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Jenny Monteiro prend la Direction Générale de dentsu X

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Jenny Monteiro a été nommée au poste de Directrice Générale de dentsu X. Forte de 13 années dans le groupe, elle travaillera, en collaboration avec l’ensemble de son comité de direction et de ses équipes, pour développer l’activité de l’agence. Dans ses nouvelles fonctions, Jenny Monteiro aura pour mission de consolider le positionnement stratégique de l’agence autour de la promesse Experience Beyond. Elle s’attachera également à renforcer l’excellence opérationnelle des équipes, en continuant de placer l’accompagnement et la satisfaction client au cœur de ses engagements. Diplômée de Science Po et de l’ESSEC, Jenny Monteiro a rejoint dentsu en 2011.

E. MOISON (Dagobert) : «La rencontre entre Publicité, Digital et Content est la clé pour permettre à nos clients de performer»

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Pour accompagner son développement, l’agence Dagobert déploie un nouveau positionnement en 2025 avec de nouveaux clients et une organisation renouvelée et renforcée. Zoom sur l’agence Dagobert avec son Directeur Général, Emeric MOISON.

MEDIACOM Quel premier bilan pouvez-vous tirer de l’année 2024? 

Emeric MOISON 2024 a été une belle année de transformation pour l’agence Dagobert, notamment avec l’arrivée de Nicolas Thiboutot, en tant que Directeur de la Création. Nous étions performants sur le brand content et le digital, mais nous devions renforcer encore notre expertise dans la création publicitaire. Nous démarrons ainsi 2025 avec un nouveau positionnement et la volonté d’être cette agence ultra agile, qui accompagne les marques dans leur quête d’émergence et de pertinence. Notre nouvelle signature «Now you are» vient traduire cette ambition d’aider les marques et les organisations. 

MEDIACOM Comment évoluent vos domaines d’expertises ? 

Emeric MOISON Dagobert recentre et renforce son offre autour de trois expertises clés : Publicité & Activation, Digital et Brand Content. La créativité publicitaire est au centre de tous nos projets. C’est avec des idées nouvelles et dans leur temps qu’on intéresse un public déjà hyper sollicité et qu’on permet aux marques d’émerger. En maîtrisant tous les points de contact, du DOOH au site en passant par le social, on s’assure qu’elles circulent de façon cohérente et qualitative avec un maximum d’impact. La rencontre entre Publicité, Digital et Content est la clé pour permettre à nos clients de performer. 

MEDIACOM Qu’en est-il de votre portefeuille clients ? 

Emeric MOISON La fin de l’année 2024 confirme également la pertinence du nouveau modèle, avec une dizaine de comptes structurants qui renouvellent leur confiance à l’agence et des gains en compétition auprès de clients de premier plan. Nous accompagnerons ainsi Engie dans la gestion de sa communication de recrutement internationale pour les 31 pays du Groupe. Nous avons aussi en charge la communication publicitaire et la communication éditoriale du plus grand aquarium d’Europe, Nausicaá. Notons aussi le gain du Groupe Transdev pour l’ensemble de sa communication digitale. Enfin, nous sommes fiers d’avoir fidélisé un de nos clients historiques, la Société Générale, pour 3 ans. 

MEDIACOM Comment se structure l’agence ? 

Emeric MOISON Pour accompagner ce repositionnement et répondre aux exigences d’un marché en constante évolution, nous avons mis en place un nouveau Comité Stratégique, réunissant Nicolas Thiboutot, Directeur de la Création, Élodie Pomeranc, Directrice du Planning Stratégique, et Renaud Fouilleul, Directeur Commercial, en charge du Conseil et du Développement. En parallèle, nous continuons à renforcer nos talents avec l’intégration de plus de 10 nouveaux profils en 2024 et 2025, parmi lesquels des consultants, des experts en création, en social media, motion design et graphisme. 

MEDIACOM En ces périodes compliquées pour le marché, les marques prennent-elles encore des risques en communication ? 

