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Snapchat : les publicités politiques passées au crible

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Les publicités politiques sur Snapchat sont passées au crible pour s’assurer qu’elles ne sont pas trompeuses ou fallacieuses, a confirmé lundi Snap, la maison mère du réseau social. 

La plateforme prisée des adolescents n’adopte ainsi ni la stratégie de Facebook – qui autorise la plupart des publicités politiques, même en cas de mensonge – ni celle de Twitter qui va quasiment toutes les interdire. «Nous examinons toutes les publicités, y compris les publicités politiques», a dit le président-directeur général de Snapchat, Evan Spiegel, dans un article publié par CNBC. «Ce que nous essayons de faire, c’est de créer un lieu pour les publicités politiques sur notre plateforme, surtout dans la mesure où nous touchons beaucoup de jeunes et de primo-votants, nous voulons qu’ils puissent être intégrés à la discussion politique mais nous n’autorisons pas des choses comme la désinformation dans ces publicités», a poursuivi le jeune dirigeant. Snapchat interdit les publicités politiques trompeuses ou fallacieuses et a une équipe chargée de décortiquer ces messages sponsorisés pour s’assurer qu’ils n’enfreignent pas la réglementation du réseau social. Fin octobre, Twitter avait lancé un énorme pavé dans la mare en annonçant que le réseau social n’accepterait plus aucune publicité à caractère politique où que ce soit dans le monde. La plateforme californienne a néanmoins indiqué vendredi exempter les bonnes causes, comme la défense de l’environnement ou la promotion de l’égalité sociale, de cette interdiction. Chez Twitter, ces règles vont entrer en vigueur à partir du 22 novembre. Chez Facebook, on prône l’inverse. Mark Zuckerberg, le patron-fondateur du premier réseau social au monde, a récemment défendu les messages politiques sur sa plateforme, y compris s’ils comportaient des mensonges ou des contre-vérités, au nom de la liberté d’expression. 

fidme fait peau neuve

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Véritable cure de jouvence pour l’appli shopping aux 6 millions d’utilisateurs, fidme a dévoilé son nouveau design : refonte complète de l’identité visuelle ainsi que des services et fonctionnalités de l’application. Ce nouveau souffle se traduit par une évolution considérable de l’interface de l’application. La marque rafraîchit également son image avec une nouvelle charte graphique, en s’offrant une nouvelle icône tout en conservant «sa couleur orange» revisitée. L’application souhaite réaffirmer son image de marque avec une volonté de recréer le lien entre les consommateurs et leurs marques, enseignes et commerces. L’application a également réuni de nouveaux partenaires : O’Verger, Pulco, Mytea, Desperados, Jacquet Brossard, Sports aventure, Rutabago, All Suites Hotels, l’Onglerie, ou encore Aderma, E.Leclerc, FDJ et Intermarché.

Les Français devraient dépenser plus de 20 milliards € en ligne pour Noël

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Les Français devraient dépenser plus de 20 milliards d’euros en ligne pour les cadeaux de Noël, dont près de 2 milliards à l’occasion des opérations promotionnelles du «Black Friday» le 29 novembre et du «Cyber Monday» le 2 décembre, a estimé jeudi la fédération du secteur 

Le «Black Friday» et le «Cyber Monday», des journées de promotions importées des Etats-Unis, explosent depuis 2016: touchant des produits neufs et souvent chers, cela permet selon ses adeptes de faire de «beaux» cadeaux de Noël à prix compétitifs. Selon une étude de Médiamétrie pour le compte de la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad), présentée jeudi lors d’une conférence de presse, «les achats de Noël seront encore cette année en partie réalisés lors du Black Friday et du Cyber Monday». Du vendredi 29 novembre au lundi 2 décembre, les ventes en ligne pourraient représenter 1,7 milliard d’euros, sachant qu’en 2018, lors du Black Friday, le trafic moyen par jour avait doublé et le chiffre d’affaires moyen par jour avait été triplé sur les sites du panel de la Fevad. Au total, les ventes effectuées en ligne pour les fêtes de fin d’année pourraient ainsi dépasser les 20 milliards d’euros, soit près de 20% des ventes annuelles du secteur précise la Fevad, contre 18,3 milliards d’euros en 2018. Au-delà des cadeaux usuels plébiscités à Noël – jeux et jouets, produits culturels, vêtements et chaussures, cosmétiques -, les cyberacheteurs ont déclaré à Médiamétrie leur intérêt toujours plus grand (67%, en hausse de 2 points) pour des produits issus de l’économie circulaire, selon Jamila Yahia-Messaoud, directrice du département « c o n s u m e r insights» de l ’ i n s t i t u t . Parmi eux, 59% pensent acheter des produits reconditionnés, 46% des produits issus du recyclage et 48% des produits d’occasion pour faire leurs cadeaux de Noël. La Fevad a également dévoilé à l’occasion de cette conférence de presse le chiffre d’affaires du secteur au 3ème trimestre, qui a progressé de 10,8% par rapport à 2018, à 24,6 milliards d’euros, «une bonne performance» selon son délégué général, Marc Lolivier. La fréquence d’achat continue de progresser sur le trimestre, avec environ une transaction par semaine (+8% sur un an). 

