À l’issue d’une compétition, Castor & Pollux a été choisie par Bjorg pour l’accompagner sur l’ensemble de sa stratégie digitale afin de fidéliser ses clients et de recruter de nouveaux consommateurs bio. L’agence de conseil en communication digitale a également pour mission de faire connaitre la nouvelle gamme Enfants auprès des mères acheteuses de produits issus de l’Agriculture Biologique. Castor & Pollux sera ainsi en charge de la stratégie social media de la marque, de la gestion de ses réseaux sociaux (Facebook, Instagram, pinterest et youtube) et de la refonte de son site. Elle mettra aussi en place des campagnes d’activations digitales.
FutureBrand lance une campagne ludique et collective de distanciation physique pour contribuer à réduire l’anxiété et la confusion à l’heure du déconfinement
FutureBrand, agence mondiale de design et branding, lance une campagne caritative intitulée #TooCloseforCovid pour promouvoir et contribuer à renforcer positivement les mesures de distanciation physique qui accompagnent le processus de déconfinement. Cette initiative intervient après les différentes annonces des dirigeants américains, britanniques et européens liées aux mesures de reprise d’activité. Cette prise de parole débute avec la mise en ligne d’une série de t-shirts réalisés avec six designs différents, promus via le site éponyme et soutenus par le #TooCloseforCovid sur les réseaux sociaux. Dans le même temps, FutureBrand lance un appel aux designers, curateurs, influenceurs et créatifs du monde entier pour encourager les citoyens à travers la planète à rejoindre le mouvement, en créant leurs propres versions, pour contribuer ensemble à sauver des vies.
leboncoin repart en campagne TV
Depuis le 17 mai, leboncoin fait son retour en TV avec le film «Les bonnes annonces», réalisé par Thomas Leisten Schneider pour l’agence DDB Paris. Ce nouveau spot, diffusé pendant 3 mois, met en avant un couple, Leïla et Marie, qui ont récemment emménagé ensemble. Pour rappel, en mars dernier, leboncoin avait dévoilé sa nouvelle plateforme de marque avec un premier film de marque, «L’Evidence», qui a imposé la signature «le bon___pour tous». Ce nouveau film est le premier opus d’une série de 7, tous centrés sur des marchés clés du 5ème site de France, qui seront révélés jusqu’à la fin de l’année. «En ces temps de crise, il est important de communiquer auprès de nos utilisateurs et de nos clients. Leur fidélité nous a encore frappés et touchés très récemment puisque à la veille du déconfinement nous avons enregistré un record d’audience historique avec 19,3 millions de visiteurs» explique Antoine Jouteau, DG leboncoin Groupe.
Spotify conseillé par De Gaulle Fleurance & Associés sur la production du podcast «Tueurs en série»
De Gaulle Fleurance & Associés, société juridique avocat, a conseillé Spotify sur la production du podcast «Tueurs en série», création originale de Parcast Network, adaptée en version française par Bababam et disponible en exclusivité sur Spotify depuis début mai. Cette adaptation fait suite au rachat de Parcast Network par Spotify en mars 2019 confirmant sa stratégie de diversification dans le podcast et son objectif de devenir la première plateforme audio du monde.
Mlle Pitch Awards & Co : les catégories et les dates clés
Le nouveau concours créatif éthique, Mlle Pitch Awards & Co, dont médiaCom’ est partenaire, vient de dévoiler les différentes catégories et les dates clés de cet évènement organisé par Magali Faget, fondatrice et directrice générale de l’agence Mlle Pitch. Les catégories sont au nombre de sept : Grand Prix du Jury, Grand Prix Affichage, Grand Prix Film, Prix Coup de Coeur, Grand Prix Digital, Prix du Public et Prix Talent Féminin. Cette première édition est en partenariat avec la fondation Abbé Pierre et Olivier Lefebvre (FF Paris) en est le président du jury. Voici les dates clés : 1er septembre 2020: lancement des inscriptions et téléchargement du brief créatif sur le site Mlle-pitch-awards. com, Janvier : clôture des dépôts des campagnes des participants, Février : réunion du jury, Avril 2021 : vote du public, et Juin 2021 : palmarès.

Volkswagen fait ses excuses après un spot publicitaire jugé raciste pour sa nouvelle Golf
Le géant allemand de l’automobile Volkswagen a présenté ses excuses après la diffusion d’un spot publicitaire pour sa nouvelle Golf qui a suscité une vague de critiques d’internautes le jugeant raciste.
