GroupM, branche média du groupe WPP et acteur majeur mondial du conseil en marketing media, lance PathfindR, une solution de custom bidding propriétaire qui intègre les meilleures pratiques en matière de traitement des données et d’automatisation. Reprenant les codes du Supply Path Optimisation (SPO), il permet de déterminer avec une extrême précision les routes d’accès aux inventaires les plus performants et d’en ajuster les niveaux d’enchères pour atteindre les objectifs de campagnes. Cette approche, inexploitée par une très large majorité des solutions actuelles, permet une optimisation sur des KPI personnalisés avec une grande efficacité.
Fruitz révolutionne les rencontres de la Gen Z avec une nouvelle fonctionnalité
Fruitz, l’application de rencontres emblématique de la génération Z, reconnue pour promouvoir la clarté des intentions, dévoile une nouvelle fonctionnalité : Freez, inspirée de sa dernière tendance du Vibe-Check. Cette innovation permet aux membres de la communauté d’exprimer leur humeur en partageant une photo éphémère, offrant ainsi une opportunité de connecter avec plus d’authenticité. Pas besoin de match : chaque photo Freez reste visible pendant 48 heures et peut être consultée par celles et ceux qui ont également posté une photo Freez. L’occasion parfaite pour se connecter autrement et explorer de nouvelles vibes, en toute authenticité.
Strong Roots se déploie en France avec .becoming Paris
.becoming Paris, entité advertising du groupe, a été choisie par la marque Strong Roots (McCain), gamme de produits vegan et végétale surgelée, pour le lancement de ses recettes veggies gourmandes en France. “Pop, pop, pop, Strong Roots, oh my god !”, Strong Roots se lance tout en musique avec un titre original aux airs yéyé en hommage aux origines anglo-saxonnes de la marque fraîchement débarquée en France. Ce titre musical a été imaginé par becoming et produit par son studio créatif de production en IA Sol.air, en collaboration avec le studio de production Capitaine Plouf. Cette nouvelle campagne 360 est à découvrir sur meta, youtube, DOOH et E-retail.
C. BRETAGNE (Adam & Eve) : «35% des Français aimeraient recevoir un sextoy en cadeau, mais seulement 25% oseraient en offrir»
À l’occasion de la Saint-Valentin, le e-commerçant Adam & Eve, n°1 des Sexshops français déploie sa nouvelle campagne, dont les visuels ont été générés par l’IA. L’occasion pour mediaCom’ d’évoquer ce choix et le plan média associé avec Claire BRETAGNE, Country Manager France chez Adam & Eve.
MEDIACOM’ Adam & Eve déploie sa nouvelle campagne pour la Saint-Valentin. Quel est le message ?
Claire BRETAGNE Cette campagne a pour but d’inciter chacun à célébrer la Saint-Valentin à sa manière. Ce qui est merveilleux avec nos produits, c’est qu’ils peuvent être utilisés par tous et de beaucoup de manières différentes. Nous subissons beaucoup de censure, notamment par Google. Cette campagne reprend les codes de notre quotidien de e-commerçant, et transforme les contraintes en objets ludiques et esthétiques. Conçue en partenariat avec l’Agence Pixelis, cette campagne a aussi pour but de continuer le travail qui a été fait depuis 2024 en termes de repositionnement de la marque : une image moderne, inclusive, décomplexée.
MEDIACOM’ Quel est le plan de diffusion de cette campagne ?
Claire BRETAGNE C’est un très gros dispositif à 360° ! Depuis le 29 janvier, la campagne est diffusée dans le métro parisien (via Métrobus). Nous avons mis en place un grand dispositif sur les quais et dans les couloirs : 450 faces dans 252 stations. Nous sommes aussi visibles dans 20 autres coeurs de villes, incluant Caen, Dijon, Toulouse… sur les affichages publics. Le but est de faire rayonner au mieux notre campagne dans toute la France métropolitaine, et de décentrer le dispositif de l’Île-de-France.
MEDIACOM’ Qu’en est-il de la diffusion sur le digital ?
Claire BRETAGNE Notre campagne d’affichage est doublée d’une diffusion digitale, également très large. Nous avons de beaux partenariats avec les applications de rencontre Tinder et Happn actuellement en cours, mais aussi avec Le Bon coin. Nous cherchons à produire des formats les plus adaptés possibles à l’expérience utilisateur…Bref, impossible de nous rater !
MEDIACOM’ Cette campagne a été générée par l’IA. Pourquoi ce choix ?