Emeric MOISON Je le constate au quotidien : nous avons une nouvelle génération d’annonceurs qui disposent d’une grande expertise, d’une connaissance très fine de leurs audiences et d’une forte capacité à faire bouger les lignes. Ils veulent tenter des choses. Nous avons de vrais partenaires de jeux chez nos clients. C’est très enrichissant pour une agence comme la nôtre. 

MEDIACOM Quel regard portez-vous sur l’évolution des relations entre les agences et les annonceurs ? 

Emeric MOISON La pandémie a eu un double impact. D’un côté, des annonceurs ont accéléré dans le pire. Nous avons eu des compétitions sur lesquelles, nous n’avons jamais eu de réponses et avons même été ghosté ! Imaginez l’impact en interne…Nous avons eu des comportements très négatifs. En tant que Directeur Général, je ne laisserai plus passer ça ! D’un autre côté, nous avons découvert des clients très précis dans leur brief et très respectueux dans la relation. 

MEDIACOM Quelles sont vos ambitions ? 

Emeric MOISON Nous avons fait une croissance stable en 2024. Nous visons encore la croissance en 2025. Fort de ce futur développement, nous aurons besoin de recruter de nouveaux talents dans nos équipes. 

One to One Retail E-commerce 2025 dévoile les 21 startups sélectionnées pour le Village Startups

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Du 11 au 13 mars 2025, le Village Startups revient pour une 6ᵉ édition au One to One Retail E-commerce Monaco, l’événement de référence du retail et de l’e-commerce en France. Les 21 startups sélectionnées sont : Acessiway, Actionable, Chatlabs, Colegram, Delupay, Estaly, First ID, Fringuant, Getinside, Join, Klark, Kleep AI, Measmerize, Nricher, Omny AI, Opopop, Retail Shake, Reutec, Save Your Wardrobe, Wax et Webyn.

C. BRETAGNE (Adam & Eve) : «35% des Français aimeraient recevoir un sextoy en cadeau, mais seulement 25% oseraient en offrir»

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À l’occasion de la Saint-Valentin, le e-commerçant Adam & Eve, n°1 des Sexshops français déploie sa nouvelle campagne, dont les visuels ont été générés par l’IA. L’occasion pour mediaCom’ d’évoquer ce choix et le plan média associé avec Claire BRETAGNE, Country Manager France chez Adam & Eve. 

MEDIACOM’ Adam & Eve déploie sa nouvelle campagne pour la Saint-Valentin. Quel est le message ? 

Claire BRETAGNE Cette campagne a pour but d’inciter chacun à célébrer la Saint-Valentin à sa manière. Ce qui est merveilleux avec nos produits, c’est qu’ils peuvent être utilisés par tous et de beaucoup de manières différentes. Nous subissons beaucoup de censure, notamment par Google. Cette campagne reprend les codes de notre quotidien de e-commerçant, et transforme les contraintes en objets ludiques et esthétiques. Conçue en partenariat avec l’Agence Pixelis, cette campagne a aussi pour but de continuer le travail qui a été fait depuis 2024 en termes de repositionnement de la marque : une image moderne, inclusive, décomplexée. 

MEDIACOM’ Quel est le plan de diffusion de cette campagne ? 

Claire BRETAGNE C’est un très gros dispositif à 360° ! Depuis le 29 janvier, la campagne est diffusée dans le métro parisien (via Métrobus). Nous avons mis en place un grand dispositif sur les quais et dans les couloirs : 450 faces dans 252 stations. Nous sommes aussi visibles dans 20 autres coeurs de villes, incluant Caen, Dijon, Toulouse… sur les affichages publics. Le but est de faire rayonner au mieux notre campagne dans toute la France métropolitaine, et de décentrer le dispositif de l’Île-de-France. 

MEDIACOM’ Qu’en est-il de la diffusion sur le digital ? 

