupe Ferrero et nous permettra de développer la marque Kinder sur le marché des biscuits. Kinder Cards, c’est toute l’expérience du goût Kinder dans un biscuit qui saura surprendre parents et enfants au moment du goûter !» affirme dans un communiqué Loic Lallier, Directeur Marketing Kinder France.
Auchan affirme que la corruption a été traitée en Russie et que la firme n’est plus touchée
Le distributeur français Auchan admet avoir été confronté à de la corruption en Russie, mais affirme qu’elle «a été traitée», après un article de presse évoquant une affaire qui «menace la viabilité financière» de sa filiale.
Après la parution vendredi dernier d’un article des Echos, «je découvre ce matin que quelqu’un dit qu’il y a des mouvements de corruption en Russie.
Je ne vais pas dire «non», «oui», je dis «ah bon? ok», on va avoir un «check» particulier sur ce sujet-là, parce qu’à ma connaissance il n’y en avait plus», a déclaré Edgard Bonte, président d’Auchan Retail, à l’occasion de la publication des résultats annuels de la holding.
«Il y a eu effectivement de la corruption qui a été détectée et traitée (en Russie) il y a des années, et des mois. Je n’ai pas connaissance de plus: s’il y a d’autres cas, on les traitera», a-t-il ajouté, assurant que le distributeur avait «des règles extrêmement strictes sur le sujet».
Selon le quotidien économique, qui publie une enquête de son correspondant à Moscou, la filiale russe d’Auchan «est secouée par un scandale de
corruption» et «le juriste qui était chargé de faire le ménage a été écarté
après avoir été brutalement attaqué».
Cet «avocat expert anti-corruption», Alexeï Jarkov, affirme avoir été «roué
de coups de barre de fer à la tête» et «soupçonne l’un des cinq réseaux de corruption qu’il a découverts d’être derrière son agression», écrit le journal.
Selon M. Jarkov, cité par Les Echos, «entre 80 et 100 millions d’euros, soit de 2 à 3% du chiffre d’affaires réalisé en Russie, sont siphonnés chaque année grâce à cinq schémas de corruption, notamment aux marques propres, aux produits frais, aux fruits et légumes, mais aussi à la sécurité».
«Le comité d’investigation de la région de Moscou chargé des affaires criminelles a lancé une enquête judiciaire», dit le journal.
Les faits rapportés par Les Echos n’ont «aucun lien avec le départ» en novembre, du directeur général d’Auchan Retail Russie, a affirmé M. Bonte. «On s’est séparés des services de François Rémy qui n’étaient pas au rendez-vous des résultats que nous attendions (…) mon analyse a été de plutôt prendre quelqu’un qui était local, Johannes (Tholey), et est en train de reformer une équipe».
Le chiffre d’affaires d’Auchan a reculé de 5% à périmètre comparable en Russie, où 30 magasins ont été fermés l’an dernier, au sein d’une activité en
«Europe centrale et de l’Est» qui représente 20% du chiffre d’affaires total d’Auchan Retail, soit 9 milliards d’euros en 2019.
Le Groupe TF1 remporte le premier Prix d’Or TOP/ COM Grands Prix 2020
A l’occasion du Congrès de la communication corporate et BtoB, qui a lieu du 24 au 27 février 2020, le Groupe TF1 a remporté le 1er prix d’Or des TOP/COM GRANDS PRIX 2020 Corporate Business, dans la section design et la catégorie identité sonore.