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Nouvelle campagne pour GRDF

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GRDF dévoile une nouvelle campagne visant à populariser le gaz vert et valoriser le travail des agriculteurs engagés dans la transition écologique. Ce nouveau dispositif plurimédia est pensé par les équipes de Socialyse Paris et d’Arena Media. Ces dernières ont orchestré et conçu des dispositifs afin de faire connaitre au grand public les énergies produites localement par les agriculteurs à partir de déchets organiques. La campagne, qui se déroulera durant la semaine de l’agriculture française du 13 au 24 mai 2021 et jusqu’aux journées de l’agriculture du 18 au 20 juin, s’articule autour de 3 leviers médias: Brut, France Inter et France Bleu, et les réseaux sociaux. 

Publicis Sport lance son nouveau film pour eToro

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Dans le cadre de l’activation du partenariat entre l’AS Monaco et la plateforme d’investissement multi-actifs eToro, Publicis Sport révèle son nouveau film en s’appuyant sur les similitudes entre le trading et l’exercice le plus iconique du foot : le Toro. Cette campagne est destinée aux fans de ballon rond, et a pour objectif de les familiariser avec le monde de l’investissement privé en utilisant la métaphore footballistique. Elle s’inscrit dans la continuité de la stratégie déployée par l’agence et des précédents contenus et campagnes publiés tout au long de la saison sur les réseaux sociaux de l’AS Monaco et d’eTORO. 

Taboola signe un accord de partenariat avec le groupe EBRA

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Taboola, leader mondial dans la recommandation de contenus pour l’Internet ouvert afin d’aider les utilisateurs à découvrir du contenu pouvant les intéresser, annonce aujourd’hui la signature d’un accord de partenariat avec EBRA, premier groupe de presse quotidienne régionale en France. Ce partenariat stratégique a pour principal objectif de faire croître le nombre d’abonnés et de générer des revenus en stimulant l’engagement des lecteurs des médias du groupe EBRA grâce à la plateforme Taboola. Selon les termes de ce partenariat, le groupe EBRA a choisi de s’engager avec Taboola pour déployer la solution Taboola Feed sur toutes ses plateformes, un flux intégré de manière transparente, qui fournit aux lecteurs un contenu personnalisé au profit d’une expérience éditoriale plus engageante. À l’instar des réseaux sociaux, l’outil Taboola encourage, notamment les internautes à rester actifs sur un site média en faisant défiler un flux personnalisé de contenus, et de vidéos. Taboola Feed permet alors de développer l’engagement des lecteurs afin de maximiser le temps passé sur le site, et de générer, in fine, plus d’interaction avec le contenu. 

ALDI France choisit Monet + Associés

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Suite à un appel d’offres, l’enseigne ALDI France fait confiance à Monet+Associés pour construire sa stratégie de relations médias et influence consumer. Un challenge de taille puisqu’il s’agit de la première expérience de la marque sur ces volets. Le défi a été relevé grâce à l’expertise des équipes RP et influence des pôles Food et Corporate de M+A mais aussi au soutien des départements Brand Content et Social Média pour bâtir des stratégies à 360°.

Orange et Lonely Planet lancent le premier guide de la déconnexion

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Après une année particulière durant laquelle Orange aura permis aux Français de rester connectés avec leur entourage et avec leur entreprise, et pour célébrer le retour des beaux jours, les experts du Lonely Planet & les équipes d’Orange ont sélectionné 100 expériences nouvelles et variées permettant de vivre une nouvelle forme de déconnexion en famille ou entre amis. Un film teaser est diffusé sur les réseaux sociaux Orange et la chaîne YouTube Orange France. Des contenus mettant en avant l’expérience en réalité augmentée, le guide et les différentes destinations sont diffusés sur les plateformes sociales d’Orange France aussi bien au niveau national qu’au niveau régional. Un dispositif d’influence est mis en place avec différents influenceurs en région afin de promouvoir le guide et les destinations sur tout le territoire métropolitain. Avec ce dispositif, Brand Station accompagne Orange dans la transformation digitale de ses points de vente en mêlant technologies et expériences sociales. 

TF1 PUB : Céline Huart, nouvelle Directrice Commerciale Adjointe Audio

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Céline Huart est nommée Directrice Commerciale Adjointe Audio chez TF1 PUB. A ce titre, elle a pour mission de manager l’équipe commerciale nationale audio (radio et digital) et de définir la stratégie commerciale. Elle est responsable de la commercialisation de l’offre radio nationale (Les Indés Radios et M Radio) et de l’audio digital de TF1 PUB, en lien avec l’équipe digitale et l’ensemble des fonctions supports (planning, marketing, finance, informatique…). 