Claire BRETAGNE L’agence Pixelis avait cette compétence et nous voulions explorer cette option, par curiosité et par commodité, car c’est difficile de trouver des modèles qui acceptent d’associer leur image à une publicité dans notre domaine. Nous sommes très satisfaits du résultat. L’IA nous a permis une plus grande liberté de création et les images reflètent vraiment l’atmosphère que nous recherchions pour cette campagne. Cela ne remplace pas de vrais shootings incarnés par des personnes réelles, et l’apport du travail d’un photographe. À chaque besoin ses outils !
MEDIACOM’ Que représente la période de la Saint-Valentin pour un e-commerce comme Adam & Eve ?
Claire BRETAGNE C’est un moment crucial pour nous ! Une grande partie de notre travail consiste à normaliser l’usage et l’achat d’un sextoy. La Saint-Valentin, si commerciale soit-elle, est une bonne opportunité de se questionner ensemble ou à deux. Et puis les fleurs, les chocolats, le restau… Si on veut faire quelque chose de spécial, un sextoy est une excellente idée ! 35% des Français aimeraient en recevoir un en cadeau, mais seulement 25% oseraient en offrir…
L’enthousiasme des soldes d’hiver tempéré
On prend les mêmes et on recommence: «Black Friday», climat d’incertitude économique et concurrence de l’ultra «fast fashion» ont à nouveau tempéré l’enthousiasme pour les soldes d’hiver, estiment les professionnels du secteur mardi, jour de leur clôture.
Les différentes organisations de professionnels du commerce, qui s’étaient déclarées plutôt optimistes en amont de cet épisode de soldes lancé le 8 janvier, font finalement état de résultats moroses. «Le bilan est plutôt décevant, avec une baisse de 13% des ventes par rapport à il y a un an», précise Yann Rivoallan, président de la Fédération française du prêt-à-porter féminin, représentant 600 sociétés du secteur, donc 400 marques, plutôt «premium» (Ba&sh, Aigle, Bensimon…). Les résultats devraient être «comparables en chiffre d’affaires à ceux de l’année dernière, qui était une année de forte baisse, de 3,5% sur un an», prévoit de son côté Emmanuel Le Roch, délégué général Procos, une fédération de 310 commerces de secteurs variés comme Etam, Intersport ou Fnac. Bilan également «mitigé» pour Yohann Petiot, directeur de l’Alliance du Commerce. Le panel Retail Int., pour cette organisation professionnelle qui intègre une soixantaine de grandes marques (Galeries Lafayette, Monoprix, Celio, Kiabi…), enregistre un repli de 1% de son chiffre d’affaires sur les ventes physiques lors des trois premières semaine des soldes, toutefois meilleur que les -6% de l’an passé. Pourtant, «la saison avait extrêmement bien commencé», rappelle-t-il. Le mois de septembre a été «exceptionnel, avec une hausse de 24% du chiffre d’affaires grâce à un temps automnal arrivé très tôt qui a poussé la saison automne-hiver». Ces données confirment la perte de vitesse des soldes d’hiver, dont les causes commencent à être bien identifiées. Entre le «Black Friday» de novembre, désormais bien implanté dans les habitudes de consommation des Français, et les salves de ventes privées en décembre, «il y a un phénomène de saturation des promotions» à l’arrivée des soldes, note Jean-Guilhem Darré, délégué général du Syndicat des indépendants et des TPE, qui souhaiterait que les soldes soient décalés au mois de février. En outre, «les plateformes en ligne comme Shein et Temu proposent désormais des prix très bas toute l’année, souvent même en dessous des prix soldés que proposent les acteurs traditionnels», remarque Emmanuel Le Roch. Une concurrence qui émerge «dans un contexte d’incertitudes économiques et politiques jamais favorable à la consommation», ajoute-t-il.
becoming démarre l’année avec 5 nouveaux budgets
L’agence de conseil et de communication becoming démarre l’année sous le signe de la réussite en remportant cinq collaborations majeures dans des secteurs variés tels que la santé, l’industrie pharmaceutique, le secteur associatif, la protection sociale et la food. Il s’agit de Audilab, Pierre Fabre, Fondation ARC, Boulangeries Louise et l’Unédic.
OXYGEN RP renforce son pôle Food avec de nouvelles signatures et des collaborations renouvelées
Le pôle d’expertise dédié aux références Food du groupe OXYGEN RP, qui accompagne notamment la marque Findus ou les Huîtres Marennes Oléron, continue de s’étoffer avec l’arrivée de deux nouvelles références : Salad&Co et Foodles. Le groupe de Relations Publics annonce par ailleurs le renouvellement de collaborations avec des entreprises de renom comme l’AOPn Fraises & Framboises de France, la marque Vivien Paille ou encore Accro (groupe NXTFOOD).
