Le 1er mars leboncoin lance sa nouvelle plateforme de communication de marque et une nouvelle campagne avec DDB. Cette dernière a conçu la nouvelle plateforme de marque du boncoin : «le bon______pour tous». Des nouveaux codes graphiques ont aussi été définis à cette occasion avec un nouveau look qui abandonne le tout orange au profit d’une communication moins monochrome. Désormais, chaque verticale possède sa couleur dédiée pour faciliter la compréhension de nos prises de parole. Une campagne portant ce nouveau discours sera déployée jusqu’en décembre. Elle démarrera le 1er mars avec un film de marque suivi de 6 films en télé, accompagnés d’une activation digitale ainsi que d’une campagne d’affichage visible du 17 mars au 4 mai 2020. Un dispositif inédit sur les réseaux sociaux du Groupe est également mis en place tout au long de la campagne : #lebonconcours sur twitter, un filtre instagram, des gifs dédiés. «Avec notre nouveau film de marque, en forçant le trait, nous cherchons à interpeller le spectateur sur ses choix de consommation, choix qui sont devenus presque politiques aujourd’hui. Mais avec humour, sans faire la morale ou porter un jugement ! Notre objectif est de valoriser l’alternative de consommation que permet leboncoin» explique dans un communiqué Antoine Jouteau, Directeur Général leboncoin Groupe.
La Peugeot 208, la citadine, désignée voiture européenne de l’année
La dernière génération de la Peugeot 208, une citadine déclinée en version essence, diesel ou électrique, a été désignée lundi voiture européenne de l’année, un prix remporté trois fois lors des sept dernières éditions par la marque française au lion. «Nous sommes très très heureux d’être honorés (…) nous allons immédiatement le faire savoir à nos clients», a réagi Jean-Philippe Imparato, directeur général de Peugeot (groupe PSA), s’exprimant en visio-conférence lors d’une remise de prix organisée à huis-clos à Genève (Suisse), en raison du coronavirus, et diffusée sur internet. Cette récompense convoitée, créée en 1964, est traditionnellement décernée à la veille des journées presse du salon automobile de Genève, un événement annulé cette année à cause de l’épidémie de Covid-19. Peugeot avait déjà remporté ce prix en 2014 avec la berline compacte 308 et en 2017 avec le SUV (4×4 de loisir) 3008, deux modèles qui ont connu une belle carrière commerciale. La particularité de cette citadine de segment B est d’être disponible à la fois en motorisation thermique et électrique. Le groupe PSA (qui compte aussi les marques Citroën, DS, Opel, Vauxhall) a opté pour des plateformes techniques dites «multiénergie» afin de proposer au client la possibilité de l’électrification pour chacun de ses nouveaux modèles. Cette stratégie permet de produire les différentes déclinaisons sur une même ligne d’assemblage, améliorant la flexibilité et réduisant les risques face à l’incertitude de la demande pour les voitures électriques. La Peugeot 208, voiture la plus vendue en France depuis le début de l’année, succède à la Jaguar I-Pace, un SUV de luxe 100% électrique élu en 2019.
JCDecaux : bénéfice net record de 265,5 millions d’euros en 2019
Le géant français de l’affichage publicitaire JCDecaux a publié jeudi un bénéfice net record de 265,5 millions d’euros en 2019 et un chiffre d’affaires de 3,5 milliards d’euros, les «meilleurs résultats depuis sa cotation», selon un communiqué.
Le chiffre d’affaires ajusté et à données constantes est en revanche attendu en baisse de 10% sur le 1er trimestre 2020, en raison de la forte baisse d’activité en Chine liée à l’épidémie de coronavirus, qui s’ajoute à des difficultés persistantes en Asie- Pacifique.
La marge opérationnelle du groupe sera en conséquence affectée en 2020,
«malgré la mise en place de mesures d’ajustement de notre structure de coûts pour en atténuer l’impact», précise le président du directoire Jean- François Decaux, cité dans un communiqué.
«Tous nos mandants en Chine reconnaissent pleinement la forte baisse d’activité» du secteur «et ont tous déjà exprimé leur intention de nous accorder des réductions de loyer», a-t-il précisé.
