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Viva Technology reviendra les 17, 18 et 19 juin 2021

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Viva Technology confirme son retour en 2021 à Paris, Porte de Versailles, dans les halls 1 et 2 ainsi que le Dôme de Paris. L’événement startup et tech numéro 1 en Europe précise ses dates : deux journées seront dédiées aux professionnels de l’écosystème tech les 17 et 18 juin, suivies d’une journée ouverte à tous les publics le 19 juin. Le format sera enrichi de nouvelles expériences virtuelles, toujours plus personnalisées et interactives, à vivre depuis les quatre coins du monde. VivaTech et ses partenaires continuent de soutenir le développement des startups dans ce contexte difficile. Les challenges 2020 de collaboration entre startups et grands groupes ont été maintenus, permettant à plusieurs centaines de startups d’entrer en contact avec des clients et partenaires potentiels pour innover ensemble. En parallèle, Le groupe LVMH désignera début juillet le lauréat de la 4e édition du LVMH Innovation Award. D’autres initiatives ciblées sont menées, comme le Female Founder Challenge, organisé avec 50inTech et EY, pour connecter femmes entrepreneures et investisseurs ou encore le concours French IoT de La Poste pour soutenir le développement de services connectés à impact positif. 

PepsiCo France annonce trois nouvelles nominations au sein de son comité de direction

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PepsiCo France vient d’annoncer les nominations de Catherine Lambard en tant que Directrice financière, Christophe Laffont au poste de Directeur commercial en charge des relations GMS et Export de Bruno Cazelles en tant que Directeur commercial Hors domicile. Ils sont tous les trois membres du comité de direction et reporteront directement à Olivier Pechereau, Directeur Général de PepsiCo France.

Michelin choisit Webedia Brand Services comme partenaire stratégique de sa digital & social room internationale

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Après une compétition de 6 mois impliquant 3 agences, Webedia Brand Services, déjà en charge de la conception et la production des campagnes digitales de Michelin, a été choisie par le groupe pour l’accompagner sur le développement stratégique et opérationnel de sa digital & social room, pilier de sa stratégie sociale globale. Cette dernière a pour objectif d’orchestrer le récit digital du groupe, sur tous les canaux digitaux des 170 pays où Michelin est présent, pour l’ensemble des publics et des activités. Cette démarche est d’autant plus importante que le groupe Michelin a défini son nouveau projet stratégique, ainsi que les éléments de sa nouvelle communication de marque.

Le Parc Astérix a rouvert ses portes le lundi 15 juin

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Astérix et Obélix sont prêts à reprendre du service et ce, depuis le lundi 15 juin. Le Parc ouvre ses portes dans un contexte totalement inédit : capacité d’accueil régulée, plan de nettoyage et de désinfection, procédures sanitaires minutieuses, respect de la distanciation sociale… Tout est mis en place pour que les visiteurs puissent s’évader et retrouver le Village Gaulois en toute sérénité. Pour les jeunes de 15 à 25 ans inclus, le Parc Astérix propose un tarif unique de 30€, pour une visite du lundi au vendredi entre le 15 juin et le 10 juillet 2020. Le billet est à réserver uniquement en ligne, au plus tard la veille de la visite. 

F. COSME (Cosme Communication) : «J’ai voulu créer l’agence RP que j’aurais souhaité trouver quand j’étais startuper»

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À l’heure où les PME et startups redémarrent, l’agence Cosme Communication lance une offre inédite, sans engagement et où le client ne paye que pour les résultats obtenus. Zoom sur cette jeune agence avec son fondateur et CEO, François COSME.

MEDIACOM Quelle est la ligne éditoriale de Cosme Communication? 

