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Leroy Merlin lance un nouvel opus publicitaire

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Leroy Merlin, accompagnée en communication depuis 2014 par son agence BETC, lance une nouvelle plateforme de communication. Après le film «L’Aventure d’une vie» sorti en 2017, Leroy Merlin franchit un nouveau cap stratégique avec le lancement de ce nouvel opus : «Une vie à construire» pour s’affirmer en tant que marque référente de la maison et de l’habitat en France. Ce dernier est sur les écrans TV et digitaux depuis le 27 octobre 2019, en version 90 et 30 secondes. De plus, l’enseigne enrichira le mois prochain ce film par une variété de films Solutions Leroy Merlin, qui démontreront chacun la capacité de la marque à répondre concrètement à toutes les attentes des consommateurs. 

McDonald’s créé la première mini-série de marque disponible dans son intégralité sur MyCanal

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Depuis le 23 octobre, McDonald’s propose «Ce jour où j’ai pris à emporter», la première mini-série de marque disponible dans son intégralité sur MyCanal. La série originale est composée de 5 épisodes de 5 minutes. La websérie est disponible gratuitement, en exclusivité et en intégralité, pour tous les utilisateurs, dans MyCanal. Cette nouvelle série bénéficie d’un lancement digne des meilleures séries : trailer diffusé au cinéma, promotion sur MyCanal, campagne sur les réseaux sociaux et mise en avant sur les sites de référence sur le cinéma et les séries. Les agences DDB et Starcom (Publicis Media) ont accompagné McDonald’s dans cette mini-série produite par Raise UP et réalisée par Jim Ben Soussan. 

Gilles Picquet-Pellorce est nommé directeur général du groupe Planet Sushi

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Gilles Piquet-Pellorce, rejoint le Groupe Planet Sushi en tant que nouveau Directeur Général. Il succède à Alexandre Maizoué qui occupait cette fonction depuis septembre 2018. Il a réalisé une large partie de sa carrière professionnelle dans les domaines du transport et de la logistique, mais aussi dans le secteur agroalimentaire. En 2011, il devient Directeur Général du réseau de distribution de produits biologique Biocoop. Gilles Picquet-Pellorce pilotera l’organisation générale ainsi que le projet de transformation du réseau Planet Sushi dont le déploiement a débuté le 7 octobre dernier à Puteaux, avec un 1er point de vente aux couleurs et design du nouveau concept. 

L’ère du streaming ne signifie pas la fin de la publicité, au contraire!

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L’ère du streaming ne signifie pas la fin de la publicité, au contraire: les annonces vont juste devenir plus ciblées et personnalisées – comme sur internet – et le pistage des téléspectateurs risque de susciter le même genre d’inquiétude sur le respect de la vie privée. 

Netlifx, et bientôt Apple TV+ et Disney+, ont promis de ne pas diffuser de publicité. Mais d’autres acteurs du secteur, comme WarnerMedia et NBCUniversal, proposeront une version moins chère de leurs futures plateformes respectives, avec des annonces, comme c’est déjà le cas pour Hulu.De la même façon que Facebook, Google et la majorité des sites web diffusent des publicités en fonction de l’internaute (selon sa navigation en ligne, le lieu où il se trouve), les plateformes de streaming, les écrans connectés (comme les «smart TV») et les lecteurs reliant les téléviseurs à internet peuvent recueillir des données sur les utilisateurs pour les cibler ensuite. Par exemple, «au lieu de viser d’une façon générale les hommes de 18-54 ans, ciblez les fans de football qui gagnent 50.000 dollars par an et veulent une nouvelle carte de crédit», racole Strategus, un service qui permet aux annonceurs d’acheter de l’espace publicitaire sur ces nouveaux supports (y compris Roku, Apple TV, Amazon Fire TV, XBox, etc), et vante son «vaste catalogue de données numériques, classées en segments, provenant notamment de Nielsen, Oracle et Mastercard». Les recettes de la publicité ciblée à la télévision – qui incluent certaines annonces diffusées sur des chaînes traditionnelles – devraient passer de 1,5 milliard de dollars en 2018 à 3,5 milliards en 2021, d’après eMarketer. Cette croissance va notamment être alimentée par les plateformes de ciblage publicitaire en self-service, comme Strategus. Elles simplifient la tâche des agences de marketing, qui n’ont plus besoin des énormes budgets nécessaires pour accéder aux grandes antennes, selon Ross Benes, analyste chez eMarketer. 

