Biocoop, leader de la distribution alimentaire biologique spécialisée en France, a choisi de confier sa prochaine campagne de communication à Altavia Disko. A travers une série de 3 visuels, dont les 3 clichés ont été captés par le photographe anglais Robert Billington, Biocoop affiche une nouvelle écriture créative, qui rappelle ses engagements et souligne son état d’esprit militant avec un travail typographique original. Déployée partout en France sur le réseau JCDecaux et relayée en digital et sur les réseaux sociaux, cette campagne sera visible depuis ce mercredi 12 février 2025.
48%
48% des consommateurs européens préfèrent effectuer leurs achats en ligne plutôt qu’en magasin
Source : Étude Mollie
Gerblé choisit Hungry and Foolish pour sa communication grand public
Gerblé, troisième marque de biscuits préférée des Français, confie sa communication grand public à l’agence Hungry and Foolish. Issue d’une compétition organisée par Precious, expert en conseil en investissement marketing, et opposant trois agences de renom, cette collaboration s’inscrit dans une démarche de renouveau stratégique pour la marque. Hungry and Foolish aura pour mission d’accompagner Gerblé dans la définition et la création d’un nouveau territoire de communication qui sera déployé à grande échelle, en mass media (TV et affichage), en digital, sur les réseaux sociaux et via des campagnes d’influence.
M. BADIE (OVAL) : «Une agence investit en moyenne 32 000€ par consultation, sans garantie de réussite (AACC)»
Les agences sont de plus en plus confrontées à une problématique : le non-dédommagement dans le cade des consultations, qui met en péril les business model. Aux côtés d’autres acteurs engagés, OVAL a décidé d’agir en proposant une contribution partagée entre le budget de l’agence et celui du client. Zoom sur cette démarche avec Mathieu BADIE, Directeur général OVAL France.
MEDIACOM Quelle est l’expertise de l’agence OVAL ?
Mathieu BADIE Nous sommes une agence créative européenne et nous nous donnons pour mission de faire vivre les marques, leurs produits, leurs services, leurs promesses et/ou leurs engagements en concevant et produisant des expériences à impact positif. Nous venons de l’événementiel et nous avons choisi de capitaliser sur sa force et son impact «for real» pour le transposer sur tous les moyens de communication, c’est cela pour nous créer des expériences.
MEDIACOM Comment se compose votre portefeuille client ?
Mathieu BADIE Notre portefeuille client est très varié et non focalisé sur une industrie plutôt qu’une autre. Nous travaillons tant pour des clients publics comme Paris Aéroport, SNCF, MansA ou le Ministère de la Culture que pour des clients privés comme Decathlon, B&B HOTELS, Deloitte Université ou Pluxee.
MEDIACOM OVAL s’engage dans le sujet des compétitions d’agences. Quel est le problème ?
Mathieu BADIE Le problème est toujours le même : le trop grand nombre de compétitions qui ne respectent pas le travail engagé par les agences et donc les agences elles-mêmes. Qu’il s’agisse du nombre trop important d’agences interrogées, des délais trop courts donnés pour répondre, des budgets inadéquats par rapport aux besoins ou un niveau et nombre de livrables demandés au stade de la consultation, les conditions ne sont pas souvent réunies pour que notre industrie donne le meilleur d’elle-même alors même que c’est ce qu’on attend d’elles. Ces consultations ne sont pas indemnisées à la hauteur de la valeur créative délivrée et du temps passé par de nombreuses équipes. Cette situation, qui tend à se démultiplier ces dernières années, met clairement en péril nos business model.
MEDIACOM Comment répondez-vous à cette problématique ?