Claire BRETAGNE Notre campagne d’affichage est doublée d’une diffusion digitale, également très large. Nous avons de beaux partenariats avec les applications de rencontre Tinder et Happn actuellement en cours, mais aussi avec Le Bon coin. Nous cherchons à produire des formats les plus adaptés possibles à l’expérience utilisateur…Bref, impossible de nous rater ! 

MEDIACOM’ Cette campagne a été générée par l’IA. Pourquoi ce choix ? 

Claire BRETAGNE L’agence Pixelis avait cette compétence et nous voulions explorer cette option, par curiosité et par commodité, car c’est difficile de trouver des modèles qui acceptent d’associer leur image à une publicité dans notre domaine. Nous sommes très satisfaits du résultat. L’IA nous a permis une plus grande liberté de création et les images reflètent vraiment l’atmosphère que nous recherchions pour cette campagne. Cela ne remplace pas de vrais shootings incarnés par des personnes réelles, et l’apport du travail d’un photographe. À chaque besoin ses outils ! 

MEDIACOM’ Que représente la période de la Saint-Valentin pour un e-commerce comme Adam & Eve ? 

Claire BRETAGNE C’est un moment crucial pour nous ! Une grande partie de notre travail consiste à normaliser l’usage et l’achat d’un sextoy. La Saint-Valentin, si commerciale soit-elle, est une bonne opportunité de se questionner ensemble ou à deux. Et puis les fleurs, les chocolats, le restau… Si on veut faire quelque chose de spécial, un sextoy est une excellente idée ! 35% des Français aimeraient en recevoir un en cadeau, mais seulement 25% oseraient en offrir… 

50,3%

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50,3% des consommateurs ont une perception négative de la publicité.

Source : Étude Onepoint

M6 Publicité s’associe à Nomalab pour la livraison des fichiers pub vidéo

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M6 Publicité élargit la liste de ses laboratoires partenaires certifiés pour la mise aux normes et la livraison des fichiers pub vidéo (TV Linéaire, TV Segmentée, M6+) en s’associant à Nomalab, via sa nouvelle interface simple et intuitive ad.nomalab.com. Outre la mise aux normes et la livraison des films publicitaires, Nomalab propose également de prendre en charge le dépôt ARPP et l’ajout de sous-titres sourds et malentendants ou d’audiodescription. Les annonceurs et leurs agences de création / TV Prod peuvent donc maintenant choisir entre les 3 laboratoires partenaires : Peach, Extreme Reach et Nomalab pour manager leurs créations en vue d’une diffusion sur les supports vidéo commercialisés par M6 Publicité.

L’enthousiasme des soldes d’hiver tempéré

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On prend les mêmes et on recommence: «Black Friday», climat d’incertitude économique et concurrence de l’ultra «fast fashion» ont à nouveau tempéré l’enthousiasme pour les soldes d’hiver, estiment les professionnels du secteur mardi, jour de leur clôture.