Unilever : hausse du chiffre d’affaires au 3ème trimestre

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Le géant anglo-néerlandais de l’agroalimentaire et des cosmétiques Unilever a fait état jeudi d’une hausse de son chiffre d’affaires au troisième trimestre, grâce à des effets de change favorables et de nouvelles acquisitions qui ont permis de compenser des ventes de crèmes glacées mitigées cet été. 

Le chiffre d’affaires d’Unilever, qui ne publie pas de bénéfice net sur la période, s’est établi à 13,3 milliards d’euros, en hausse de 5,8% en glissement annuel, a indiqué dans un communiqué le groupe, qui confirme ses 

prévisions pour l’année. 

Les ventes sous-jacentes au troisième trimestre ont augmenté de 2,9%, avec 

une hausse des volumes (1,4%) et des prix (1,5%). 

«Nous avons maintenu notre dynamisme au cours du trimestre, avec un bon équilibre entre volume et prix. Les marchés émergents et la branche «Produits d’entretien de la maison» ont été les principaux moteurs de croissance», s’est félicité Alan Jope, directeur général du groupe, cité dans le communiqué. 

La branche «Produits d’entretien de la maison» a engrangé 2,7 milliards d’euros de ventes, soit une hausse de 5,4%. La branche «Beauté et hygiène 

personnelle» a réalisé le chiffre d’affaires le plus important au cours du troisième trimestre, avec 5,6 milliards d’euros. 

La branche «Alimentation et boissons» a quant elle enregistré une baisse de 0,2% de ses volumes, affectée par des ventes moins importantes de crèmes glacées en Europe en raison d’un été moins chaud que celui de l’année dernière. 

Le groupe aux 400 marques (Knorr, Lipton, Magnum, Dove…) prévoit une 

hausse des ventes à périmètre comparable comprise dans «la moitié inférieure» de sa fourchette entre 3% et 5%, ainsi qu’une amélioration de la marge opérationnelle sous-jacente et des flux de trésorerie importants pour 

l’ensemble de l’année 2019. 

«Nous nous sommes engagés à fournir une performance financière supérieure sur le long terme et une croissance équilibrée et composée du chiffre d’affaires et du bénéfice net à travers notre modèle commercial durable», a déclaré M. Jope. 

Unilever, qui affirme vouloir rester «pertinent» aux yeux du consommateur de demain, a annoncé début octobre son intention de diviser par deux ses emballages en plastique d’ici 2025. 

Le géant anglo-néerlandais de l’agroalimentaire et des cosmétiques a également racheté en décembre le «boucher végétarien» néerlandais De Vegetarische Slager et la marque américaine de produits d’entretien respectueux de l’environnement The Laundress en janvier. 

Vittel : un collectif en passe de remporter la bataille de l’eau contre Nestlé

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«C’est une victoire sur une multinationale puissante»: à Vittel (Vosges), un collectif d’associations a obtenu le réexamen d’un projet devant permettre à Nestlé Waters de continuer à puiser dans une nappe phréatique déficitaire, contraignant trois communes à pomper l’eau une dizaine de kilomètres plus loin. 

Début octobre, la préfecture des Vosges avait annoncé avoir travaillé avec l’Agence de l’eau Rhin-Meuse «à une solution alternative fondée sur 