Carte Noire : une playlist solidaire, pour une pause-café engagée

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Après avoir fait danser les Français en novembre dernier, lors de son Challenge Carte Blanche, au profit d’une association pour l’insertion par le sport et la danse, Carte Noire lance le nouvel opus de son Challenge. Sur le thème de la musique, et en partenariat avec le chanteur Hervé, la marque de café préférée des Français donne carte blanche à l’artiste pour créer une playlist solidaire sur Spotify. Imaginé par BETC Fullsix/BETC et orchestré par Carat, l’agence media du groupe dentsu, ce challenge a pour but de récolter des fonds pour soutenir l’association Le Fair, le premier dispositif de soutien au démarrage de carrière et de professionnalisation en musiques actuelles, créé à la demande du Ministère chargé de la Culture en 1989. 

La SNCF envisage «une belle année ferroviaire post-pandémie»

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La SNCF envisage «une belle année ferroviaire post-pandémie» avec le redémarrage des déplacements, une nouvelle tarification et les 40 ans du TGV, a estimé vendredi le PDG de SNCF Voyageurs Christophe Fanichet. 

Faisant référence à l’»année européenne du rail» –décrétée en 2021 par 

Bruxelles– qui a aussi mal commencé pour les compagnies ferroviaires que ne s’était achevée 2020, le patron de la partie de la SNCF qui fait rouler les 

trains s’est montré optimiste pour l’été. 

«Je suis vraiment confiant. Je pense qu’on fera mieux que 85%», c’est-à-dire la fréquentation de l’été 2020 par rapport à la performance de 2019, a-t-il indiqué en marge de l’inauguration du TGV low-cost Ouigo en Espagne. 

«Les Français ont vraiment envie de bouger, les mesures sanitaires sont vraiment connues. Ca sera vraiment différent de l’an dernier», a-t-il relevé, 

ajoutant que la SNCF «aura aussi des touristes européens». 

Cette «belle année» commence par le lancement de Ouigo Espagne, qui sera 

suivi par la relance du train de nuit Paris-Nice –peut-être le 20 mai–, l’annonce d’une nouvelle gamme tarifaire plus accessible le 1er juin, cet été 

qu’il espère meilleur, le choix de nouveaux opérateurs pour des TER en Provence-Alpes-Côte-d’Azur, les 40 ans du TGV en septembre, et enfin une application SNCF unique à la fin de l’année, a-t-il énuméré. 

Christophe Fanichet attend aussi «beaucoup» des élections régionales. 

«Le train fait partie de la solution éco 

logique, et on voit bien que l’écologie 

fait partie de tous les programmes», a-t-il dit. 

Le dirigeant s’est par ailleurs montré «très confiant» quant au sauvetage de la compagnie transmanche Eurostar, une filiale à 55% de la SNCF qui risque le dépôt de bilan si elle n’est pas renflouée rapidement. 

«Dans quelques semaines, on devrait boucler un deuxième refinancement» de la société par ses actionnaires, sans l’aide des gouvernements français et 

britannique, a-t-il noté. 

Outre la SNCF, Eurostar est détenu à 40% par le consortium Patina Rail –composé pour 30% de la Caisse de dépôt et placement du Québec et 10% du fonds britannique Hermes Infrastructure– et à 5% par la SNCB belge. 

La SNCF va s’ouvrir à l’Europe occidentale

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Le déploiement de trains sur des axes rentables en Europe occidentale est pour la SNCF la meilleure façon de répondre à l’arrivée de concurrents étrangers sur les rails français, explique dans un entretien le directeur de Voyages SNCF Alain Krakovitch. 

«La concurrence s’ouvre en France. Les Italiens et les Espagnols vont se positionner sur Paris-Lyon-Marseille, là où les marges sont les plus importantes. Ils ont par ailleurs des marges importantes chez eux aujourd’hui, comme sur Madrid-Barcelone», expose M. Krakovitch. «On sait que, par exemple, (la compagnie italienne) Trenitalia va venir, probablement avant la fin de l’année», sur Paris-Lyon, rappelle-t-il. L’espagnole Renfe s’est parallèlement annoncée sur Lyon-Marseille, à une date encore indéterminée. «Une des manières de riposter, c’est assez naturellement de se positionner sur des dessertes aussi rentables dans un terrain de jeu qui n’est pas seulement l’Hexagone, mais toute l’Europe de l’Ouest», tranche le patron des TGV. «Une bonne riposte à cette arrivée de la concurrence est de faire du volume à l’étranger.» «En l’occurrence, en Espagne on concrétise», dit-il, alors que la SNCF lance ce lundi des TGV à bas coût Ouigo face à la Renfe sur Madrid-Barcelone. 

«Et quand Trenitalia vient en France, on regarde ce qu’il se passe en Italie», ajoute-t-il, sans autre précision. M. Krakovitch voit aussi dans l’expansion hors des frontières une façon de combler les trous creusés par la pandémie de Covid-19. «La SNCF a perdu 5 milliards de chiffre d’affaires en 2020, on a un début d’année 2021 qui est difficile», rappelle-t-il. «Mais notre conviction, c’est que pour compenser cette perte de chiffre d’affaires il faut aller chercher plus de clients et qu’on remplisse nos trains. (…) En ce sens, même si la situation économique est difficile, on a choisi de se développer en Europe de l’Ouest pour répondre à cette difficulté.» De plus, ajoute-t-il, «on y va pour le report modal et faire en sorte qu’il y ait moins de voitures sur les autoroutes». 