François COSME La ligne éditoriale de Cosme Communication est simple : accompagner les jeunes startups et PME innovantes dans leur développement sur le marché francophone et international. Fondée sur les valeurs de la performance et de la transparence, l’agence accompagne les équipes marketing et de direction de PME, ETI et Startups qui souhaitent valoriser médiatiquement leur activité et leur expertise auprès de la presse francophone et anglo-saxonne. J’ai voulu créer l’agence RP que j’aurais souhaité trouver quand j’étais startuper. Une agence qui propose une tarification claire, un accompagnement simple, mais efficace, sans blabla et pour qui performance n’est pas un gros mot. Ce lancement répond aussi à un besoin sur le marché actuel des relations presse avec de fortes attentes des clients en matière de transparence dans l’exécution de la mission et dans le modèle de rémunération. J’ai créé cette agence en février 2019 et j’accompagne depuis plus d’un an Zenpark, l’opérateur en France du Parking-As-A-Service. En cette fin de crise sanitaire, je lance ma nouvelle offre sans engagement, une offre inédite sur le marché. 

MEDIACOM Quelle est votre offre ? 

François COSME La valeur fondatrice de Cosme Communication, c’est la transparence. Exit les belles formules de communicant, Cosme Communication propose un accompagnement centré sur des actions simples mais efficaces, avec une transparence absolue dans la relation client et le suivi des opérations. Chaque client bénéficie d’une veille quotidienne de son actualité et de celle de son secteur ainsi que d’un reporting mensuel présentant clairement les moyens déployés et les résultats obtenus ou non obtenus. Tout cela permet au client de connaître facilement le ROI (retour sur investissement) de son agence et donc de pouvoir justifier financièrement son budget RP. Cosme Communication est la 1ère agence de relations presse à proposer sur le marché français une offre sans engagement et où le client ne paye que pour les résultats obtenus (facturation de 200€ par retombée). 

MEDIACOM Quels sont vos objectifs ? 

François COSME Cette offre, bien qu’inédite et originale, n’a pas pour vocation de bouleverser le marché. À mon échelle, cela est impossible. Mais le secteur des relations presse en a besoin. Avec le développement de cette offre, mon objectif est de développer mon portefeuille clients. Pour cette fin d’année, je cherche à conquérir des clients français. L’année 2021 sera quant à elle consacrée à attirer des clients étrangers et de jeunes entreprises. 

MEDIACOM Quel est votre parcours ? 

François COSME Ces cinq dernières années, je me suis consacré à la communication et à l’innovation stratégique au service de grands groupes et de startups de premier plan. De 2017 à 2019, j’ai travaillé au sein du 3ème groupe de communication mondial, Dentsu Aegis Network, où j’ai mobilisé mes talents pour StartupLift, l’offre d’accompagnement de Dentsu Consulting à destination des startups. Mes clients (Lime, Zenpark, WeMoms, LittleCorner, Bubbles) ont pu développer leur notoriété à des moments stratégiques de leur croissance. Auparavant, j’ai travaillé au sein de la régie publicitaire du «New York Times». J’ai eu la charge de développer plusieurs campagnes à succès pour les grands noms du luxe et de la mode (Fendi, Chanel) en coopération avec les 5 bureaux régionaux du groupe (New York, Paris Londres, Dubaï, Honk Kong). Enfin, j’ai une certaine passion pour l’entrepreneuriat. J’ai développé ma première société au lycée et j’ai été le Chief Marketing Officer et Chief Sales Officer de la startup Sauver Le Monde des Hommes. J’ai ainsi pu voir les 3 facettes de la relation avec les agences, les médias, mais aussi les tensions que peuvent opposer ses derniers avec les startups et PME. 

MEDIACOM Comment évolue le secteur de la relation presse ? 