«Aujourd’hui il y a moins de monde dans les métros de Pékin ou de Shanghai, 1 million au lieu de 14 millions (en temps normal). Pour accompagner nos clients, on a fait des gestes commerciaux, des ajustements tarifaires.
Le rebond arrivera, la question c’est quand», a précisé le co-directeur général du groupe familial Jean-Charles Decaux.
L’activité en Asie-Pacifique (la première région en terme de chiffre d’affaires) avait déjà été fortement perturbée sur le second semestre 2019, notamment dans le métro à Hong Kong en raison des manifestations contre le pouvoir pro-Pékin qui ont été violemment réprimées, mais également d’un ralentissement économique en Australie.
Cela n’a pas empêché le groupe de clore l’année 2019 sur un bénéfice net
record de 265,5 millions d’euros, en progression de 34,6%.
«La plupart des catégories d’annonceurs sont en hausse, au premier rang
desquels la distribution, les produits de luxe et de beauté et les loisirs», a déclaré Jean-François Decaux.
Le chiffre d’affaires ajusté – indicateur privilégié par le groupe car comparable aux données historiques – s’élève à 3,9 milliards d’euros (+7,5%).
En excluant l’impact positif lié à la variation des taux de change et aux changements de périmètre, il s’inscrit en hausse de 2%.
Sur l’année, les ventes sont principalement tirées par les activités sur le mobilier urbain (+5,3% à données constantes), en progression dans toutes les régions du monde, tandis que le transport stagne à 0,3% et l’affichage extérieur baisse de 3,5%.
Les activités numériques (25,2% de l’activité) ont également cru de 33%.
Lego consolide ses résultats avec un bénéfice net et un chiffre d’affaires en hausse
La brique plastique, c’est fantastique: en 2019, le groupe Lego a consolidé ses résultats avec un bénéfice net et un chiffre d’affaires en hausse, dans un marché du jouet en plein renouvellement.
Fringant sexagénaire, le groupe familial, qui n’est pas coté en bourse, affiche un bénéfice net en hausse de 3%, à plus de 8,3 milliards de couronnes (1,1 milliard d’euros). Le chiffre d’affaires a lui augmenté de 6%, à 38,5 milliards de couronnes.
Les ventes ont progressé partout dans le monde et le groupe veut désormais consolider son assise sur le marché chinois où il a enregistré une croissance à deux chiffres et compte 140 boutiques dans 35 villes.
En 2020, Lego, dont le nom est une contraction du danois «joue bien» (Leg godt), prévoit d’ouvrir 80 magasins supplémentaires dans 20 villes chinoises.
Après une vaste restructuration en 2017, Lego s’est lancé dans une cure de jouvence multimédia.
Le déclin des jouets classiques au profit des jeux vidéo et électroniques met à mal les fabricants de jouets traditionnels.
En 2019, «nous avons devancé l’industrie du jouet et pris des mesures pour rester en tête des tendances clés telles que le e-commerce, la numérisation et les changements socio-économiques mondiaux qui remodèlent le secteur», s’est félicité le directeur-général de Lego, Niels B. Christiansen, dans le rapport annuel.
Le groupe de Billund (ouest du Danemark) s’est démultiplié ces dernières années pour faire entrer sa célèbre brique dans l’ère de la modernité virtuelle.
Outre ses produits originels, qui restent ses produits les plus vendus, elle a développé des jouets connectés.
Les nouveaux sets de Lego Hidden Side mèlent ainsi construction et réalité augmentée.
Si le groupe, qui a enregistre 27% de visiteurs en plus sur son e-shop l’année dernière, entend développer le commerce en ligne, il va continuer à ouvrir des boutiques.
Elles sont actuellement 570 dans le monde, dont 150 ont ouvert leurs portes en 2019.
Un petit-fils du fondateur de Lego, Thomas Kirk Kristiansen, prend la tête du conseil d’administration, à la place de Jørgen Vig Knudstorp, qui devient vice-président.
Renault cède 10 succursales en France à des repreneurs fiables et robustes
Le groupe automobile Renault a annoncé qu’il allait céder dix succursales en France à des repreneurs qui maintiendront l’activité et l’emploi, dans le cadre d’un ajustement de son réseau de distribution.