Eurostar et Thalys fiancés : «Le «vert» est une mission et une stratégie», affirme-t-il, regrettant un peu que, «jusqu’à présent, on n’est pas parvenu à utiliser le fait que le train est la solution écologique comme un argument business». Mais la SNCF devait-elle s’engager dans l’aventure du Ouigo en Espagne – où elle doit développer son réseau d’ici à 2023 -, un investissement de 600 millions d’euros, alors qu’elle accumule les pertes? «On s’est évidemment posé la question d’abandonner le projet et tout le monde aurait compris qu’on n’aille pas en Espagne», répond Alain Krakovitch. Mais «c’est cohérent avec notre stratégie», affirme-t-il, «au-delà du fait que l’opération était déjà engagée et on n’aurait pas récupéré 600 millions». «Enfin, c’est 600 millions aux bornes de Ouigo, et pas de la SNCF», ajoute-t-il. «Parce que Ouigo a racheté les rames à la SNCF» et s’est endetté pour lancer son développement en Espagne. Plus au nord, les regards se tournent vers la compagnie transmanche Eurostar – filiale à 55% de la SNCF – qui est quasiment à l’arrêt et au bord du dépôt de bilan.Elle devrait bientôt être refinancée avec la caution de ses actionnaires, ce qui va permettre de relancer le chantier de sa fusion avec la compagnie franco-belge Thalys – une filiale à 60% – elle aussi très éprouvée par la pandémie. «Les pertes rendent encore plus pressante la fusion que j’espère avant la fin de l’année», indique Alain Krakovitch. «Mais les travaux ont été retardés par le Covid: nous avons eu d’autres priorités!» 

Lapeyre : le fonds Mutares s’engage à ne fermer aucun magasin «d’ici fin 2022»

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Le fonds d’investissement allemand Mutares, qui négocie l’acquisition de Lapeyre auprès de Saint-Gobain, au grand dam du personnel, a assuré aux salariés du groupe de menuiserie qu’il ne procéderait «à aucune fermeture de magasin et de site industriel d’ici fin 2022», a-t-il annoncé vendredi. 

«Nous ne procéderons à aucune fermeture de magasin ni de site industriel 

d’ici fin 2022, 10% du résultat opérationnel annuel (Ebitda) et jusqu’à 10% du produit net de la future cession de l’entreprise seront partagés avec tous les salariés de Lapeyre et aucun dividende ne sera versé jusqu’à la fin 2024», a ainsi écrit mercredi le futur président de Lapeyre, Marc Ténart. 

La direction confirme également la tenue d’une audience lundi au tribunal 

de commerce de Paris pour homologuer la cession, qui pourrait être ensuite finalisée d’ici fin mai. 

«Je sais qu’il y a beaucoup de questions sur le projet et que la confiance est à construire», poursuit M. Ténart. 

«Aucune décision n’est prise, ni pour 

les usines, ni pour les magasins. J’ai la conviction qu’une stratégie ne pourrait se résumer à moins de magasins, moins d’usines, moins de fournisseurs, moins de gammes, moins de stocks… Si cela est souvent nécessaire, ce n’est jamais suffisant». 

«Par ses erreurs stratégiques, Saint- Gobain a conduit le groupe Lapeyre dans une situation financière catastrophique», a réagi l’intersyndicale (CFTC, CFE-CGC, CGT, FO, CFDT) de Lapeyre dans un communiqué. 

«Aujourd’hui, Saint-Gobain a choisi le repreneur qui lui garantit d’éliminer un concurrent. Il ne peut pas en plus rechercher la protection du tribunal de commerce afin de se prémunir des conséquences de la future liquidation». 

Le projet est rejeté par les salariés de Lapeyre qui accusent le repreneur d’avoir l’habitude de siphonner la trésorerie des entreprises qu’il rachète. 

Un audit financier réalisé à la demande des élus du personnel indique que Mutares offre un profil «particulièrement inquiétant» et que son projet 

présente un «risque quasi certain de redressement judiciaire». 

«Cevital et Verdoso proposaient des projets plus sérieux, mieux-disant socialement et pour certains équivalents financièrement pour Saint-Gobain. 

Si Mutares dépose le bilan du groupe Lapeyre, la facture pour la collectivité 

sera au minimum de 200 millions d’euros», ajoute l’intersyndicale, qui 

souhaite que le ministère public fasse appel d’une éventuelle homologation de la cession. 

Le groupe de matériaux de construction et de distribution Saint-Gobain, qui a acquis Lapeyre en 1996, est en négociations exclusives avec Mutares depuis novembre afin de lui céder la chaîne de magasins spécialisés fondée en 1931. 

Le rapport d’expert indiquait que plus de 700 suppressions d’emplois pourraient avoir lieu dans le groupe de 3.500 salariés: 434 emplois dans la branche production en raison de la fermeture de quatre des dix usines et 279 dans la distribution après la fermeture de 19 magasins sur les 131 du groupe.