Mathieu BADIE Beaucoup de choses ont été dites, beaucoup de réunions organisées, beaucoup de chartes signées, beaucoup de promesses, mais rien n’a changé depuis des dizaines d’années. Alors nous avons choisi d’être créatifs dans notre façon d’aborder le problème, inspirés par l’agence orléanaise Atipic, en indemnisant symboliquement nos concurrents. Si nous remportons la consultation, dans le cas où l’annonceur ne le ferait pas lui-même, et dans des conditions qui nous semblent normales (3 agences interrogées (dont nous) et un budget d’au-moins 100.000 €), nous proposons de verser 1% du budget à chaque agence, dont 50% est pris sur le budget du client et 50% pris sur notre trésorerie.
MEDIACOM Financièrement, que représente la perte financière d’une agence lors d’une compétition ?
Mathieu BADIE Elle a été estimée à 32.000 € en moyenne par consultation dans une étude commandée par l’AACC. 32.000 € par compétition, c’est plus qu’un équivalent temps plein au SMIC, c’est délirant. Participer à des compétitions peut devenir plus coûteux que de ne rien faire si le taux de transformation ne parvient pas à équilibrer l’investissement. Avec plus de 644.000€ investis chaque année pour répondre à des appels d’offres, nous sommes convaincus que notre secteur a besoin d’un modèle plus équitable et plus respectueux.
MEDIACOM Sur cette démarche, êtes-vous rejoints par d’autres acteurs du marché ?
Mathieu BADIE Nous avons suivi l’agence Atipic dans sa démarche et nous savons que de nombreuses autres agences sont intéressées pour nous rejoindre afin de former la plus large coalition d’agences possible et adresser ce sujet de concert, au service de toutes et tous. Cette démarche n’est pas une démarche OVAL, ni Atipic, c’est une démarche vertueuse au service de l’industrie et même de nos clients et il nous appartient donc de la partager et de convaincre le plus largement possible.
MEDIACOM Et les annonceurs, sont-ils touchés par cette problématique?
Mathieu BADIE Oui, bien sûr, c’est un cercle vicieux qui tire tout le secteur vers le bas et donc, in fine, les annonceurs eux-mêmes vers le bas. Nous assistons à une multiplication des projets pour lesquels est faite une consultation (et parfois des projets ridiculement petits), qui poussent les agences, pour assurer leur rentabilité, à s’engager sur de plus en plus de compétitions, donc à investir temps et énergie pour un résultat incertain, les plaçant dans une situation économique instable, créant une tension et une pression supplémentaire au niveau des équipes, de l’humain, et donc de la qualité de ce qui est créé qui, en plus doit être à un prix réduit par rapport aux livrables demandés.
NaTran (ex-GRTgaz) annonce son changement de nom avec une campagne de communication multi-canal
20 ans après sa création, GRTgaz ouvre un nouveau chapitre de son histoire et devient NaTran. Ce changement de nom témoigne d’une nouvelle ambition : devenir l’opérateur de référence du transport des gaz renouvelables, de l’hydrogène et du CO2 en Europe, afin d’accompagner la neutralité carbone à l’horizon 2050. Pour faire connaitre sa nouvelle identité, NaTran déploie une campagne de communication intitulée « Le chemin de la transition énergétique », diffusée principalement en télévision, radio et sur les réseaux sociaux depuis le dimanche 9 février, et jusqu’au 2 mars 2025. L’identité visuelle met l’accent sur le métier d’opérateur d’infrastructures, avec un « T » central dynamique qui exprime un réseau qui s’adapte à la transition énergétique.
Beastly orchestre une collaboration entre l’AS Monaco FC et la marque de mode Koché
Beastly, l’agence de conseil et d’accompagnement stratégique en influence marketing du groupe Biggie, crée une collaboration entre L’Association sportive de Monaco Football Club (abrégée en AS Monaco FC), club emblématique du football européen, et la maison de mode Koché, pour la création d’une édition exclusive du maillot historique du club. Ce partenariat incarne la rencontre de deux univers, le sport et la mode, dans une ambition commune d’innovation et de prestige à l’échelle internationale. De cette collaboration est né un maillot imaginé par Christelle Kocher et produit par Kappa, l’équipementier du club, qui réinterprète les symboles emblématiques du club.