La vidéo de 10 secondes apparue mardi 19 mai sur le compte Instagram du constructeur montre un homme de couleur portant un costume, saisi par une main blanche en gros plan qui le renvoie d’une pichenette vers l’intérieur d’un établissement dénommé «le petit colon».
Le tout pour l’éloigner d’une Golf jaune garée devant l’entrée.
Retiré entre-temps d’Instagram, le clip circulait toujours sur Twitter mercredi 20 mai.
«Pas de doute: la vidéo est une erreur» et elle est «de mauvais goût», a réagi l’entreprise de Wolfsbourg mercredi dans un communiqué.
Le groupe dit comprendre les réactions irritées de nombreuses personnes
ayant visionné le clip et ajoute qu’il va «élucider ce qui a pu se passer» et
«en tirer des conséquences.»
A la fin du clip apparaît une séquence de lettres dont l’ordre suggère le mot «nègre».
«Le contexte de l’histoire de notre propre entreprise» fait que «Volkswagen se positionne contre toutes les formes de racisme, de xénophobie et de discrimination», a expliqué le groupe, qui a également présenté ses excuses sur Instagram.
Volkswagen a été dans les années 1930 le constructeur fétiche du régime
nazi en Allemagne.
La marque («voiture du peuple») fut créée en 1937 par Ferdinand Porsche, à l’initiative du Front allemand du travail dirigé par Adolf Hitler.
L’entreprise s’est dit «surprise» et «choquée» que cette campagne «puisse être si mal comprise.»
Ce n’est «pas notre impression qui doit être corrigée, mais votre coopération avec les racistes», a rétorqué un utilisateur de Twitter.
Marks and Spencer annonce un vaste plan d’économies
L’enseigne britannique Marks and Spencer a annoncé un vaste plan d’économies, qui pourrait comprendre des suppressions d’emplois, face à la chute de ses ventes dans l’alimentaire et l’habillement en raison de la pandémie.
La chaîne de magasins a dressé un tableau particulièrement sombre de son activité qui devrait souffrir pendant de longs mois, selon un communiqué.
Elle s’attend à un effondrement de 70% des ventes dans l’habillement – déjà son talon d’Achille avant la pandémie – et les produits pour la maison lors des quatre mois entre avril et juillet. Le retour à la normale n’est pas attendu avant février 2021.
Dans l’alimentaire, où elle est pénalisée par l’absence d’offre de vente en ligne, le chiffre d’affaires devrait plonger de 20%.
Au total, l’impact sur ses ventes annuelles pour 2020-2021 s’élèvera à 2,1 milliards de livres.
Son chiffre d’affaires a atteint un peu plus de 10 milliards pour l’exercice achevé.
Le groupe explique que le nouveau coronavirus a eu un impact dès début mars avant que la situation ne s’aggrave considérablement à partir du début du confinement au Royaume- Uni le 23 mars.
Sur l’ensemble de l’exercice annuel, clos le 28 mars, le bénéfice net a fondu quasiment de moitié à 23,7 millions de livres, en grande partie en raison du Covid-19, les clients désertant les magasins avant même l’instauration du confinement par le gouvernement, qui avait déjà recommandé des mesures de distanciation physique.
Pour faire face à cette tempête et préserver ses finances, Marks and Spencer met en place un plan d’économies de 1 milliard de livres.
Ce programme passera par la réduction de toutes les dépenses non essentielles, le gel des salaires et du recrutement, la baisse des charges immobilières, la réduction des dépenses d’investissement et l’abandon du dividende.
Marks and Spencer pourra en outre avoir droit à un prêt des pouvoirs publics à hauteur de 300 millions de livres dans le cadre du plan d’aide du
gouvernement.
«Si certaines habitudes de consommation vont revenir comme avant, d’autres ont changé pour toujours» et «la tendance vers le numérique s’accélère», souligne Steve Rowe, directeur général de Marks and Spencer.
Pour s’adapter à cet environnement à plus long terme, le groupe lance un nouveau plan stratégique avec pour objectifs notamment de réduire son offre de vêtements tout en vendant désormais d’autres marques que la sienne, rendre son personnel polyvalent dans les magasins et de renforcer son offre numérique.
Surtout, il explique que les effectifs seront examinés à tous les niveaux, suggérant que de possibles suppressions d’emplois interviendront.