François COSME Le secteur évolue trop lentement. Les agences de relations presse se définissent de plus en plus comme des agences d’influences pour apporter de la modernité à leur secteur. Leurs offres n’évoluent pas et restent basiques à ce qui est de la relations presse traditionnelle. Nous avons 

C. TRUNET-FAVRE (e.Voyageurs SNCF) : «Nos trains pour juillet-août sont encore loin d’être remplis»

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e.Voyageurs SNCF, l’expertise digitale du groupe SNCF a permis de gérer avec précision la relation avec de très nombreux clients tout au long du confinement et de la crise sanitaire. Pour médiaCom’, Cécile TRUNET-FAVRE, directrice de la communication, des marques, des affaires publiques et de la RSE chez e.Voyageurs SNCF, revient sur le dispositif mis en place. 

MEDIACOM’ Quelle est l’expertise de e.Voyageurs SNCF ? 

Cécile TRUNET-FAVRE L’entité e.Voyageurs SNCF a été créée en octobre 2018 et rassemble les compétences digitales client du groupe SNCF. Ce nouvel ensemble s’appuie sur 4 atouts stratégiques : OUI.sncf, leader du e-commerce français, l’excellence technologique de notre Usine Digitale dédiée aux mobilités, un réseau international puissant avec Rail Europe, et l’offre des mobilités du quotidien avec l’Assistant SNCF. Lancé en juin 2019, ce dernier permet à chacun de s’informer, réserver, payer et valider différentes offres de mobilités dans le but d’assister chaque voyageur dans la totalité de son parcours. 

MEDIACOM’ Quel est le dispositif mis en place pendant le confinement ? 

Cécile TRUNET-FAVRE Dès l’annonce du confinement, l’ensemble des collaborateurs est passé en télétravail. Nous avons été très efficace. Notre principale mission a été de rassurer nos clients. Certes, nous avons été moins sollicités pour l’achat de billets, mais le service a été personnalisé. Depuis le 15 mars, ce sont ainsi 2,4 millions de remboursements ou échanges qui ont été réalisés sur OUI.sncf grâce à une politique commerciale très souple. 

MEDIACOM’ Quelle est la perte engendrée par le Covid-19 ? 

Cécile TRUNET-FAVRE Nous dépendions de l’offre de transport existante et prévue par le gouvernement pendant le confinement. En moyenne, nous ne pouvions proposer que 10% de nos TGV, 30% des TER et 50% des Transiliens. La mobilité étant fortement réduite, nous n’avons quasiment rien commercialisé. Sans surprise, notre volume d’affaires a bien évidemment plongé durant cette période. 

MEDIACOM’ Depuis les dernières annonces du gouvernement, comment votre activité évolue-t-elle ? 

Cécile TRUNET-FAVRE Dès le vendredi 15 mai, la reprise a été marquée avec des ventes multipliées par 5 par rapport à la semaine précédente (multipliée par deux par rapport à une journée normale de mai). Une tendance qui s’est confirmée début juin dès la levée des restrictions gouvernementales sur la limite des 100km et quand nous avons mis en vente 3 millions de billets à 49€ maximum pour cet été sur TGV INOUI, OUIGO et Intercités. Toutefois, nos trains pour juillet-août sont encore loin d’être remplis. Nos clients réservent beaucoup en dernière minute et pour des courts séjours. 

MEDIACOM’ Comment se porte e.Voyageurs SNCF ? 

Cécile TRUNET-FAVRE En 2019, la branche tech du groupe SNCF a réalisé un volume d’affaires de 5 milliards d’euros dont 4,28 milliards sur la France. Nous avons vendu 122 millions de billets en 2019 et plus d’1 milliard depuis la création du site en 2000. Nous comptabilisons 40 millions de visites par mois et 150 millions de recherches d’itinéraires sur l’Assistant SNCF (16 millions de Français l’ont téléchargé). Concernant OUI.sncf, l’application est détenue par 20 millions de clients et nous comptons 24 millions de visiteurs uniques par mois en 2019, contre 16 millions en 2018. L’usage sur mobile ne cesse de progresser et aujourd’hui, 50% des billets sont vendus via l’application et l’autre moitié via le site web. 