Hot Wheels et Ferrari s’associent pour lancer une nouvelle gamme de miniatures
Mattel a annoncé un nouveau partenariat entre Hot Wheels et Ferrari, le légendaire constructeur de voitures de luxe, pour développer une gamme inattendue de miniatures Hot Wheels. Pour la première fois en plus de 10 ans, les produits Hot Wheels arboreront l’emblématique Cheval Cabré. Cette collection proposera une gamme innovante de modèles Ferrari, allant des classiques emblématiques aux modèles les plus récents et innovants, ainsi que des voitures de course et de route légendaires de la marque. Le premier produit issu de cette collaboration sera lancé dès ce printemps, avec une miniature initiale disponible en précommande sur Mattel Créations. D’autres annonces et lancements de produits viendront s’ajouter tout au long de l’année 2025 et au-delà.
L’enthousiasme des soldes d’hiver tempéré
On prend les mêmes et on recommence: «Black Friday», climat d’incertitude économique et concurrence de l’ultra «fast fashion» ont à nouveau tempéré l’enthousiasme pour les soldes d’hiver, estiment les professionnels du secteur mardi, jour de leur clôture.
Les différentes organisations de professionnels du commerce, qui s’étaient déclarées plutôt optimistes en amont de cet épisode de soldes lancé le 8 janvier, font finalement état de résultats moroses. «Le bilan est plutôt décevant, avec une baisse de 13% des ventes par rapport à il y a un an», précise Yann Rivoallan, président de la Fédération française du prêt-à-porter féminin, représentant 600 sociétés du secteur, donc 400 marques, plutôt «premium» (Ba&sh, Aigle, Bensimon…). Les résultats devraient être «comparables en chiffre d’affaires à ceux de l’année dernière, qui était une année de forte baisse, de 3,5% sur un an», prévoit de son côté Emmanuel Le Roch, délégué général Procos, une fédération de 310 commerces de secteurs variés comme Etam, Intersport ou Fnac. Bilan également «mitigé» pour Yohann Petiot, directeur de l’Alliance du Commerce. Le panel Retail Int., pour cette organisation professionnelle qui intègre une soixantaine de grandes marques (Galeries Lafayette, Monoprix, Celio, Kiabi…), enregistre un repli de 1% de son chiffre d’affaires sur les ventes physiques lors des trois premières semaine des soldes, toutefois meilleur que les -6% de l’an passé. Pourtant, «la saison avait extrêmement bien commencé», rappelle-t-il. Le mois de septembre a été «exceptionnel, avec une hausse de 24% du chiffre d’affaires grâce à un temps automnal arrivé très tôt qui a poussé la saison automne-hiver». Ces données confirment la perte de vitesse des soldes d’hiver, dont les causes commencent à être bien identifiées. Entre le «Black Friday» de novembre, désormais bien implanté dans les habitudes de consommation des Français, et les salves de ventes privées en décembre, «il y a un phénomène de saturation des promotions» à l’arrivée des soldes, note Jean-Guilhem Darré, délégué général du Syndicat des indépendants et des TPE, qui souhaiterait que les soldes soient décalés au mois de février. En outre, «les plateformes en ligne comme Shein et Temu proposent désormais des prix très bas toute l’année, souvent même en dessous des prix soldés que proposent les acteurs traditionnels», remarque Emmanuel Le Roch. Une concurrence qui émerge «dans un contexte d’incertitudes économiques et politiques jamais favorable à la consommation», ajoute-t-il.
Cityz Media confirme sa position de leader régional des bus avec le renouvellement de son contrat des Transports en Commun de l’Agglomération de Troyes jusqu’en 2029
Cityz Media seul acteur de la communication extérieure présent dans tous les lieux de vie hors foyer, renouvelle son partenariat avec les Transports en Commun de l’Agglomération Troyenne (TCAT) pour l’exploitation des espaces publicitaires des bus pour les 4 prochaines années. Ce renouvellement, effectif à partir du 1er février 2025, consolide une nouvelle fois sa position de leader sur le média bus avec plus de 64 % de part d’audience en région. Cette victoire stratégique permet à Cityz Media d’affirmer et de renforcer à nouveau sa position et son influence dans la région Grand Est. Avec 64% de part d’audience en régions et une présence dans 45 agglomérations majeures telles que Lyon, Bordeaux, et Montpellier par exemple, Cityz Media touche une population de 13 millions de Français, affirmant ainsi sa position de régie publicitaire leader dans les bus en régions.