l’optimisation des ressources locales» pour préserver la nappe des grès du Trias inférieur (GTI), principale ressource en eau potable de l’est de la Lorraine. Ce scénario alternatif sera présenté vendredi lors d’un comité de bassin. Environ trois millions de m3 d’eau sont prélevés chaque année dans cette nappe phréatique, située à 100 m de profondeur, par trois communes – Vittel, Contrexéville et Bulgnéville – et trois industriels, dont Nestlé Waters (qui détient les marques Vittel, Contrex, Hépar, Perrier…). Ce réservoir d’eau, de très bonne qualité et faiblement minéralisée, présente un déficit annuel d’un million de m3 et se renouvelle lentement. Pour rétablir l’équilibre, un projet de canalisations souterraines avait été adopté par la commission locale de l’eau (CLE) en juillet 2018. Il prévoyait d’acheminer 500.000 à un million de m3 d’eau potable, pompés dans des captages distants d’une dizaine de kilomètres, jusqu’aux trois communes, permettant ainsi à Nestlé Waters de conserver son autorisation de prélever annuellement un million de m3. Le collectif eau 88 dénonçait «une privatisation de l’eau par Nestlé», selon l’un de ses membres, Bernard Schmitt. Porte-parole de Nestlé, Françoise Bresson souligne la «baisse constante» de ses prélèvements, réduits selon elle «de 30% depuis 2010» pour être ramenés à «630.000 m3 fin 2019». «On a prévu de les diminuer encore de 5% en 2020 pour arriver à 600.000 m3», a-t-elle ajouté. L’eau puisée dans la nappe des GTI est vendue exclusivement à l’export sous la marque «Bonne source», principalement en Allemagne et en Suisse, où 250 millions et 43 millions de bouteilles ont respectivement été commercialisées en 2018. 

«L’enjeu de l’eau» : Le scénario alternatif, présenté au comité de bassin, reposerait sur la mise en place d’un observatoire des ressources en eau, «la priorité donnée aux habitants» et «la recharge rapide de la nappe des GTI», croit savoir M. Schmitt. «On ne peut pas retrouver un équilibre de la nappe sans éliminer une part importante des prélèvements. Depuis trente ans, on a perdu trente million de m3, on ne va pas la reconstruire avec une économie de 100.000 m3», observe Jean-François Fleck, également membre du collectif. Dans un communiqué, des élus vosgiens réclament «un véritable «contrat de territoire» afin de revenir sur les fondamentaux, à savoir par ordre de priorité: le retour à l’équilibre de la nappe, le service public de l’eau aux habitants, l’utilisation de l’eau à des fins industrielles». «L’enjeu de l’eau est fondamental, on est minéralier donc on n’a aucun intérêt à assécher une source ou à ne pas être en lien avec notre territoire», souligne Mme Bresson, qui espère «une solution concertée, avec tous les acteurs». Le collectif Eau 88 dit rester «vigilant». «C’est un virage, une nouvelle étape, mais Nestlé Waters n’est pas prêt à renoncer à ses prélèvements», avance M. Fleck. 

Deliveroo met en place pour ses livreurs en France une assurance maladie

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La plateforme de livraison Deliveroo a annoncé la mise en place pour ses livreurs en France d’une assurance maladie complémentaire des indemnités journalières de la Sécurité sociale, selon un communiqué mardi. 

Les livreurs recevront jusqu’à 30 euros par jour jusqu’à 15 jours d’absence en complément de ce que verse la sécurité sociale, indique la plateforme. L’assurance complémentaire est administrée par Qover, une start-up bruxelloise spécialiste des travailleurs indépendants. «C’est un effet d’annonce, comme lorsque Deliveroo avait mis en place une assurance accident en 2017», a réagi Jérôme Pimot, co-fondateur du collectif 

de livreurs parisiens Clap. «Ils proposent des assurances privées pleines d’astérisques et de petits caractères alors que nous revendiquons un statut de salariés autonomes, avec de vrais droits sociaux», dit-il. Pour Deliveroo, il s’agit d’accompagner l’évolution de la réglementation française, «autour du projet de loi mobilités qui permettra aux plateformes numériques d’offrir un panel d’avantages de ce type aux livreurs qui sont autoentrepreneurs». Le projet de loi mobilités propose dans son article 20 que les plateformes de livraison pourront instaurer des chartes facultatives proposant des droits sociaux. Le principe de ces chartes optionnelles est combattu par les associations de travailleurs des plateformes et par le Conseil national du numérique, qui y voient une parade face aux demandes de requalification des contrats des travailleurs indépendants en salariat. Deliveroo a été condamnée cette année aux Pays-Bas à requalifier les contrats de 2.000 livreurs, et en Espagne pour ne pas avoir déclaré 500 livreurs à Madrid, présentés comme indépendants, évitant ainsi de payer 1,2 million d’euros de cotisations sociales. 