JO de Tokyo : 65% des partenaires ne sont pas certains de maintenir leurs engagements

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Près des deux tiers (65%) des partenaires des JO de Tokyo 2020, reportés d’un an en raison du coronavirus, ne sont pas certains de maintenir leurs engagements, selon un sondage de la chaîne japonaise de télévision publique NHK. $

Certains partenaires se sont dits inquiets des conséquences pour leurs opérations promotionnelles durant les Jeux dont la voilure va être réduite, face au risque de propagation du Covid-19 et de la montée des coûts pour les organisateurs, selon la NHK. «Nous cherchons (…) des moyens de simplifier l’organisation des Jeux, voir comment nous pouvons réduire la complexité des Jeux» et leur coût, avait notamment souligné mercredi le président du CIO Thomas Bach dans un entretien, sans toutefois évoquer un éventuel huis-clos. Les sponsors redoutent aussi une annulation pure et simple des JO de Tokyo, les organisateurs ayant souligné que 2021 était la «dernière option» pour les tenir. Beaucoup d’entre eux ont également expliqué qu’ils n’avaient pas encore pris leur décision parce que la renégociation de leurs contrats avec les organisateurs n’a pas encore commencé. Toshiro Muto, le directeur général du comité d’organisation de Tokyo 2020, 

a confirmé lors d’une conférence de presse vendredi que ces renégociations n’avaient pu être menées pour l’instant parce que le Japon était entré en état d’urgence face au Covid-19 à partir de début avril, peu de temps après la décision de reporter les Jeux. Personne actuellement ne peut garantir «à 100%» que les Jeux vont bien se 

tenir en 2021, mais le comité d’organisation est «déterminé» à ce qu’ils aient lieu «d’une façon ou d’une autre», a-t-il tenté de rassurer. 

Sites réservés à 80% : M. Muto a aussi précisé que 80% des sites prévus pour les JO de Tokyo ont déjà été réservés avec succès pour l’été 2021, et que les négociations se poursuivaient pour les autres, notamment le site du village olympique et le centre des médias. Les organisateurs japonais n’ont pas donné une estimation des coûts additionnels liés au report d’un an de l’événement. Le CIO de son côté a annoncé mi-mai avoir dégagé 800 millions de dollars pour faire face à la crise du coronavirus. Le dernier budget prévisionnel des Jeux, publié fin décembre dernier par les organisateurs, donc avant la pandémie et la décision du report, était de 1.350 milliards de yens (plus de 11 milliards d’euros) pour la partie japonaise. Cependant l’Etat japonais a investi presque autant entre l’attribution des Jeux à Tokyo en 2013 et l’exercice 2018/19, avait estimé l’an dernier l’équivalent japonais de la Cour des comptes, sans que cet engagement figure au budget officiel. De nombreuses grandes entreprises nippones sont partenaires des JO de Tokyo et comptaient mettre 348 milliards de yens sur la table (près de 3 milliards d’euros), soit près de la moitié des recettes attendues de l’événement. Par ailleurs, ce montant n’inclut pas les participations de Toyota, Panasonic et Bridgestone, lesquels sont partenaires mondiaux du CIO sur plusieurs olympiades. Plus des deux tiers des répondants au sondage de la NHK (68%) ont souligné que la crise du coronavirus avait aussi affecté leur propre situation financière. Le sondage a été mené auprès de 78 sponsors, dont 57 ont répondu. 

Givenchy : Matthew Williams nommé nouveau créateur de la marque

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L’Américain Matthew Williams, star du streetwear de luxe, a été nommé directeur artistique de Givenchy, a annoncé lundi la maison française, temple du chic. 

Il succède à la Britannique Clare Waight Keller, connue pour avoir signé la robe de mariée de Meghan Markle et avoir été la première femme directrice artistique de Givenchy. Elle a quitté la maison appartenant au groupe du luxe LVMH en avril. 