BETC Digital et Manor dévoilent le 3ème volet de leur saga de Noël

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Manor, accompagné de son agence BETC Digital, reprend la parole pour le troisième volet de sa saga de Noël. Cette année encore, les aventures des elfes de Manor sont mises en images, et en émotions, par Kevin Grady réalisateur du collectif AgainstAllOdds, multiprimé en 2016 pour leur film «Justino». Autour de ce film, intitulé «The Guardians», l’agence a développé une campagne 360° complètement intégrée, diffusée depuis le 14 novembre sur tous les touchpoints : TV, cinéma, print produits, SoMe, CRM, et en merchandising de fêtes.

Accord renouvelé entre Intermarché, Bel et ses éleveurs laitiers

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L’association des producteurs de lait Bel Ouest, le groupe fromager Bel et Intermarché ont renouvelé pour la seconde fois leur accord tripartite dans le cadre duquel le distributeur s’engage à payer un peu plus cher les produits Bel pour mieux rémunérer les producteurs de lait qui le fournissent. 

Cet accord entre les 800 producteurs laitiers de l’association APBO, un transformateur et un distributeur a permis de rémunérer les éleveurs 395 euros les 1.000 litres en 2019, en tenant compte des primes pour la mise en pâturage au moins 150 jours par an du bétail et son alimentation garantie sans OGM. C’est un prix supérieur de 11% au prix moyen du lait conventionnel français, selon les chiffres de FranceAgrimer. L’accord prévoit le maintien de ce prix de base. Cette démarche coûte environ «15 millions d’euros par an» supplémentaires au groupe Bel, a précisé son PDG, Antoine Fievet, lundi, lors d’un point presse. «Après, il y a des compensations qui arrivent quand le reste de la 

boucle se met en marche», a-t-il ajouté, faisant référence à l’accord signé 

avec Intermarché. Thierry Cotillard, président d’Intermarché et Netto, a souligné lui aussi qu’il achetait «plus cher que l’année dernière» les produits à Bel. Les volumes achetés sont eux en augmentation de 5 points. S’il ne donne le taux d’augmentation des prix d’achats «pour des raisons de concurrence», le patron d’Intermarché explique que la hausse pour le consommateur «ne sera jamais dans une proportion de 11%, ce sera plutôt de l’ordre de quelques centimes». «C’est notre responsabilité de dire que ces quelques centimes vont changer la vie des agriculteurs», a-t-il ajouté, en rappelant que cette transparence des tarifs «n’(était) pas forcément la méthode d’autres industriels du lait qui nous disent de payer les augmentations et qu’on verra bien après» si elles sont redistribuées aux éleveurs. L’accord a eu «des effets importants» du côté des producteurs laitiers, a pour sa part expliqué le vice-président de l’APBO, Frédéric Dorilleau: «la sérénité est revenue dans les têtes des éleveurs, comme de l’environnement 

économique proche, le secteur bancaire et les fournisseurs.» Après le passage «difficile» de la crise de 2016, «l’investissement est de nouveau possible en main d’oeuvre et en matériel», par exemple pour financer des services de remplacement, a-t-il précisé. 

Nike annonce la fin de la vente directe de ses produits sur Amazon

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Nike a annoncé la fin de la vente directe de ses vêtements et baskets sur la plateforme d’Amazon, interrompant un partenariat mis en place en 2017. 

«Dans le cadre des efforts de Nike pour améliorer l’expérience des consommateurs via des relations directes et personnelles, nous avons décidé de mettre un terme à notre expérience pilote avec Amazon Retail», a déclaré un responsable de Nike. La marque à la virgule a toutefois précisé qu’elle continuerait d’utiliser Amazon pour le stockage de données en ligne et divers services sur internet «afin de renforcer un ensemble de services sur Nike.com et au sein de l’écosystème des applications Nike.» Amazon n’a pas souhaité faire de commentaire. Après des années de refus, Nike avait consenti en juin 2017 à proposer directement ses produits sur Amazon. com pour faire face à la baisse de ses ventes et à la concurrence d’Adidas et Under Armour. Le partenariat prévoyait que le géant du commerce en ligne bannisse les contrefaçons des produits Nike sur sa plateforme et n’accepte plus les ventes des articles du groupe par des intermédiaires. 