Le moral des Européens continue à lentement se redresser en 2025
Le moral des Européens «continue à lentement se redresser en 2025, pour la seconde année consécutive», sauf en France où l’incertitude politique et économique pèse sur des consommateurs déjà peu optimistes, selon l’Observatoire Cetelem publié mardi par la banque française.
Il y a une «tendance historique des Français à être moins optimistes que la moyenne européenne», rappelle l’Observatoire, qui a sondé en ligne 10.792 personnes dans 10 pays, sélectionnés selon la méthode des quotas, du 4 au 14 novembre 2024. Mais il a observé cette fois une «cassure nette» en France quant à la perception de la situation du pays. Alors que cette perception est légèrement plus positive en moyenne dans les autres pays d’Europe, elle l’est beaucoup moins en France qu’un an plus tôt. Cela peut «s’expliquer par le contexte politique incertain dans lequel le pays a navigué l’an dernier», estime dans un communiqué l’Observatoire, qui réalise cette étude chaque année. Les dix pays sondés sont la France, l’Allemagne, la Belgique, l’Espagne, l’Italie, la Pologne, le Portugal, la Roumanie, le Royaume-Uni et la Suède. Le pessimisme français porte sur la situation du pays plutôt que sur les situations personnelles. «Les Français estiment que leur situation ne s’est pas dégradée par rapport à l’année précédente, ils jugent en revanche que la situation du pays est moins bonne», explique Flavien Neuvy, économiste et directeur de l’Observatoire Cetelem. De manière générale, malgré une succession de «chocs très puissants» – «Covid-19, retour de la guerre en Europe, crise inflationniste telle qu’on n’en a pas connu depuis 40 ans» -, la consommation résiste et continue à être un moteur essentiel de l’économie européenne, observe M. Neuvy. La prudence dans les achats reste toutefois de mise, avec une volonté d’épargne toujours très forte depuis l’épidémie de Covid-19 et la crise inflationniste. «On pouvait penser qu’après la forte inflation, les consommateurs français allaient puiser dans leur épargne pour maintenir leur niveau de consommation, mais ils ont plutôt continué à augmenter leur taux d’épargne en 2024», explique M. Neuvy. Dans ce contexte, «se faire plaisir», par des voyages ou des escapades notamment et «assurer son confort» sont «les deux principales motivations d’achat des Européens», dit encore l’Observatoire.
La SPA renouvelle sa confiance à Havas Play
À la suite d’un appel d’offres multi-attributaires, la SPA renouvelle sa confiance en Havas Play pour trois années supplémentaires. L’agence sera en charge de la conception et la création des campagnes de communication de la 2me association préférée des Français, qui fêtera ses 180 ans cette année.
Néocamp Groupe déploie une campagne de notoriété pour Les Vacances Camping Paradis et Ushuaïa Village
Néocamp Groupe déploie en 2025 une campagne de communication ambitieuse pour renforcer la notoriété de ses deux marques Les Vacances Camping Paradis et Ushuaïa Villages. Avec près de 60 diffusions de spots TV sur TF1, des campagnes radio à forte audience et un dispositif digital engageant (pour la première vague du plan de communication), les deux marques, qui rassemblent plus de 120 campings, déploient un plan de visibilité inédit pour dynamiser leurs prises de réservations.
Coca-Cola et l’Accor Arena renouvellent leur partenariat
Coca-Cola et l’Accor Arena annoncent le renouvellement de leur partenariat de plus de 25 ans, marquant une nouvelle étape dans leur ambition commune : offrir des expériences encore plus mémorables et immersives à tous les fans d’événements musicaux et sportifs. Ce partenariat historique s’accompagne d’une grande nouveauté : l’inauguration d’un tout nouvel espace Coke Studio, un lieu unique où la musique et les émotions se rencontrent. Dès son ouverture, cet espace Coke Studio promet d’enrichir l’expérience des visiteurs avec une immersion totale dans l’univers musical de Coca-Cola, à travers des surprises et des moments inédits.