Le groupe avait par ailleurs avant la pandémie décidé de lancer une offre de vente alimentaire en ligne, domaine dans lequel il était en retard par rapport à ses concurrents.
Alibaba : bénéfice en chute libre sur les trois premiers mois de l’année
Le géant chinois du commerce en ligne Alibaba a vu son bénéfice net s’effondrer sur les trois premiers mois de l’année, alors que son chiffre d’affaires a au contraire résisté mieux qu’attendu face à la pandémie de Covid-19 qui a bouleversé la consommation chinoise.
Le chiffre d’affaires du groupe de Hangzhou (est) a ainsi bondi de 22% sur un an au quatrième trimestre (janvier-mars) de son exercice décalé, à 114,31 milliards de yuans (16,14 milliards de dollars), sept points au-delà des attentes des analystes sondés par Bloomberg, selon des résultats publiés
vendredi. «Si la pandémie (du nouveau coronavirus) a pénalisé la plupart de nos activités centrales de vente en ligne à partir de fin janvier», sur fond de mesures de confinement et de paralysie des réseaux logistique, «nous avons connu une solide reprise depuis mars», a commenté la directrice financière Maggie Wu, citée dans un communiqué. La fermeture prolongée des magasins et restaurants a poussé les
consommateurs chinois à acheter davantage d’articles dits essentiels en ligne (produits alimentaires, d’hygiène…), au détriment des autres dépenses (habillements, meubles, décoration…) selon le groupe. «La pandémie a modifié fondamentalement le comportement des consommateurs et les opérations de l’entreprise, rendant indispensable l’adoption (du commerce) en ligne. Nous pensons que nous émergerons renforcés de cette crise», a renchéri le directeur général Daniel Zhang. Signe néanmoins de la pression subie par le géant chinois: son bénéfice net a fondu de 88% à 3,16 milliards de yuans (447 millions de dollars) sur les trois premiers mois de 2020. Alibaba a indiqué avoir contribué à soutenir les vendeurs présents sur ses plateformes via des avances de liquidités et prêts préférentiels. Si l’essentiel des revenus d’Alibaba (82%) viennent de ses plateformes de
vente en ligne –sous forme notamment de recettes publicitaires et de commissions–, son activité de «cloud» (informatique dématérialisée) a vu ses revenus s’envoler de 58% sur le trimestre. En revanche, sa plateforme de livraisons de repas, Ele.me, a bu la tasse, compte tenu des fermetures de nombreux restaurants. La santé financière d’Alibaba est considérée comme un baromètre de la consommation chinoise, à l’heure où Pékin s’efforce d’en faire un moteur de la croissance du pays. Sur l’ensemble de l’exercice 2019-2020, terminé fin mars, Alibaba a engrangé un chiffre d’affaires de 509,7 milliards de yuans (71,98 milliards de dollars), en hausse de 35% sur un an, pour un bénéfice net de 149,3 millards de yuans (+70%). En se fondant sur sa «prévision actuelle de la consommation intérieure chinoise», Alibaba anticipe des revenus de plus de 650 milliards de yuans pour l’exercice 2020/21 entamé en avril. Alibaba s’est associé pendant la crise sanitaire à la fondation de son fondateur (et ancien patron) Jack Ma pour livrer et offrir des millions de masques, équipements de protection et tests, via ses propres avions à travers le monde, notamment en Afrique, incarnant une facette de la «diplomatie du masque» initiée par la Chine.
Facebook lance Facebook Shops, une vitrine pour les marques
Facebook accélère le développement de l’aspect commercial de ses plateformes à la faveur du «Grand confinement», qui renforce le besoin pour les petites entreprises de solliciter les consommateurs là où ils se trouvent: en ligne.
Le réseau social dominant a lancé mardi un nouvel outil, baptisé «Facebook Shops», qui permet aux marques de se créer une vitrine personnalisée et attrayante, pour mettre en valeur leurs produits et leur histoire, et faciliter les ventes.
Les entreprises n’auront besoin de se créer qu’une seule «vitrine», la même
pour Facebook et Instagram, et, plus tard, pour Messenger et WhatsApp.
Ce nouveau produit va être progressivement mis à disposition, au cours des
deux mois à venir, des quelque 160 millions de sociétés qui utilisent déjà
l’écosystème du réseau social.