Renault Retail Group (RRG), filiale à 100% du constructeur, indique avoir «identifié des repreneurs fiables et robustes, commercialisant déjà les marques du groupe, permettant une poursuite de l’activité et un maintien des emplois», dans un communiqué. Les 10 succursales concernées, sur 94 en France, emploient environ 1.600 personnes dans la vente et l’après-vente. Elles sont situées à Strasbourg, Nancy, Mulhouse, Montbéliard, Orléans, Nîmes, Montpellier, et pour trois d’entre elles à Toulouse. RRG, qui va aussi vendre son siège parisien, entend utiliser les liquidités récupérées pour investir davantage dans la distribution de véhicules d’occasion et le numérique. Cette filiale du groupe au losange compte 12.000 collaborateurs sur 275 sites dans 14 pays européens. Elle commercialise les marques Renault, Dacia et Nissan. L’an dernier, RRG a réalisé 35% des volumes vendus du groupe Renault en France.
Lactel renouvelle sa confiance à FHCOM
Après avoir accompagné Lactel sur des lancements d’innovations produit, puis élargi son scope à la communication corporate à l’occasion des 50 ans de la marque, FHCOM se voit confier en 2020 un programme RP et Influence ambitieux centré sur des chantiers stratégiques pour le leader du lait. Amplification des initiatives en matière de RSE, défense de la catégorie ou encore valorisation de son rôle en tant que partenaire engagé auprès des éleveurs …, tels seront les grands sujets qui rythmeront le plan de communication en 2020. Des fondamentaux de la marque que le grand public aura eu l’occasion de découvrir sur le Salon International de l’Agriculture. Un rendez-vous incontournable pour le monde agricole auquel la marque a décidé de participer pour la première fois à l’occasion de cette édition 2020.
France Pare-Brise, nouveau parrain de The Voice 2020
France Pare-Brise, spécialiste du vitrage automobile, signe son retour en TV en devenant le nouveau parrain de l’émission de TF1, «The Voice» ; depuis le 25 février. Pour développer la notoriété de France Pare-Brise auprès d’un large public et favoriser la préférence de marque, les équipes de l’agence Heaven et de TF1 PUB ont imaginé une campagne de sponsoring puissante et affinitaire sur les 8 dernières semaines de diffusion de l’émission.
Hotels.com devient Sponsor officiel de l’OM
Hotels.com et l’Olympique de Marseille annoncent officiellement leur partenariat, rassemblant ainsi les experts en matière d’hébergements hôteliers et l’un des clubs historiques du football français. Le partenariat débute dès à présent et se poursuivra jusqu’en juin 2022. La marque devient ainsi le «fournisseur officiel de l’hébergement de l’Olympique de Marseille» pour les trois prochaines années. Dans le cadre de cet accord, Hotels.com verra son logo apposé sur les shorts de l’équipe durant les matchs de Ligue 1, que ce soit sur le domicile, extérieur ou sur le troisième maillot. La marque sera également présente dans les stades, notamment sur les panneaux d’affichage et le jumbotron. Enfin, elle apparaîtra également en ligne, sur les réseaux sociaux du club et dans les envois d’e-mailing du club.
Fnac Darty : bénéfice net en baisse de 30% en 2019, le groupe espère rebondir
Peut mieux faire: le groupe de distribution de produits électroniques, culturels et d’électroménager Fnac Darty, espère rebondir en 2020 après avoir dégagé un bénéfice net en baisse de 30% en 2019, où les mouvements sociaux ont à nouveau pénalisé ses ventes.
Le bénéfice net s’établit à 105 millions d’euros, contre 150 millions en
2018, un repli que le groupe explique par la hausse de ses charges financières, affectées notamment «par des frais non récurrents liés à la renégociation de l’emprunt obligataire en 2019». Les ventes annuelles 2019 ont atteint les 7,35 milliards d’euros, en hausse de 0,7% en données comparables (hors effets de change, de périmètre, ouvertures/fermetures de magasins) et en baisse de 1,7% en données publiées. «Cette performance s’inscrit dans un environnement de marché marqué par des événements exceptionnels» qui ont affecté «à plusieurs reprises l’activité commerciale, essentiellement en France: poursuite des manifestations des «gilets jaunes» au 1er trimestre 2019 et des mouvements sociaux en fin d’année», souligne Fnac Darty dans son communiqué. Pour Enrique Martinez, le directeur général de Fnac Darty, les ventes «ont bien résisté» dans ce contexte mais «honnêtement, on s’attendait à faire beaucoup plus en fin d’année». Mi-janvier, le groupe avait évalué à environ 70 millions d’euros son manque à gagner sur le mois de décembre en raison des mouvements sociaux contre la réforme des retraites.Or les semaines entre le Black Friday fin novembre et les fêtes de Noël constituent traditionnellement un pic de ventes pour le distributeur: «cela fait donc deux années de suite» que les ventes sont décevantes, a souligné M. Martinez.