Matthew Williams, 34 ans, qui prendra ses fonctions mardi, sera responsable de la direction créative des collections féminine et masculine de la maison qui avait habillé Audrey Hepburn. 

Sa prochaine collection sera présentée en octobre dans le cadre de la semaine du prêt-à-porter femme, a précisé Givenchy. 

Il continuera par ailleurs de faire des collections pour sa marque, Alyx – du nom de sa fille aînée -, lancée en 2015 et basée en Italie. 

Givenchy est la deuxième maison du géant du luxe LVMH à faire appel à un jeune designer afin d’attirer les millenials. 

L’Américain Virgil Abloh, fondateur de sa marque Off-White, est depuis deux ans en charge des créations homme chez Louis Vuitton. 

Il y a un an, c’est Rihanna, vedette de la musique et d’Instagram, qui avait obtenu «carte blanche» du PDG de LVMH Bernard Arnault pour diriger sa marque de luxe Fenty et faire la mode à sa manière. 

Comme Virgil Abloh, Matthew Williams a travaillé avec le rappeur Kanye West, qu’il considère comme son mentor. 

«J’ai fait pour lui une veste de costume à porter aux Grammys quand j’avais 21 ans. Il m’a alors demandé combien j’étais payé et j’ai répondu «Rien». Alors il m’a dit : «Je vais te donner deux fois rien pour que tu travailles avec moi». «Le lendemain j’étais avec lui dans un avion à destination du Japon. Il a été un ami incroyable et un mentor», avait-il raconté. 

Matthew Williams a promis dans un communiqué de «faire entrer Givenchy dans une nouvelle ère fondée sur la modernité et l’inclusivité» tout en se félicitant de travailler dans une maison qui a «une aura intemporelle». 

La nomination de Matthew Williams intervient au moment où les créateurs 

réfléchissent à la mode d’après-pandémie, alors que les prochaines Fashion 

week et semaine de la haute couture auront lieu en ligne en juillet. 

La vision «singulière de la modernité» du nouveau créateur «représente pour 

Givenchy une occasion exceptionnelle d’écrire un nouveau chapitre de son histoire avec force et succès», a déclaré Sidney Toledano, P.-D.G. de LVMH Fashion group. 

M6 toujours intéressé par l’acquisition de Virgin Radio et RFM (Lagardère)

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Le groupe M6 (RTL, RTL2, Fun Radio) est toujours intéressé par l’acquisition des radios musicales que le groupe Lagardère cherche à vendre (Virgin Radio, RFM), a affirmé mardi son président du directoire Nicolas de Tavernost, à l’occasion de l’assemblée générale des actionnaires. 

«Nous sommes très attentifs aux possibilités de développement externe de notre groupe», a répondu M. de Tavernost, interrogé par un actionnaire. 

«Nous savons qu’il y a des projets dans le groupe Lagardère de céder tel ou tel actif radio et évidemment nous nous intéressons à ces actifs», a-t-i il précisé, disant également regarder les opportunités dans la télévision ou la production audiovisuelle. 

La vente des stations musicales de Lagardère est évoquée depuis plusieurs mois. 

Elle avait été confirmée par Arnaud Lagardère lui-même en juin 2019. 

Les groupes M6, TF1, NRJ ou Altice (propriétaire de RMC) pourraient être intéressés, selon des médias, mais les discussions achoppent sur le prix. 

Lagardère a cédé dernièrement plusieurs de ses actifs dans les médias, dont son pôle TV Jeunesse (Gulli, Canal J) à M6 en 2019, dans le cadre d’une stratégie de recentrage sur l’édition et la distribution dans les lieux de transport. 

Arnaud Lagardère n’entend plus conserver que les magazines Paris Match, l’hebdomadaire le JDD et la radio Europe 1, mais la récente arrivée, à l’occasion d’un conflit d’actionnaires, de Vincent Bolloré (via le géant des médias Vivendi) et de Bernard Arnault (LVMH), pourrait rebattre les cartes des cessions en cours. 