Les différentes organisations de professionnels du commerce, qui s’étaient déclarées plutôt optimistes en amont de cet épisode de soldes lancé le 8 janvier, font finalement état de résultats moroses. «Le bilan est plutôt décevant, avec une baisse de 13% des ventes par rapport à il y a un an», précise Yann Rivoallan, président de la Fédération française du prêt-à-porter féminin, représentant 600 sociétés du secteur, donc 400 marques, plutôt «premium» (Ba&sh, Aigle, Bensimon…). Les résultats devraient être «comparables en chiffre d’affaires à ceux de l’année dernière, qui était une année de forte baisse, de 3,5% sur un an», prévoit de son côté Emmanuel Le Roch, délégué général Procos, une fédération de 310 commerces de secteurs variés comme Etam, Intersport ou Fnac. Bilan également «mitigé» pour Yohann Petiot, directeur de l’Alliance du Commerce. Le panel Retail Int., pour cette organisation professionnelle qui intègre une soixantaine de grandes marques (Galeries Lafayette, Monoprix, Celio, Kiabi…), enregistre un repli de 1% de son chiffre d’affaires sur les ventes physiques lors des trois premières semaine des soldes, toutefois meilleur que les -6% de l’an passé. Pourtant, «la saison avait extrêmement bien commencé», rappelle-t-il. Le mois de septembre a été «exceptionnel, avec une hausse de 24% du chiffre d’affaires grâce à un temps automnal arrivé très tôt qui a poussé la saison automne-hiver». Ces données confirment la perte de vitesse des soldes d’hiver, dont les causes commencent à être bien identifiées. Entre le «Black Friday» de novembre, désormais bien implanté dans les habitudes de consommation des Français, et les salves de ventes privées en décembre, «il y a un phénomène de saturation des promotions» à l’arrivée des soldes, note Jean-Guilhem Darré, délégué général du Syndicat des indépendants et des TPE, qui souhaiterait que les soldes soient décalés au mois de février. En outre, «les plateformes en ligne comme Shein et Temu proposent désormais des prix très bas toute l’année, souvent même en dessous des prix soldés que proposent les acteurs traditionnels», remarque Emmanuel Le Roch. Une concurrence qui émerge «dans un contexte d’incertitudes économiques et politiques jamais favorable à la consommation», ajoute-t-il.

Maison Perrier Chic lance sa nouvelle campagne

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Maison Perrier Chic, la nouvelle boisson sophistiquée sans alcool, dévoile sa campagne « Sober Chic », célébrant un mode de vie réfléchi et résolument chic. Imaginée par les équipes d’Ogilvy Paris et Ogilvy UK, cette campagne met en lumière des mocktails luxueux, incarnant l’essence même du rafraîchissement moderne, que l’on choisisse ou non de consommer de l’alcool. apturée par le photographe de mode Arnaud Pyvka, la campagne dévoile des visuels saisissants qui incarnent l’essence même du chic et du glamour à la française. Cette campagne aux multiples facettes, affichage spectaculaire, activation sociale, influence, sera d’abord lancée en France, puis s’étendra à la Belgique, le Japon, le Canada et le Moyen-Orient.

Cityz Media confirme sa position de leader régional des bus avec le renouvellement de son contrat des Transports en Commun de l’Agglomération de Troyes jusqu’en 2029

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Cityz Media seul acteur de la communication extérieure présent dans tous les lieux de vie hors foyer, renouvelle son partenariat avec les Transports en Commun de l’Agglomération Troyenne (TCAT) pour l’exploitation des espaces publicitaires des bus pour les 4 prochaines années. Ce renouvellement, effectif à partir du 1er février 2025, consolide une nouvelle fois sa position de leader sur le média bus avec plus de 64 % de part d’audience en région. Cette victoire stratégique permet à Cityz Media d’affirmer et de renforcer à nouveau sa position et son influence dans la région Grand Est. Avec 64% de part d’audience en régions et une présence dans 45 agglomérations majeures telles que Lyon, Bordeaux, et Montpellier par exemple, Cityz Media touche une population de 13 millions de Français, affirmant ainsi sa position de régie publicitaire leader dans les bus en régions.

L’agence OVAL fait évoluer les compétions d’agences

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Malgré des initiatives telles que « La Belle Compétition », le problème du non-dédommagement des agences dans le cadre des consultations persiste. Selon le baromètre 2024 d’Opinion Way pour l’AACC, une agence investit en moyenne 32 000 € par consultation, sans garantie de réussite. Une situation économiquement insoutenable pour de nombreuses agences. Pour aller plus loin, OVAL s’associe à la démarche déjà initiée par l’agence Atipic (Orléans) en annonçant qu’à chaque gain d’une consultation non dédommagée, l’agence s’engage à dédommager financièrement ses concurrents, de manière symbolique mais significative. Cet engagement sera basé sur un modèle de pourcentage dégressif (à partir de 1 % du budget pour des consultations de 100 000 € avec 2 agences en plus d’OVAL), avec une contribution partagée entre le budget de l’agence et celui du client.