Diversification : Le distributeur avait également prévu que sa marge opérationnelle courante s’établirait à 4% en 2019, ce qui est bien le cas, un résultat stable sur un an que le groupe explique par la «maîtrise de [ses] coûts». «Là aussi, on aurait dû faire mieux: clairement, ce sont les effets importants des grèves à Noël (qui en sont la cause)», a estimé M. Martinez, tout en précisant que ce score de 4% «était l’un des meilleurs au monde» dans le secteur de la distribution spécialisée. «Je suis persuadé que le groupe peut continuer à progresser à la fois sur le chiffre d’affaires mais aussi sur la marge opérationnelle», a-t-il ajouté, en rappelant que Fnac Darty avait poursuivi la diversification de son activité et de son offre, avec les acquisitions ou intégrations de l’enseigne Nature et Découvertes, du site www.Billetreduc.com et du spécialiste de la réparation de smartphones WeFix. Quant au résultat opérationnel courant (ROC), l’indice de référence de la grande distribution, il s’élève, comme prévu là aussi mi-janvier, à 293 millions d’euros, en légère baisse sur un an. En 2020, «dans un contexte social et économique toujours incertain», le groupe, qui se veut «prudent», vise «une légère croissance» de son chiffre d’affaires et de son résultat opérationnel courant.
DS lance une grande berline pour se lancer sur le marché du «premium»
Le constructeur automobile DS (groupe PSA), a dévoilé lundi à la presse une nouvelle grande berline fabriquée en Chine qui doit chapeauter sa gamme et aider à installer la jeune marque française dans l’univers du «premium» dominé par les groupes allemands.
La DS9, longue de 4,93 mètres, se veut une vitrine des technologies de PSA, avec une puissance qui atteindra 360 chevaux en version hybride rechargeable (essence-électrique) à quatre roues motrices.
Le modèle devait initialement être montré cette semaine au salon automobile de Genève, annulé en raison du nouveau coronavirus.
La grande berline, qui offre des sièges massants et chauffants à l’arrière, et intègre une planche de bord gainée de cuir, se veut une «alternative» aux véhicules des allemands Audi, BMW et Mercedes qui dominent très largement le marché, a expliqué la directrice de DS, Béatrice Foucher.
Elle a souligné que le constructeur ne communiquait pas d’objectif de ventes, car l’objectif est d’abord de crédibiliser la présence de DS dans le haut de gamme. «On sait bien qu’on est une marque dont la notoriété n’est pas encore extrêmement importante, il faut du temps pour installer nos modèles», a expliqué Mme Foucher.
DS, lancée en 2014 comme marque distincte de Citroën avec qui elle était
liée à ses débuts, veut «incarner le luxe français dans le monde automobile».
Elle enregistre des volumes de ventes encore peu significatifs.
Présente essentiellement en Europe, en Chine et dans certains pays d’Amérique latine, DS a vendu 62.500 véhicules l’an dernier dont près de la moitié en France.
La marque compte seulement deux modèles actuellement, les 4×4 urbains DS3 Crossback et DS7 Crossback, lancés respectivement en 2019 et 2018.
Le constructeur a prévenu à plusieurs reprises que son installation dans l’univers du haut de gamme pourrait prendre une vingtaine d’années.
La DS9 sera commercialisée à partir du deuxième semestre 2020 à des tarifs qui n’ont pas été communiqués. La fabrication sera sous-traitée dans une usine de Shenzhen (Chine). Ce site, propriété de la coentreprise désormais dissoute de PSA avec le constructeur local Changan, est en cours de cession à une tierce partie.
Les constructeurs français lorgnent sur le créneau du haut de gamme, convoité pour ses marges importantes, même s’ils ont échoué à y creuser leur
sillon depuis au moins une quarantaine d’années.