Le groupe Lagardère cherche par ailleurs un acquéreur pour ses studios de production. 

Interrogé mardi, il n’a pas répondu dans l’immédiat. 

Nicolas de Tavernost a en revanche démenti les rumeurs sur un rapprochement avec le groupe Prisma média, une filiale, comme RTL Group (l’actionnaire principal de M6), du groupe allemand Bertelsmann. 

Il n’existe «aucun projet capitalistique», mais uniquement des projets de «développements communs, notamment dans l’audio», a affirmé le dirigeant. 

Toutes les résolutions proposées ont été votées lors de l’assemblée générale du groupe, qui avait lieu à huis-clos, dont la suppression du dividende au titre de l’exercice 2019, par prudence vu l’effondrement du marché publicitaire pendant le confinement, et malgré de bonnes audiences. 

Le groupe M6, qui anticipe désormais «un mois de juin plus favorable par rapport aux prévisions» annoncées en mars, compte réduire le coût de ses programmes d’environ 100 millions d’euros sur l’année, et réaliser des économies supplémentaires sur l’ensemble de ses activités. 

Google et Carrefour présentent leur nouveau service commun d’achat en ligne via assistant vocal

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Le géant américain du numérique Google et le groupe français de distribution Carrefour ont présenté mardi un nouveau service commun d’achat en ligne via assistant vocal, une branche du e-commerce encore relativement peu développée malgré les prédictions faites il y a quelques années. 

Selon les deux partenaires, le service, accessible depuis ce mardi, est une «première mondiale» en permettant à l’utilisateur de faire tout le processus d’achat en ligne dans un dialogue avec son assistant vocal, depuis l’élaboration de la liste de courses jusqu’au paiement et à la détermination du mode de livraison (à domicile ou en «drive»). 

Le service est l’un des fruits du partenariat annoncé il y a deux ans par les deux groupes, dont l’un -Carrefour- veut accélérer sa transformation numérique et l’autre -Google- veut se développer autour du commerce alimentaire. 

Ce partenariat faisait suite notamment à l’onde de choc provoquée par le rachat par Amazon du distributeur américain Whole Foods, démontrant les ambitions du géant du e-commerce dans l’alimentaire, dont il était resté à 

l’écart jusqu’alors. 

Via le service Google Carrefour, les utilisateurs ont la possibilité de dire à l’assistant vocal les produits qu’ils veulent, y compris d’une manière générique («du lait», «des pommes»…). 

En dialoguant avec l’utilisateur, l’assistant élabore la liste en fonction des préférences habituelles du consommateur (marques habituellement choisies, bio ou pas, etc.) 

La liste est ensuite automatiquement transférée sur le site de Carrefour pour commande et paiement. 

D’autres grands distributeurs c utilisent déjà l’assistant vocal de Google, 

comme Intermarché ou Leclerc par exemple. 

Mais selon Google et Carrefour, les services offerts sont moins complets, en particulier sur la capacité de l’assistant à choisir la bonne référence en fonction des préférences habituelles. 

Pour que l’assistant vocal soit «intelligent» dans son dialogue avec l’utilisateur, Carrefour donne accès à Google aux achats passés de l’utilisateur dans ses magasins. 

«Ces données» de Carrefour «ne seront utilisées que pour permettre au service de fonctionner», ont assuré lors d’une téléconférence de presse François Loviton, directeur Retail (services à la distribution) de Google 

France et Amélie Oudéa-Castera, directrice e-commerce de Carrefour. 

Elles «ne seront pas utilisées pour le ciblage publicitaire», a notamment 

précisé le premier. 

Si un consommateur cesse d’utiliser le service pendant plus de 30 jours, «on interrompt le transfert de données» de consommation vers Google et «l’historique d’achat est effacé», a assuré de son côté Amélie Oudéa- Castera.