Il sera gratuit, mais il devrait permettre à Facebook d’augmenter le temps passé par les utilisateurs sur ses différentes applications, et aussi de recueillir encore plus de données, moteur de son modèle économique fondé sur la ciblage publicitaire très fin et à très grande échelle.
«L’expérience doit être fluide et inspirante. Vous pourrez explorer l’univers des marques plus en détail, sans avoir à quitter l’appli», résume Layla Amjadi, directrice produit d’Instagram Shopping, lors d’une conférence de presse.
Facebook Shops est dans les tuyaux depuis l’année dernière.
Le groupe californien a accéléré son développement, «dans l’espoir que cela aide des entreprises à survivre et à se construire une présence en ligne dans un contexte où les achats vont de plus en plus avoir lieu sur internet»,
explique George Lee, directeur du management des produits chez Facebook.
«Un tiers des PME américaines que nous avons interrogées pour une étude
déclarent ne pas être opérationnelles en ce moment», à cause de la pandémie, rapporte-t-il.
«Un tiers d’entre elles n’ont plus d’activité qu’en ligne», ajoute-t-il.
Les PME utilisatrices de Facebook Shops auront l’option de payer pour des publicités qui redirigent les consommateurs vers leur vitrine.
Aux Etats-Unis, certaines d’entre elles pourront aussi tester un bouton «checkout» (paiement), qui existe déjà sur Instagram et permet de régler ses achats sans être redirigé vers le site marchand.
Le réseau social va en outre renforcer le shopping «live», c’est-à-dire l’intégration de liens vers les produits dans des vidéos diffusées en direct, un format de plus en plus populaire.
Avec les mesures de distanciation sociale, Facebook se retrouve dans une situation paradoxale, avec un fort regain de l’engagement, mais une monétisation compliquée par les coupes de budgets publicitaires des entreprises.
Le Credit Suisse : le télétravail serait estimé entre 10 à 20% après la crise du Covid-19
Le Credit Suisse, deuxième banque de Suisse, estime que 10 à 20% de ses heures de travail seront effectuées à domicile après la crise du coronavirus, selon son directeur général Thomas Gottstein.
«En moyenne, nos employés feront probablement davantage de télétravail dans le futur. Les estimations initiales vont de 10 à 20% du temps de travail»,
affirme M. Gottstein dans une interview au journal Neue Zurcher Zeitung
publiée samedi.
La pandémie de Covid-19 a donné un coup d’accélérateur aux transactions en ligne, réduisant encore l’importance des agences traditionnelles, dont le nombre «va donc continuer à diminuer».
Il y a «beaucoup» à apprendre des banques qui utilisent les smartphones
pour fournir des services de «la manière la plus simple, la plus rapide et la plus pratique possible», ajoute-t-il.
Des espaces de bureau réduits «découleront probablement» de ces évolutions pour l’ensemble du secteur des services, pronostique-t-il.
Plus de 90% des employés de Credit Suisse ont travaillé de chez eux pendant la crise.
«À moyen terme, nous serons certainement en mesure d’assurer nos activités avec moins de personnel – en particulier parce que nous continuerons à automatiser l’entreprise», prévient M. Gottstein.
Le dirigeant imagine un monde d’après-crise avec moins de voyages car «les entreprises ont pu voir à quel point la vidéoconférence fonctionne» – même s’il souligne que les relations personnelles resteront «une partie du métier de banquier».
Selon M. Gottstein, la pandémie de Covid-19 a «conforté la réputation des banques, parce qu’elles sont une partie de la solution, et non le problème».
«De plus, elles sont bien plus robustes qu’elles ne l’étaient durant la crise financière de 2008. Tout cela me rend optimiste», se réjouit-il.
Thomas Gottstein a pris la direction du Credit Suisse en février après l’éviction de Tidjane Thiam à la suite d’un énorme scandale d’espionnage.
L’affaire avait débuté en septembre après des révélations dans la presse concernant l’ancien directeur de la gestion internationale de fortune, Iqbal Khan, suivi par une société de détectives privés après son départ inattendu pour la banque concurrente suisse UBS.
Une première enquête a mis en cause l’ancien directeur des opérations Pierre-Olivier Boueeober, sans apporter la preuve que d’autres hauts responsables, dont M. Thiam, aient été informés.
Ce dernier a été contraint de démissionner en février, mais il est parti avec environ dix millions d’euros de salaire et de primes.