Radio France émet des réserves sur le spot de publicité pour le référendum ADP

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Radio France a «émis des réserves» sur la diffusion de spots de publicité pour le référendum d’initiative partagée (RIP) sur la privatisation d’ADP, a indiqué vendredi la radio publique. 

Les parlementaires à l’initiative du RIP sur les Aéroports de Paris comptent diffuser ces spots sur France Inter et France Bleu, face à ce qu’ils dénoncent comme un déficit de communication du gouvernement. Un journaliste de France Inter a indiqué jeudi à l’antenne que Radio France «refusera(it) de diffuser ces clips», s’appuyant sur son cahier des charges. Selon l’article 37 du cahier des charges de Radio France, «les messages publicitaires ne doivent contenir aucun élément de nature à choquer les convictions religieuses, philosophiques ou politiques des auditeurs». Alors que le référendum s’approche du million de signatures, cette annonce a provoqué de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux. Mais la direction de Radio France a précisé vendredi qu’elle n’avait fait qu’émettre des «réserves» sur «les possibilités juridiques de diffusion» de ces spots. Contactée mercredi par le Groupe socialiste et républicain du Sénat, la régie de la radio publique n’a pas donné de réponse catégorique. «La régie de Radio France a émis des réserves sur la possibilité juridique, au regard de la réglementation relative à la publicité que Radio France doit respecter, de diffuser un projet de campagne dont ni l’identité de l’annonceur ni le message n’ont encore été précisés», a précisé Radio France. Les parlementaires PS, communistes, LFI et écologistes à l’initiative de la procédure s’attendent à ce que le seuil du million de soutiens soit franchi d’ici à la fin de l’année ou au début 2020. Pour être validée, la proposition de loi référendaire doit être approuvée par un dixième des électeurs inscrits, soit 4.717.396 personnes d’ici à la mi-mars. Mais le seuil du million est plus que symbolique, puisque il correspond au chiffre avancé par Emmanuel Macron pour l’organisation d’un RIP à l’avenir, dans la perspective de la réforme constitutionnelle présentée fin août. 

Nouvelle campagne pour La Vache Qui Rit

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La Vache qui rit, marque iconique qui a vu le jour dans le Jura en 1921, a dévoilé son nouvel engagement, le 17 novembre. Dans un monde de plus en plus tendu, stressé, où les gens considèrent que l’on ne rit plus assez, La Vache qui rit remet au centre ce qui a toujours fait son identité : le rire. Son message est simple et clair: il est toujours meilleur de rire. Cette prise de parole se fera en TV, en affichage et en digital. Une campagne qui non seulement permet à la marque de recréer du lien avec ses consommateurs, mais aussi de renouer avec son identité et son iconicité. 

Snapchat conçoit une île psychédélique en réalité augmentée pour Gucci

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Snapchat a lancé son tout premier Portal Lens dans l’univers du luxe avec Gucci pour accompagner la campagne Gift Giving de la Maison. Ce Portal Lens en réalité augmentée est disponible partout dans le monde depuis le mercredi 13 novembre au sein du Carousel de Lens et via des Snapcodes. Il permet aux Snapchateurs de découvrir un île tropicale psychédélique en réalité augmentée dont les éléments holographiques aux couleurs fluos rappellent les codes de la collection Gift Giving et où l’on pourra découvrir les sacs et accessoires signatures de la campagne. Une fois la caméra pivotée en front-facing, l’utilisateur pourra également essayer la Lens Gucci qui utilise la technologie de profondeur de perception. Il pourra alors plonger dans les eaux fluos découvertes sur l’île découverte. Cette expérience digitale unique sera également disponible au sein d’une section spéciale de l’app Gucci. 

Puma présente sa toute première montre

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Mercredi 13 novembre 2019, Puma a organisé «la session d’entraînement la plus haute de New-York» au sommet de l’Empire State Building pour présenter sa toute première montre connectée, déjà récompensée par plusieurs prix. Aux premières heures du jour, alors que le ciel était embrasé par la couleur jaune, 75 invités (journalistes, influenceurs ou encore athlètes) ont pu participer à une session d’entraînement HIIT, alternant exercices explosifs et courte récupération. Dévoilée début septembre, lors du salon high-tech IFA à Berlin, cette montre fonctionne sous la technologie Wear OS de Google™. Elle est dotée de la plateforme Snapdragon Wear 3100™ de Qualcomm®.