Publicité en ligne : Google et Facebook ont dépassé les 3/4 du marché français de la publicité numérique

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La part combinée des deux géants numériques californiens Google et Facebook a dépassé en 2018 les trois-quarts du marché français de la publicité numérique et va continuer d’augmenter cette année, prévoit le cabinet d’études eMarketer dans un rapport publié jeudi. 

Malgré les polémiques sur l’utilisation à grande échelle des données personnelles de leurs utilisateurs et les accusations de pratiques anticoncurrentielles formulées par nombre d’acteurs du secteur, les deux sociétés vont s’emparer de 75,8% des 5,78 milliards de dollars (5,2 milliards d’euros) du marché de la publicité en ligne, expose cette étude. 

«Les annonceurs sont certainement attentifs aux enjeux juridiques posés par Facebook et Google et peuvent ergoter sur leurs conditions d’utilisation, mais ces deux plateformes offrent toujours aux publicitaires une capacité d’atteindre l’audience et une flexibilité énorme», a expliqué Karin von Abrams, analyste principal chez eMarketer, citée dans le communiqué. 

«Maintenir une présence importante sur Facebook et Google est devenu un élément clé du marketing numérique», ajoute-t-elle. 

Dans le détail, la part du réseau social Facebook (qui inclut les revenus publicitaires d’Instagram) doit dépasser le quart du gâteau cette année pour atteindre 27% à l’horizon 2021 tandis que celle de Google (dont les résultats 

de recherche sponsorisés et les encarts publicitaires) devrait décroître de 50,8% à 49,7% sur la période, Google restant toutefois l’acteur principal de 

ce marché. 

«Même si la part de Google diminuera légèrement avec le temps, rien n’indique qu’elle perdra sa position dominante sur la marché français dans un avenir prévisible», a déclaré Karin von Abrams. 

Les médias traditionnels (presse, radio, affichage et même la télévision) voient régulièrement leur part diminuer au sein du marché publicitaire français au profit d’internet, devenu en 2016 le premier média publicitaire. 

Selon diverses études, les plateformes numériques bénéficient de l’essentiel de cette croissance. 

Résultat, les deux sociétés verront en 2019 leurs revenus publicitaires français progresser de 13,3% pour Google et 20,9% pour Facebook, selon eMarketer. 

Au niveau mondial, les revenus publicitaires de Google doivent dépasser cette année les 100 milliards de dollars, précise l’étude, tandis que ceux de Facebook, en croissance de 26,5% sont attendus à près de 70 milliards de 

dollars. 

Les géants de la tech, régulièrement au coeur de controverses sur la sécurité et l’utilisation des données personnelles dont ils font commerce, font l’objet en Europe et aux Etats-Unis d’enquêtes sur des soupçons de pratiques anticoncurrentielles. 

Total étend son partenariat avec le Groupe Adani

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Dans le cadre de sa stratégie de développement de nouveaux marchés gaziers, Total, deuxième acteur mondial du GNL, étend son partenariat avec le Groupe Adani, le plus grand conglomérat privé indien dans le domaine de l’énergie et des infrastructures en vue de contribuer au développement du marché indien du gaz naturel. Le partenariat entre Adani (50%) et Total (50%) s’étend à plusieurs actifs sur la chaine de valeur du gaz puisqu’il concerne deux terminaux d’importation et regazéification de GNL, le terminal de Dhamra à l’Est de l’Inde et potentiellement le terminal de Mundra à l’Ouest de l’Inde, ainsi que la société Adani Gas Limited, un des 4 principaux distributeurs de gaz en Inde dont Adani détient 74,8% et dont Total va acquérir 37,4%. Pour atteindre 37,4% du capital d’Adani Gas Limited, selon la réglementation boursière et sous réserve de l’approbation des autorités compétentes, Total lancera dans un premier temps une offre publique d’achat pour acquérir jusque 25,2% du capital et achètera dans un deuxième temps les actions complémentaires directement auprès d’Adani

17,3 millions de Français ont regardé au moins un programme sur une plateforme de SVoD au cours de l’année écoulée

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17,3 millions de Français ont regardé au moins un programme sur une plateforme de SVoD au cours de l’année écoulée ; c’est près de 3 millions de plus que l’an dernier.